16/11/2015
CETTE NUIT-LA ENCORE...
CETTE NUIT-LA ENCORE...
Cette nuit-là encore, fut une nuit blanche
De tension taraudée, de souffrance endurée,
A percevoir le murmure incessant
De la mort dans ce qu'elle a d'inhumain.
Et pourtant, dans l'aube d'un ailleurs
Se lève un souffle doux et puissant comme la houle
Qui, dans le jaillissement impromptu de joies oubliées,
Fait surgir la lumière du remède le plus précieux
Sous la forme de rayons d'un soleil vif et tonifiant
Témoin de tous les scrupules éprouvés face à l'improbable.
P. MILIQUE
18:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : nuit, nuit blanche, tension, tarauder, la souffrance endurée, percevoir, murmure incessant, mort, inhumain, l'aube d'un ailleurs, un souffle doux et puissant, la houle, jaillissement impromptu, joies oubliées, faire surgir la lumière, remède précieux, rayon de soleil, vif et tonifiant, témoin, scupules, éprouvant, improbable
Commentaires
Arthur H me chuchote, me trichote, un murmure à peine perceptible, de sa vois déchirante et suave à la fois, il m'oriente vers des drums que je connais bien: les tiens. Ils résonnent et se heurtent à ton gros coeur qui bat encore et toujours la mesure du chaud qui brûle. Cette chaleur incandescente qui émane de ton moi, de ton toi qui tente de s'évanouir en amenuisant l'épaisseur de l'écriture de ton âme. Peine perdue.Avant, pendant et après, personne ne pourra lutter contre cette étincelle. Même pas toi, même pas moi. Personne. Et surtout pas un journal. Tu tiens la "Une" mon nounours.
Écrit par : Louisa | 19/11/2011
L'étincelle se tient là, irréfragable, au cœur du creux des mots...
Des phrases de silence frémissent, s'émerveillent d'un présent qui oublie le futur dans la rassurante diagonale d'un univers de papier grand pourvoyeur de vie.
Écrit par : MILIQUE | 25/11/2011
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