31/12/2012
Philippe DOUSTE BLAZY : A Propos des Missions de la Télévision Publique
Philippe DOUSTE BLAZY
A Propos des Missions de la Télévision Publique
Invité spécial
16/05/1996 - 02min35s
Philippe DOUSTE BLAZY répond à une question de Alain DUHAMEL sur les missions de divertissement et de qualité de la télévision publique : "vous oubliez la mission de l'éducation, d'accès à la connaisance et au savoir, les efforts dans ce sens sont insuffisants ; mais beaucoup de progrès ont été faits, qualité et audience ne sont pas forcément opposés, on peut faire de tout". Selon le ministre, les objectifs on été atteints "dans l'ensemble, mais la Cinquième et Arte ne doivent pas être un alibi pour les autres".
Production
Générique
23:12 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, bernard adamus, philippe douste blazy, a propos, mission, service public, télévision publique, invité spécial, répondre aux questions, alain duhamelémission de divertissement, qualité française, missionnaire, éducation nationale, accès à la connaissance, accès au savoir, faire des efforts, sensitif, insuffisance, progresser, ni fait ni à faire, ministre de l'éducation, objectif atteint, assemblée nationale, ensemble, la cinquième, arte, alibi, les autres, jean-luc mano
07/11/2012
LE JOURNAL DE PERSONNE: "UMMA"
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
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Dieu… oh mon Dieu
Dieu, pourquoi
Pourquoi?
Pourquoi m’ont-ils abandonnés?
Ô mon Dieu
Qu’est-ce que j’ai fait ?
Qu’est-ce que je n’ai pas fait ?
Pourquoi m’ont-ils condamné
Attaché à ce rocher
Et sont partis sans se retourner
Pourquoi?
Pourquoi m’ont-ils fait ça ?
À moi…
Je suis… je suis leur mère… leur maman
Ce sont mes enfants
Je les ai empêchés de se disputer
De se mépriser, de s’entretuer…
Parce que c’était sacré
Je leur disais Patria O Muerte
Et pas de patrie sans fratrie
Mais je ne sais pas ce qui leur a pris
C’est à moi, à leur mère qu’ils s’en sont pris
Mère tu n’as pas d’enfants…
Frères vous n’avez pas de mère
Se disaient-ils sans me regarder
Tuer la mère ! Tuer leur mère !
Voilà ce qu’ils voulaient faire
Pour se débarrasser de je ne sais quelle galère
Ô mon Dieu…
Le ver est dans l’univers
Toi seul pourrais élucider ce mystère
La mise à mort de la mère
Non… Dieu… grand Dieu
Ce n’est pas le sens de ma prière
Non… non… non
Ce sont mes enfants… tu entends
Non je ne réclame pour eux aucune sanction
Je leur pardonne et je te demande
D’en faire autant…
Non, je t’en supplie…
Épargne leur ce qu’ils ne nous ont pas épargné
La disgrâce… la disgrâce !
Surtout pas la justice pour ces créatures
Parce que j’ai l’impression que toute création est injuste !
13:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, dispersion, divisés jamais unifiés, grâce et disgrâce, l'impossible unité, la cinquième, la mère, la mère patrie, la séparation originelle, le matricide, le paricide, lejournaldepersonne, matria et patria, patria ô muerte, unité et communauté, nuit américaine