Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La Guêpe "

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Je cherche les ingrédients pour tourner un western
Et je me retrouve avec tous mes sentiments de valeur en berne
Il en faut du sang… beaucoup de sang… pas de sentiments.
Dans un western, on meurt, on ne se fait pas du mouron
On saigne… pour que les plus faibles se couchent et les plus forts règnent.
La loi du plus fort… celui que tous les tireurs craignent
Les bons, les brutes et les truands… ce n’est pas la bonté qui est récompensée ou rarement
Presque jamais… mais la ruse… l’adresse… et la rapidité.
Les bons sont les plus malins… plus proches du mal que du bien
Ils font mal avec leur bien. Ils règlent les comptes sans compter, d’où leur prétendue majesté.
Une volonté de puissance convertible en puissance de la volonté. Ils en veulent plus que les autres.
Ils réussissent parce qu’ils excellent et ils excellent parce qu’ils le veulent et ils le veulent parce qu’ils en veulent un peu plus que tous les autres.
Ce sont des héros, des demi-dieux, qui préfèrent mourir que de vous concéder le moindre soupir.
Ils tiennent plus à la victoire qu’à la vie… parce qu’ils ne conçoivent pas la vie autrement qu’en l’emportant sur les autres et sur eux-mêmes.
Cette victoire sur soi-même… rend leur combat un peu plus soutenable…
Victoire sur ceux qui restent au seuil d’eux-mêmes…les ignobles ou les méchants… qui sont gouvernés par l’instinct d’auto-conservation. Qui ne vivent pas mais espèrent vivre avec la peur de mourir. Ils ne gagnent pas, parce qu’ils ne jouent pas. Ils déjouent et faussent le jeu, parce que leurs craintes valent autant que leurs espérances: c’est à dire … rien.
À part mourir, qu’est-ce que je risque, se dit le héros de notre fiction à deux balles.
Qu’est-ce que je peux faire pour assurer ma subsistance, se dit l’anti-héros en claquant des dents.
Le hic ou le chic, c’est que dans tout bon western, il y a un ingrédient christique : “un seul atteint la vérité”… et ça sent déjà l’Amérique… l’esprit de conquête et la conquête de toute la matière. Être le plus fort, le plus puissant, le plus performant.
Le tireur d’élite celui qui ne rate presque jamais sa cible, qui cherche toujours à vaincre mais qui finira un jour par être vaincu.
Parce qu’un autre, l’absent de tous les bouquets aurait réussi à lui monter dessus.
Hasard ou coïncidence… ni l’un, ni l’autre… c’est la roue du temps qui tourne mais pas toujours dans le sens des aiguilles… tic… tac… boum!
Et ça tourne et rien ne peut l’arrêter, à part cette balle qui vous était destinée… par quelqu’un qui a osé viser et tirer le premier.
Mouvement vers le rien… rien que du mouvement…
Tout coule… et c’est pas cool.
C’est l’enfer… sans la moindre petite fenêtre sur le paradis. On a intérêt à l’emporter pour ne pas passer à côté, de la vérité, du chemin, de la vie!
C’est plutôt terne comme western… mais c’est le seul qu’on ira voir, qu’on paye pour voir… celui qui oppose ta volonté à la mienne. Et que le meilleur gagne… la volonté… la plus forte, la plus cruelle, la plus profonde. Rien de latin… tout est américain… tout est humain… anti-humains
Un petit pas pour l’humanité… un grand pas pour l’homme… pour l’individu qui s’expose et t’explose en passant par derrière ou en prenant les devants.
D’où les rimes les plus funestes : individualisme, réalisme, matérialisme, impérialisme, cynisme.
Alors qu’est-ce qu’on fait… on tire ou on se fait tirer ?
On se fait la guerre ou on concède la paix ?
Malheureusement aucune concession n’a jamais garantit la paix. Pétition de principe : il faut faire la guerre pour ne pas faire la guerre. Pour être avantagé pour la faire, il faut vouloir la faire à tout prix!
Guerre de tous contre tous. Pour la puissance… pour davantage de puissance. C’est le premier qui tire, c’est le deuxième qui meurt. Que de la force et point de droit.
Qui tue en Syrie ? Les forces loyalistes ou les forces rebelles ? Le pouvoir ou l’opposition ?
Les anciens ou les nouveaux ? Guerre ! Guerre ! Guerre ! Quel bras doit-on armer ?
Quel bras désarmer? Parce qu’on croit qu’on n’a pas le droit de vivre et laisser mourir.
Qui le croit ? Qui le croirait? Ce ne sont que nos intérêts que l’on veut opposer à d’autres intérêts. Pas un brin d’humanité…. mais nos sacrés saints intérêts qui distinguent le bourreau de la victime. Ingérence qui rappelle les sept mercenaires qui ne se préoccupent que de leurs destins particuliers. Point de justice.
Mais du butin, du gain, de la fin qui justifie tous les moyens : la puissance… de l’argent. L’argent pour la puissance.
L’Amérique et ses alliés unis ont tué Saddam, Gadhafi et s’apprêtent avec le soldat Fabius à assassiner Al-Assad… pour que les plus puissants restent toujours les maîtres de la région…
Halte aux arguties et aux alibis : on tue pour accroitre sa puissance et non pour venir à bout de la nuisance ! Et dire que la France semble ignorer que nul ne peut espérer déguster du bon miel à partir des sécrétions d’une guêpe. Cherchez la guêpe!

12/12/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "AU NOM DE LA SYRIE"

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Le droit… Quel droit… De quel droit ?
Nul n’est censé ignorer la Loi
Mais, j’aimerais bien savoir laquelle ?
La Loi, c’est la Loi
Aucune hélas, ne va de soi
J’en ai connu des salauds légalistes et totalitaires
J’en ai connu des commandements arbitraires
J’en ai connu des soumissions délétères
Nul n’a le droit de vous ordonner
D’abandonner votre libre arbitre
De subordonner votre conscience à un dict. de circonstance
Le droit n’a plus de droits
Lorsque les hommes politiques s’en mêlent
Lorsque les intérêts économiques s’en mêlent
Lorsque ça ne répond plus à l’appel de la Justice
Mais aux injonctions des États du vice et du caprice

Souvenez-vous d’Antigone… qui s’opposa à Créon
Elle récidive aujourd’hui à travers vous, à travers moi
Au nom de la Syrie… la Syrie des Syriens
Pour vous rappeler un ordre sans complaisance :
N’écoutez que la voix de votre conscience !
Pas celle qui commande aujourd’hui
Mais celle qui recommande toujours
Le droit des autres à disposer d’eux-mêmes
Dans le bien
Comme dans le mal …

10/12/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: ""

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 

Juste au moment de rendre l’âme…

 

Il y a comme un instant de grâce…

 

Où l’ange qui passe vous demande d’exprimer un vœu… et un seul…

 

La plupart des voyageurs… choisissent le paradis…

 

J’ai choisi l’enfer… de replonger en enfer

 

Non que je me raccroche encore à cette putain de vie

 

Mais j’estime ne pas avoir tout fini…

 

 

 

Ça y est !

 

Je ressens le sang circuler de nouveau,  dans mes veines

 

Et dans mon cœur, quelques bulles  d’oxygène…

 

On me ramène… oui je crois qu’on me ramène parmi les mortels

 

 

 

Pourquoi faire ? Me questionna l’ange

 

Pour assassiner … quelqu’un – lui dis-je

 

Qui propage de faux bruits sur mon pays

 

Il s’apprête à dire que je suis morte,

 

victime d’une arme chimique

 

 

 

Donne-moi la force ô mon Dieu

 

De commettre  cet ultime forfait

 

Avant de partir, l’âme en paix.

 

 

 

Ça y est !

 

Je me relève et je m’élève

 

Pour faire la guerre à l’infamie.

 

 

23/11/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Les Zébreux"

 

emme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U



Hi les Zébreux
C’est quoi cette dégaine ?
Qui sème la discorde récolte la haine
Ah ! ah ! ah !
C’est ce qu’on dit ça et là à Jaffa
Que le Hamas a gagné cette guerre de propagande
Propaganda ! Propaganda !
Quel est l’imbécile qui propage ce genre de bruit?
Les zébreux sont l’arbre et les fruits
Hâtez-vous de les ramasser
Parce que cette nuit, je vous le dis en vérité
Un petit attentat sur Tel Aviv a été programmé
On le sait le Tsahal est toujours bien renseigné
Et demain on mettra Gaza à feu et à sang
Car une feuille morte sur nos terres vaut bien davantage que dix vies sur les leurs !
Deux poids, mille et une mesures…
Israël a décidé d’en finir avec le Fatah avec le Hamas et avec tous les riverains qui nous menacent… Le roi lion, les pharaons et l’iranium des ayatollahs.
On va tous les pousser à bout!
La montée de l’islamisme va accélérer leur chute en enfer
Ne l’oubliez pas, notre arme absolue c’est leur Foi résolue
Plus ils y croient et moins on les croit…
Et c’est tout l’occident qui nous emboite le pas!
Parce qu’il n’y a pas plus grande guerre que la guerre sainte et nous autres Zébreux détenteurs de la religion première, nous l’avons toujours déjà gagnée parce que c’est nous qui l’avons toujours initiée…
Parce qu’il n’y a pas d’autre Dieu que celui qui s’adressa un jour aux zébreux!
JE SUIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! a-t-il dit pour dire :
Qu’il nous a toujours suivis.

20/08/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA GUÊPE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté!

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/

  Ou sur sa chaine Youtube:

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Je cherche les ingrédients pour tourner un western
Et je me retrouve avec tous mes sentiments de valeur en berne
Il en faut du sang… beaucoup de sang… pas de sentiments.
Dans un western, on meurt, on ne se fait pas du mouron
On saigne… pour que les plus faibles se couchent et les plus forts règnent.
La loi du plus fort… celui que tous les tireurs craignent
Les bons, les brutes et les truands… ce n’est pas la bonté qui est récompensée ou rarement
Presque jamais… mais la ruse… l’adresse… et la rapidité.
Les bons sont les plus malins… plus proches du mal que du bien
Ils font mal avec leur bien. Ils règlent les comptes sans compter, d’où leur prétendue majesté.
Une volonté de puissance convertible en puissance de la volonté. Ils en veulent plus que les autres.
Ils réussissent parce qu’ils excellent et ils excellent parce qu’ils le veulent et ils le veulent parce qu’ils en veulent un peu plus que tous les autres.
Ce sont des héros, des demi-dieux, qui préfèrent mourir que de vous concéder le moindre soupir.
Ils tiennent plus à la victoire qu’à la vie… parce qu’ils ne conçoivent pas la vie autrement qu’en l’emportant sur les autres et sur eux-mêmes.
Cette victoire sur soi-même… rend leur combat un peu plus soutenable…
Victoire sur ceux qui restent au seuil d’eux-mêmes…les ignobles ou les méchants… qui sont gouvernés par l’instinct d’auto-conservation. Qui ne vivent pas mais espèrent vivre avec la peur de mourir. Ils ne gagnent pas, parce qu’ils ne jouent pas. Ils déjouent et faussent le jeu, parce que leurs craintes valent autant que leurs espérances: c’est à dire … rien.
À part mourir, qu’est-ce que je risque, se dit le héros de notre fiction à deux balles.
Qu’est-ce que je peux faire pour assurer ma subsistance, se dit l’anti-héros en claquant des dents.
Le hic ou le chic, c’est que dans tout bon western, il y a un ingrédient christique : “un seul atteint la vérité”… et ça sent déjà l’Amérique… l’esprit de conquête et la conquête de toute la matière. Être le plus fort, le plus puissant, le plus performant.
Le tireur d’élite celui qui ne rate presque jamais sa cible, qui cherche toujours à vaincre mais qui finira un jour par être vaincu.
Parce qu’un autre, l’absent de tous les bouquets aurait réussi à lui monter dessus.
Hasard ou coïncidence… ni l’un, ni l’autre… c’est la roue du temps qui tourne mais pas toujours dans le sens des aiguilles… tic… tac… boum!
Et ça tourne et rien ne peut l’arrêter, à part cette balle qui vous était destinée… par quelqu’un qui a osé viser et tirer le premier.
Mouvement vers le rien… rien que du mouvement…
Tout coule… et c’est pas cool.
C’est l’enfer… sans la moindre petite fenêtre sur le paradis. On a intérêt à l’emporter pour ne pas passer à côté, de la vérité, du chemin, de la vie!
C’est plutôt terne comme western… mais c’est le seul qu’on ira voir, qu’on paye pour voir… celui qui oppose ta volonté à la mienne. Et que le meilleur gagne… la volonté… la plus forte, la plus cruelle, la plus profonde. Rien de latin… tout est américain… tout est humain… anti-humains
Un petit pas pour l’humanité… un grand pas pour l’homme… pour l’individu qui s’expose et t’explose en passant par derrière ou en prenant les devants.
D’où les rimes les plus funestes : individualisme, réalisme, matérialisme, impérialisme, cynisme.
Alors qu’est-ce qu’on fait… on tire ou on se fait tirer ?
On se fait la guerre ou on concède la paix ?
Malheureusement aucune concession n’a jamais garantit la paix. Pétition de principe : il faut faire la guerre pour ne pas faire la guerre. Pour être avantagé pour la faire, il faut vouloir la faire à tout prix!
Guerre de tous contre tous. Pour la puissance… pour davantage de puissance. C’est le premier qui tire, c’est le deuxième qui meurt. Que de la force et point de droit.
Qui tue en Syrie ? Les forces loyalistes ou les forces rebelles ? Le pouvoir ou l’opposition ?
Les anciens ou les nouveaux ? Guerre ! Guerre ! Guerre ! Quel bras doit-on armer ?
Quel bras désarmer? Parce qu’on croit qu’on n’a pas le droit de vivre et laisser mourir.
Qui le croit ? Qui le croirait? Ce ne sont que nos intérêts que l’on veut opposer à d’autres intérêts. Pas un brin d’humanité…. mais nos sacrés saints intérêts qui distinguent le bourreau de la victime. Ingérence qui rappelle les sept mercenaires qui ne se préoccupent que de leurs destins particuliers. Point de justice.
Mais du butin, du gain, de la fin qui justifie tous les moyens : la puissance… de l’argent. L’argent pour la puissance.
L’Amérique et ses alliés unis ont tué Saddam, Gadhafi et s’apprêtent avec le soldat Fabius à assassiner Al-Assad… pour que les plus puissants restent toujours les maîtres de la région…
Halte aux arguties et aux alibis : on tue pour accroitre sa puissance et non pour venir à bout de la nuisance ! Et dire que la France semble ignorer que nul ne peut espérer déguster du bon miel à partir des sécrétions d’une guêpe. Cherchez la guêpe!