06/06/2017
PASSE-PASSE CONCEPTUEL 9
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
PASSE-PASSE CONCEPTUEL
9
Mais tout de même...
Les dupes ont comme point commun à tous de, à un moment ou à un autre, avoir refusé avec la plus grande énergie de se tromper.
Pourtant, la vie nous apprend combien il faut se méfier de ce qui se devine à peine sous le masque transparent. Alors...
Peut-être n'est-il pas si simple au fond d'admettre que l'on s'est laissé berner. C'est pourtant faire preuve d'une bien belle intelligence que de refuser d'être jocrisse.
Au final, voit-on l'illusion avec les yeux du corps ou avec ceux de l'esprit? Ne feignons pas d'être surpris par la question puisqu'elle ne pouvait manquer de se poser. Ce qui ne lui garantit pas pour autant de réponse définitive.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
08:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bonne foi, localisation, actualiser, violence, gloser, manifestation de violence, bobard, contraindre, surprise, prêt à la consommation, modulable, rétractation, remboursement, rasage, retour aux sources, tiroir
26/03/2017
UN BEAU JARDIN D'AVENIR
UN BEAU JARDIN D'AVENIR
J'entends tes puissantes paroles de vie
Et je bâtis grâce à toi celle qu'il me reste.
Toi et moi, rien de plus.
Toi mon exact bonheur.
Toi mon soleil accordé.
Toi encore, mon instant simple
Qui frémit de vifs enchantements
A imaginer ceux qui se profilent.
Je cours vers toi, désormais incomplet,
Comme un possible moi inaccessible.
Et je te suivrais partout où tu partiras.
Et dans d'autres ailleurs aussi. Toujours.
En tous ces lointains, je t'aimerai d'amour.
L'amour, cette mélodie inspirée qui chante
Du cœur à l'âme dans l'onde pulsée
De journées magiques et lumineuses.
Femme adorée, mon entière pour l'éternité,
Je ne suis pas inquiet, je suis même fort
De cette tranquillité qui nous conçoit
Un éclatant jardin d’avenir enjolivé
D'aucune autre caresse que ta présence
Authentique et ourlée de magnificence.
Il est certains êtres pour lesquels vivre ne fait pas mal.
Ce sont ceux qui lisent les étoiles radieuses de tes yeux.
Moi qui ose prétendre à cette exclusivité-là,
Je sais déjà que je la vivrai jusqu'à toujours.
Ainsi, dans un torrent d'eaux turbulentes,
Sous la frondaison harmonieuse des arbres,
Le vaste ciel verse des perles de lumière
Sur la beauté vivante de l'enchantement.
Toi et moi. Juste nous. Gémellité singulière.
Toi et moi, unis pour faire le bonheur au soleil.
Ces mots-là une fois encore déclarent ma flamme.
Il ne font qu'attiser un feu qui jamais ne s'éteindra.
P. MILIQUE
09:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, cellule, vacarme, appauvrissement, sensoriel, ambiance sonore, murmurer, bobard, mitard, écholalie, détention, cacophonie, délibération, voix, épuisement, orientation, moralité, richesse, raffiné, dériver, nuance, prescription