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http://www.lejournaldepersonne.com/Ou sur sa chaine Youtube: http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Ils jouent sur la peur. Sur la peur de la peur…. qui est la vraie peur ! Pour obtenir gain de cause. Ou pour que leur cause soit suivie d’effets. C’est l’arme idéale pour tous les damnés Mais aussi pour ceux qui les mènent par le bout du nez.
Première figure : le terrorisme religieux de celui qui veut t’imposer l’histoire décomposée de son Dieu. C’est la bombe qui nous explose en pleine figure.
Deuxième figure: le terrorisme laïque de celui qui veut t’imposer sa déclaration des droits de l’homme, comme unique fondement de la vérité, de la liberté et de l’égalité.
Troisième figure: le terrorisme intellectuel de celui qui veut t’imposer une pensée unique, destinée à rassembler tous les moutons de panurge sous la même bannière… Écran de fumée dont se servent sans vergogne tous les médias.
Quatrième figure : le terrorisme moral de celui qui veut t’imposer son propre système de valeurs, qui ne se contente pas t’indiquer ce qui vaut, mais dit où on va et comment on y va.
Cinquième figure : le terrorisme commercial de celui qui veut t’imposer un monde d’objets où tout s’achète y compris les êtres, les idées et les sentiments, puisque tout est marchandise : les bêtes et la bêtise!
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Personne : c’est sur ces questions que va porter votre prochaine émission ? Dites moi tout ! Dites-moi comment vous allez encore ne fois perpétuer vos mochetés et vos lâchetés ?
Caroline : je ne lâche rien… comme un chien enragé… je ne mords pas pour mordre mais pour communiquer ma rage…. ma rage de vivre debout et pas à genoux.
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Émeline : Enfin quelqu’un en face de Personne… bienvenue Caroline
Caroline : je vous remercie Émeline
Émeline : je m’appelle Lou, je ne m’appelle pas Émeline
Caroline : j’ai fait ma petite enquête sur vous… vous vous appelez Émeline
Émeline : vous devez avoir un léger strabisme… vous auriez dû lire maline… c’est plus malin au féminin, n’est-ce pas ?
Caroline: changer de mine… ça ne change pas votre patronyme
Émeline : vous adorez… c’est fou ce que vous adorez faire passer les choses de l’ombre à la lumière.
Caroline : je n’en suis pas peu fière… je suis pour tous mes détracteurs un lapsus révélateur… le logiciel anti-virus, le seul qui distingue encore distinctement un corps sain d’un corps malsain… je parle de corps de doctrine bien sûr!
Émeline : heureusement que vous n’avez pas fait médecine… sinon vous auriez saisi qu’il n’y a pas plus malade qu’un corps drapé de moraline…
Caroline : je suis journaliste d’investigation… et analyste par la force des choses… et par la force des choses un peu généalogiste… je remonte jusqu’aux gênes du bien et du mal… qui sont à l’origine de toutes les malversations, de toutes les exactions… c’est mon job.
Émeline : vous n’avez jamais été tentée de vous démonter vous-même?
Caroline: tant que l’horloge fonctionne, il n’y a aucune raison de la démonter… l’heure c’est l’heure et comme j’aime le jazz, je la donne de bon coeur.
Émeline : mais on m’a toujours appris qu’avant de tenter sur les autres, a moindre analyse, il faut commencer par s’analyser soi-même… c’est un principe de précaution.
Caroline : c’est affreux, le freudisme… que vous me fredonnez… Non, je n’analyse pas l’âme, madame, mais je fais comparaître certaines analyses devant le tribunal des faits… les faits qui sont faits… et que nul n’a le droit de défaire ou de refaire.
Émeline : en somme, vous vous sentez dans la peau d’une femme de ménage… vous nettoyez un peu tout autour de vous…et si je relis vos livres, je m’aperçois que vous lavez encore plus blanc que vos propres confrères… vous êtes bel et bien madame propre.
Caroline : n’essayez pas de me déstabiliser… vous savez, j’ai toujours eu les pieds sur terre… je marche toujours droit et je reste toujours debout quoi qu’on en dise.
Émeline : Femme de ménage, qu’est-ce que je raconte ? vous avez l’âme d’une bonne sœur…. d’une prêtresse des temps modernes… qui a toujours fait prévaloir l’ordre moral en distinguant le bien qui fait du mal , du mal qui fait du bien… moi je dis : chapeau bas l’artiste.
Caroline : cessez de vous foutre de ma gueule… je suis insensible aux blâmes comme aux louanges… je fais ce que je dois faire… mon devoir, point barre.
Émeline : est-ce que je vous manquerais de respect si je vous disais que vous donnez l’impression d’être mal aimée? Remarquez: je n’ai pas osé dire : mal baisée… et même si tous les faits me contredisaient je continuerais à dire que cette Caroline ne doit pas beaucoup prendre son pied. Et pour cause : votre adrénaline est investie dans des choses beaucoup moins anodines.
Caroline : encore une inversion de sujets : je ne peux pas être mal baisée puisque c’est moi qui les baise.. et comme je fais souvent très mal, il faut croire que je les baise bien.
Émeline : Non. Vous ne les baisez pas… sinon vous n’en ferez pas tout un cinéma… vous aimeriez bien le faire… mais vous avez du mal à le faire… du coup, vous les imaginez en train de le faire … en vous masturbant soigneusement dessus… puis vous mettez le tout bout à bout et vous vendez le scénario à France Télévision.
Caroline : autrement dit, je baise tout le monde : les médias, les médiatisés et les médiateurs… pour qui vous me prenez ?
Émeline : pour quelqu’un qui passe à la télé parce qu’il a réussi à regrouper trois corps de métier : concierge, détective et balance. Une sacrée prouesse pour un petit bout de femme.
Caroline : vous m’enviez on dirait ?
Émeline : on a dit les fait Caroline et pas l’interprétation des faits… même si je reconnais que vos interprétations font beaucoup d’effets… et pour une raison très simple : parce que ça reste très général… ça interpelle facilement le genre humain. Au royaume des aveugles … vous êtes la reine qui ne voit que d’un œil. Vous pouvez raconter n’importe quoi… ça passe comme une lettre à la poste.
Caroline : vous avez l’air de sous estimer le grand public. Élitiste de mes deux! C’est lui qui vote. C’est lui qui choisit son programme à la télé… vous n’y pouvez rien… à chaque fois que j’y passe… je laisse des traces. Dans le métier on appelle ça le coefficient de crédibilité.
Émeline : pas de charme entre nous… ne soyez pas plus bête que ce que vous êtes… vous le savez… moins c’est relevé comme niveau et plus ça plaît… vous ne faîtes pas de l’info mais du divertissement… vous nous reposez de la vérité, en nous racontant des débilités…
Caroline : vous avez regardé mon film sur la 5 hier soir ?
Émeline : un plot qui se moque des théoriciens du complot. Non… je ne voudrais surtout pas être méchante ou désobligeante. Je vous ai trouvé haineuse plutôt que glorieuse… vous black-listez les gens comme au bon vieux temps sous l’occupation. Vos propos m’ont donné envie d’aller voir et revoir de près, tous ces gourous auxquels vous avez coupé le sifflet… leur délire m’a semblé plus crédible que votre délire.
Caroline : vous n’allez pas me dire que vous aussi vous approuvez ces conspirationnistes ?
Émeline : en un seul mot ou en deux mots ? Non je me moque de vous parce que vous avez du mal à vous moquer de vous-même. Le plus intéressant ce n’est pas de savoir s’il y a eu complot ou pas complot… mais de savoir jusqu’à quel point il n’y a PLUS D’INFO.
Caroline : pour dire vrai, je ne sentais pas cette confrontation… on m’a prévenu que ce serait surfait… sur-joué… scénarisé, mais bon tant pis! J’assume comme j’ai toujours assumé.
Émeline : pour en revenir à votre émission, il n’y avait pas plus de raison de croire que l’Irak détenait des armes de destruction massive que de croire qu’Al Quaïda était le seul instigateur et réalisateur de son forfait. Et pourtant, des gens comme vous ont cru et continuent de croire ces deux versions ou diversions.
Caroline : moralité : vous vous rangez du côté de ces détraqués qui s’inventent des trucs pour faire régner la peur, la terreur… le désordre et la discorde.
Émeline : je ne suis Personne et je ne rejoins Personne mais je fais encore la différence entre vivre et raconter… entre ceux qui ont le droit de l’ouvrir comme vous et ceux qui ont le devoir de la fermer comme eux.
Caroline : ils l’ont déjà ouverte, comme ce Thierry Meyssan , comme Soral, comme Cheminade… mais personne ne les a suivi, parce que tout le monde a bien vu qu’il n’y avait rien derrière la porte… ou plutôt si : leur propre sentinelle… la sentinelle du néant propre à tous les négationnistes.
Émeline : en tout cas, pour vous c’est le cas. Parce qu’à part pour votre légende personnelle, je ne vois pas l’intérêt de vous en prendre à tout ce qui se situe au-dessus de votre niveau de conscience… mais je le sais on n’a pas le droit de reprocher à une naine d’être un nain.
Caroline : une naine… peut-être… un peu vilaine… sans doute… mais qui ne fait de mal à personne.
Émeline : surtout pas vilaine mais hautaine surtout… et qui ignore tout le mal qu’elle fait… parce qu’elle simplifie à outrance en indiquant certains remèdes et en contre-indiquant certains poisons… vous êtes bien le médecin imaginaire qui ferait mieux d’aller se faire soigner…
Caroline : parce que j’ai osé affronter tous les démons de l’extrême… parce que j’ai montré les vrais visages de Le Pen, de Ramadan, de Meyssan? Parce que j’ai démonté tous leurs montages et remonté jusqu’au cœur de leurs messages ?
Émeline : c’est ce que vous croyez. Vous n’avez rien fait d’autre que rappeler que tout le monde est beau… que tout le monde est gentil et qu’il ne faut surtout pas prêter l’oreille à ceux qui prétendent le contraire. Je ne sais pas si vos adversaires sont dans le vrai, tout ce que je puis savoir c’est que vous, vous ne l’êtes pas… loin s’en faut. Il suffit de bien vous écouter pour en avoir le cœur net et savoir que vous n’en savez rien. Rien sur le concert des nations. Rien sur l’Islam, rien sur l’extrême droite, rien sur l’extrême gauche, mais tout sur votre centre qui est partout et sa circonférence nulle part. C’est ce que Sartre appelle une putain irrespectueuse.
Caroline : vous dénigrez vous aussi le printemps arabe ?
Émeline : non… tout ce que je dis c’est qu’il n’y aura pas de printemps pour Caroline chérie!
Caroline : vous me menacez ?
Émeline : encore une analyse foireuse. Je veux dire que la Révolution se fera sans doute sans vous…. et peut–être même contre des gens comme vous qui distribuent gracieusement les plus mortels des somnifères.
Caroline : vous êtes une intrigante, voilà ce que vous êtes
Émeline : pourquoi je vous ai intrigué ? Je vais vous dire ce qu’il faudrait retenir de notre petite virée : nous n’avons rien dit d’essentiel et pourtant nous avons retenu l’attention, pourquoi? Parce que c’est très facile… de faire semblant… et c’est ce que vous faîtes tout le temps… semblant de voir dans le noir. Semblant de jouir auprès de tous les impuissants.
Caroline : trêve d’amabilité : Personne comme votre nom l’indique vous n’impressionnerez jamais personne…
Qu’est-ce que la désinformation? Littéralement c’est la déformation de l’information. Dans l’esprit : c’est une information tronquée faussée retouchée… avec l’intention de tromper, de manipuler l’auditeur ou le spectateur… ou le mateur amateur. Non… pas la peine de consulter le dictionnaire, ni de faire appel à un spécialiste en matière de communication, il nous suffit de nous appliquer à réfléchir… à regarder de plus près comment on se fait avoir, en y étant pour quelque chose. Je prends au hasard, ce qui tombe sous la main - on a volé un nouveau-né dans un hôpital à Marseille. Quoi? On a volé un bébé dans un hôpital à Marseille Comment ? On ne le sait pas pour le moment, tout ce qu’on sait c’est qu’on n’a pas retrouvé le bébé … On relate un fait. Une parole qui en dit suffisamment pour nous dispenser dans un premier temps de tout commentaire Un fait est un fait : on a volé un bébé Qu’est-ce que ça nous apprend ? Entre autre qu’on peut aujourd’hui, demain vous enlever votre bébé Un fait qui produit donc un effet immédiat l’identification… on lève la tête, on hoche la tête, on se prend la tête en se disant : dans quel monde nous vivons… même dans un hopital, nous sommes pas à l’abri du danger, celui de l’insécurité, qui frappe de plein fouet les plus démunis qui ne peuvent pas se payer la clinique d’à côté avec des infirmières mieux payées et donc plus vigilantes et plus compétentes. Un fait est un fait, mais pas seulement, c’est surtout un fait relaté pour produire un effet, pour nous faire agir ou réagir… devant un problème de société… non, devant un problème éminemment politique… celui des moyens dont disposent nos hôpitaux inhospitaliers, donc alerte rouge : du côté du ministère de la santé… Fait relaté pour nous sensibiliser sur un problème d’insécurité… on n’est plus en sécurité, nulle part, même dans un centre hospitalier… Message adressé au ministère de l’intérieur… justice et police sont questionnées… comment y remédier t comment prévenir ce genre de méfait ? Nous voici donc bien informés : on nous a relaté les faits et on nous a appris quelque chose sur nous-mêmes et sur notre société. Cette information réduite à l’essentiel, pauvre en apparence est en réalité riche de sens… Quad on y pense et quand on prend le temps d’y penser : elle contient au moins deux concepts : - manque de moyens ( clin d’œil au ministre de la santé) - insécurité galopante ( clin d’œil au ministre de l’intérieur) Tout va… donc… mais pas bien et il était bon de le rappeler : on a volé un bébé une information sans concepts (neutre) qui s’avère comporter au moins deux présupposés : précarité (jusque dans l’hôpital public) et insécurité jusqu’à votre lit de mort. Où commence la désinformation ? Elle commence au moment où l’on tente de vous rajouter un petit supplément – un cod un complément d’objet pour vous orienter ou vous désorienter : Un nouveau né a été volé dans un hôpital à Marseille pas loin d’un quartier d’immigrés. Et l’on retrouve nos deux présupposés : manque de moyens et manque de sécurité mais avec un nouveau concept, un concept clé, qui va justifier les deux premiers : l’immigration. Le bébé n’intéresse personne, mais l’immigration intéresse tout le monde. Ce rajout ou cette déclinaison est très importante parce qu’elle ne se contente pas d’éclairer notre petite lanterne, elle nous indique non ce qui est fait mais ce qui nous reste à faire… Faire payer le coupable … le responsable… de ce désastre social = notre politique d’immigration : trop d’immigrés… donc pas de sécurité. Nous a t on informé ? Oui bien entendu… Nous a t on désinformé ? Oui avec ce petit malentendu… puisque le lien entre le vol et la proximité du quartier des immigrés n’est pas encore avéré, n’a pas été prouvé, il est juste “présumé” supposé, soufflé sur le feu de … pour l’attiser. Il y a désinformation parce qu’on relate non pas un fait mais ce qui dans le fait est susceptible de produire un effet, d’entretenir l’opinion sur ses vieux démons : nation, immigration néo-colonisation …. On me dira alors que cela n’a rien de bien méchant… que c’est une désinformation bénigne et non maligne Sauf que c’est la base sans laquelle il n’y a pas d’édifice : le journaliste, la télé, la presse, les médias et tout le quatrième pouvoir. L’air de rien… c’est là le centre de gravité On n’a pas relaté un fait… on a cherché un fait susceptible de produire l’effet que nous voulions produire sur l’opinion C’est le prototype le plus simple et le plus fort de toute manipulation d’opinion La question n’est plus de avoir : qu’est-ce qu’on nous raconte ? MAIS POURQUOI EST-CE QU’ON NOUS LE RACONTE ? après tout , le fait non pour qu’on se fasse une opinion mais que notre opinion se fasse sans nous C’est le premier palier de la désinformation il y en a d’autres J’y reviendrai… si on ne me coupe pas d’ici là le sifflet !
Pourquoi nous interdit-on de publier des sondages la veille et le jour des élections? C’est PASSIBLE de prison… c’est l’objet et le sujet de toutes les culpabilisations. Pourquoi ce qui était conséquent devient du jour au lendemain inconséquent? Comment le remède devient poison? Parce que la volonté de tous a toujours été entre les mains de quelques uns et qu’il n’y a pas et il n’y aura jamais de volonté générale… désolée, Rousseau! Parce que la démocratie n’est que l’expression de quelques volontés particulières… Qui ont fini par imposer leur dict. et leur diktat. C’est grave, mon petit homme, parce que je suis entrain de te dire, sans crier gare, que le peuple… n’existe pas! Et les médias, de la gazette à Internet nous prouvent chaque jour qui passe, que nos opinions ne sont pas nos opinions. Que l’opinion publique est l’entremetteuse, et nous autres citoyens de vulgaires putains qui passons notre temps à élire des pantins!
P est Q Retenez bien ces deux lettres de l’alphabet P est Q Un sujet, un verbe et un complément Et quel verbe ? Le verbe être s’il vous plaît Le verbe être même si ça vous déplaît P est Q Deux particules qui servent de base pour toute logique élémentaire Deux lettres abstraites, tirées de quelque part Pour signifier quelque chose de très concret P est Q P comme Personne… Q comme quelqu’un, c’est ce que je me dis pour noyer le poisson… P joue le rôle de sujet, auquel on attribue Q pour le qualifier C’est la vie, avec des sujets et des attributs reliés par un être toujours déjà présent P est Q On dirait mais on ne le dira pas : deux notes de musique, deux couleurs, un ton sur ton… Deux vers extraits d’un poème sur l’univers P est Q
Le drame de toute pensée c’est qu’elle ne peut s’en empêcher… de juger… de déjuger… P est Q parce que la messe doit être dite Nous avons besoin de juger ou de déjuger le monde dans lequel on vit P est Q parce que ça doit être dit Notre constitution l’a bien prévu… parce que c’est et ce sera toujours incontournable ! LA LIBERTÉ D’EXPRESSION Juger pour exercer notre fonction de sujets quitte à traîner dans la boue d’autres sujets. On peut tout dire de tout et nul n’a le droit de nous en empêcher ! P est Q
On peut se tromper… et tromper les autres par la même occasion… mais c’est un moindre mal. Parce que le mal absolu, c’est la censure ou l’autocensure. Le mal absolu c’est d’imposer ou de s’impose quelque retenue. Parce que l’enjeu c’est la liberté… No limit holdem … pour la liberté d’expression, toutes les surenchères sont les bienvenues parce que la moindre restriction risque d’engloutir l’essence même de tout existant : liberté d’impression et d’expression qui sont les deux faces de la même médaille : la liberté de penser. P est Q et advienne que pourra P est Q parce que le jugement le plus erroné est moins nocif qu’une liberté verrouillée P est Q On peut songer aux propositions les plus absurdes : Comme La terre est ronde… sans doute Le ciel est gris… un doute Socrate est pédophile… deux doutes Dieu est mort… trois doutes
Marine est une riche héritière… c’est Éva Joly qui le dit… Marine a porté plainte… Éva a été relaxée. Le plus à plaindre c’est le tribunal qui a statué et l’office qui a reçu la plainte en considérant que la plainte était recevable! P est Q cela veut bien dire quelque chose… qu’on ne peut pas intenter un procès à la liberté d’exprimer que nous sommes libres de s’exprimer et d’exprimer l’inexprimable… La liberté est un danger Votons pour celui ou celle qui peut la protéger P est Q Les mauvaises langues auront avec ces deux lettres, au moins de quoi se torcher …