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20/03/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 14.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

14.02.2013

14/02/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " LE COUP DU FOULARD "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

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  A l'écriture riche et précise.

 

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http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Personne : c’est sur ces questions que va porter votre prochaine émission ? Dites moi tout ! Dites-moi comment vous allez encore ne fois perpétuer vos mochetés et vos lâchetés ?

Caroline : je ne lâche rien… comme un chien enragé… je ne mords pas pour mordre mais pour communiquer ma rage…. ma rage de vivre debout et pas à genoux.

 

12/02/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " FOUREST GRIMPE "

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Émeline : Enfin quelqu’un en face de Personne… bienvenue Caroline

 

Caroline : je vous remercie Émeline

 

Émeline : je m’appelle Lou, je ne m’appelle pas Émeline

 

Caroline : j’ai fait ma petite enquête sur vous… vous vous appelez Émeline

 

Émeline : vous devez avoir un léger strabisme… vous auriez dû lire maline… c’est plus malin au féminin, n’est-ce pas ?

 

Caroline: changer de mine… ça ne change pas votre patronyme

 

Émeline : vous adorez… c’est fou ce que vous adorez faire passer les choses de l’ombre à la lumière.

 

Caroline : je n’en suis pas peu fière… je suis pour tous mes détracteurs un lapsus révélateur… le logiciel anti-virus, le seul qui distingue encore distinctement un corps sain d’un corps malsain… je parle de corps de doctrine bien sûr!

 

Émeline : heureusement que vous n’avez pas fait médecine… sinon vous auriez saisi qu’il n’y a pas plus malade qu’un corps drapé de moraline…

 

Caroline : je suis journaliste d’investigation… et analyste par la force des choses… et par la force des choses un peu généalogiste… je remonte jusqu’aux gênes du bien et du mal… qui sont à l’origine de toutes les malversations, de toutes les exactions… c’est mon job.

 

Émeline : vous n’avez jamais été tentée de vous démonter vous-même?

 

Caroline: tant que l’horloge fonctionne, il n’y a aucune raison de la démonter… l’heure c’est l’heure et comme j’aime le jazz, je la donne de bon coeur.

 

Émeline : mais on m’a toujours appris qu’avant de tenter sur les autres, a moindre analyse, il faut commencer par s’analyser soi-même… c’est un principe de précaution.

 

Caroline : c’est affreux, le freudisme… que vous me fredonnez… Non, je n’analyse pas l’âme, madame, mais je fais comparaître certaines analyses devant le tribunal des faits… les faits qui sont faits… et que nul n’a le droit de défaire ou de refaire.

 

Émeline : en somme, vous vous sentez dans la peau d’une femme de ménage… vous nettoyez un peu tout autour de vous…et si je relis vos livres, je m’aperçois que vous lavez encore plus blanc que vos propres confrères… vous êtes bel et bien madame propre.

 

Caroline : n’essayez pas de me déstabiliser… vous savez, j’ai toujours eu les pieds sur terre… je marche toujours droit et je reste toujours debout quoi qu’on en dise.

 

Émeline : Femme de ménage, qu’est-ce que je raconte ? vous avez l’âme d’une bonne sœur…. d’une prêtresse des temps modernes… qui a toujours fait prévaloir l’ordre moral en distinguant le bien qui fait du mal , du mal qui fait du bien… moi je dis : chapeau bas l’artiste.

 

Caroline : cessez de vous foutre de ma gueule… je suis insensible aux blâmes comme aux louanges… je fais ce que je dois faire… mon devoir, point barre.

 

Émeline : est-ce que je vous manquerais de respect si je vous disais que vous donnez l’impression d’être mal aimée? Remarquez: je n’ai pas osé dire : mal baisée… et même si tous les faits me contredisaient je continuerais à dire que cette Caroline ne doit pas beaucoup prendre son pied. Et pour cause : votre adrénaline est investie dans des choses beaucoup moins anodines.

 

Caroline : encore une inversion de sujets : je ne peux pas être mal baisée puisque c’est moi qui les baise.. et comme je fais souvent très mal, il faut croire que je les baise bien.

 

Émeline : Non. Vous ne les baisez pas… sinon vous n’en ferez pas tout un cinéma… vous aimeriez bien le faire… mais vous avez du mal à le faire… du coup, vous les imaginez en train de le faire … en vous masturbant soigneusement dessus… puis vous mettez le tout bout à bout et vous vendez le scénario à France Télévision.

 

Caroline : autrement dit, je baise tout le monde : les médias, les médiatisés et les médiateurs… pour qui vous me prenez ?

 

Émeline : pour quelqu’un qui passe à la télé parce qu’il a réussi à regrouper trois corps de métier : concierge, détective et balance. Une sacrée prouesse pour un petit bout de femme.

 

Caroline : vous m’enviez on dirait ?

 

Émeline : on a dit les fait Caroline et pas l’interprétation des faits… même si je reconnais que vos interprétations font beaucoup d’effets… et pour une raison très simple : parce que ça reste très général… ça interpelle facilement le genre humain. Au royaume des aveugles … vous êtes la reine qui ne voit que d’un œil. Vous pouvez raconter n’importe quoi… ça passe comme une lettre à la poste.

 

Caroline : vous avez l’air de sous estimer le grand public. Élitiste de mes deux! C’est lui qui vote. C’est lui qui choisit son programme à la télé… vous n’y pouvez rien… à chaque fois que j’y passe… je laisse des traces. Dans le métier on appelle ça le coefficient de crédibilité.

 

Émeline : pas de charme entre nous… ne soyez pas plus bête que ce que vous êtes… vous le savez… moins c’est relevé comme niveau et plus ça plaît… vous ne faîtes pas de l’info mais du divertissement… vous nous reposez de la vérité, en nous racontant des débilités…

 

Caroline : vous avez regardé mon film sur la 5 hier soir ?

 

Émeline : un plot qui se moque des théoriciens du complot. Non… je ne voudrais surtout pas être méchante ou désobligeante. Je vous ai trouvé haineuse plutôt que glorieuse… vous black-listez les gens comme au bon vieux temps sous l’occupation. Vos propos m’ont donné envie d’aller voir et revoir de près, tous ces gourous auxquels vous avez coupé le sifflet… leur délire m’a semblé plus crédible que votre délire.

 

Caroline : vous n’allez pas me dire que vous aussi vous approuvez ces conspirationnistes ?

 

Émeline : en un seul mot ou en deux mots ? Non je me moque de vous parce que vous avez du mal à vous moquer de vous-même. Le plus intéressant ce n’est pas de savoir s’il y a eu complot ou pas complot… mais de savoir jusqu’à quel point il n’y a PLUS D’INFO.

 

Caroline : pour dire vrai, je ne sentais pas cette confrontation… on m’a prévenu que ce serait surfait… sur-joué… scénarisé, mais bon tant pis! J’assume comme j’ai toujours assumé.

 

Émeline : pour en revenir à votre émission, il n’y avait pas plus de raison de croire que l’Irak détenait des armes de destruction massive que de croire qu’Al Quaïda était le seul instigateur et réalisateur de son forfait. Et pourtant, des gens comme vous ont cru et continuent de croire ces deux versions ou diversions.

 

Caroline : moralité : vous vous rangez du côté de ces détraqués qui s’inventent des trucs pour faire régner la peur, la terreur… le désordre et la discorde.

 

Émeline : je ne suis Personne et je ne rejoins Personne mais je fais encore la différence entre vivre et raconter… entre ceux qui ont le droit de l’ouvrir comme vous et ceux qui ont le devoir de la fermer comme eux.

 

Caroline : ils l’ont déjà ouverte, comme ce Thierry Meyssan , comme Soral, comme Cheminade… mais personne ne les a suivi, parce que tout le monde a bien vu qu’il n’y avait rien derrière la porte… ou plutôt si : leur propre sentinelle… la sentinelle du néant propre à tous les négationnistes.

 

Émeline : en tout cas, pour vous c’est le cas. Parce qu’à part pour votre légende personnelle, je ne vois pas l’intérêt de vous en prendre à tout ce qui se situe au-dessus de votre niveau de conscience… mais je le sais on n’a pas le droit de reprocher à une naine d’être un nain.

 

Caroline : une naine… peut-être… un peu vilaine… sans doute… mais qui ne fait de mal à personne.

 

Émeline : surtout pas vilaine mais hautaine surtout… et qui ignore tout le mal qu’elle fait… parce qu’elle simplifie à outrance en indiquant certains remèdes et en contre-indiquant certains poisons… vous êtes bien le médecin imaginaire qui ferait mieux d’aller se faire soigner…

 

Caroline : parce que j’ai osé affronter tous les démons de l’extrême… parce que j’ai montré les vrais visages de Le Pen, de Ramadan, de Meyssan? Parce que j’ai démonté tous leurs montages et remonté jusqu’au cœur de leurs messages ?

 

Émeline : c’est ce que vous croyez. Vous n’avez rien fait d’autre que rappeler que tout le monde est beau… que tout le monde est gentil et qu’il ne faut surtout pas prêter l’oreille à ceux qui prétendent le contraire. Je ne sais pas si vos adversaires sont dans le vrai, tout ce que je puis savoir c’est que vous, vous ne l’êtes pas… loin s’en faut. Il suffit de bien vous écouter pour en avoir le cœur net et savoir que vous n’en savez rien. Rien sur le concert des nations. Rien sur l’Islam, rien sur l’extrême droite, rien sur l’extrême gauche, mais tout sur votre centre qui est partout et sa circonférence nulle part. C’est ce que Sartre appelle une putain irrespectueuse.

 

Caroline : vous dénigrez vous aussi le printemps arabe ?

 

Émeline : non… tout ce que je dis c’est qu’il n’y aura pas de printemps pour Caroline chérie!

 

Caroline : vous me menacez ?

 

Émeline : encore une analyse foireuse. Je veux dire que la Révolution se fera sans doute sans vous…. et peut–être même contre des gens comme vous qui distribuent gracieusement les plus mortels des somnifères.

 

Caroline : vous êtes une intrigante, voilà ce que vous êtes

 

Émeline : pourquoi je vous ai intrigué ? Je vais vous dire ce qu’il faudrait retenir de notre petite virée : nous n’avons rien dit d’essentiel et pourtant nous avons retenu l’attention, pourquoi? Parce que c’est très facile… de faire semblant… et c’est ce que vous faîtes tout le temps… semblant de voir dans le noir. Semblant de jouir auprès de tous les impuissants.

 

Caroline : trêve d’amabilité : Personne comme votre nom l’indique vous n’impressionnerez jamais personne…

08/02/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Adieu l'Ami "

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Nobody : on se vouvoie ou on se tutoie ?

Personne : je ne tutoie personne. Je vouvoie tout le monde.

Nobody : je vous remercie donc d’avoir accepté cette vidéo conférence

Personne: c’est une première, je l’ai accepté pour vous dire aussi que ce sera la dernière

Nobody : avec vous, on ne sait jamais si vous êtes différente ou indifférente

Personne: je ne suis pas la même que moi-même. Parce que je cultive la différence… le changement… le mouvement

Nobody : Pourquoi vous ne répondez à aucune invitation sur Facebook? Pourquoi vous évitez la confrontation… la conversation… l’échange tout simplement?

Personne : parce que je ne détiens pas la vérité… parce que je n’en poursuis aucune.

Nobody : ça n’exclut pas l’échange des idées

Personne: vous ne trouvez pas “normal” que je reste à l’écart d’un processus de dégradation dont vous faîtes tous les jours les frais ?

Nobody: je ne vois pas de quoi vous voulez parler ?

Personne: vous voulez que je sois solidaire de votre enfer de solitaire, que je m’inflige les châtiments que vous vous infligez et que je subisse les banalités que vous vous faîtes subir?

Nobody: parce que vous vous estimez au-dessus de la mêlée ?

Personne: pas au-dessus. Ni dedans. Je suis hors-jeu : offside

Nobody : vous vous prenez pour qui?

Personne : pour Personne… ce n’est pas un nom… mais un choix de vie.

Nobody: vous finirez par être écrasée par une majorité de plus en plus écrasante qui tisse des liens, créé des réseaux et fixe les règles du jeu.

Personne: oui, j’en suis consciente, une majorité dépourvue de confiance en elle-même, incapable de plaider une autre cause que la sienne, et qui s’exhibe pour se donner bonne conscience.

Nobody: tout doux! Tout doux! Nul n’échappe aux lois du marché. À l’offre et à la demande. Vous nous offrez une info scénario par jour… la moindre des choses c’est de tenir compte de notre demande… de notre envie d’en savoir plus sur vous, sur votre travail, sur votre vision du monde. C’est salutaire pour tout le monde.

Personne: non, ce n’est pas mon salut que vous cherchez, vous vous tourmentez et vous voulez que j’en fasse autant… partager vos tourments… pourquoi pas ? Seulement voilà… je n’y crois pas… je les trouve artificiels… votre mur est un mur de lamentations païennes devant lequel tout le monde pleure sur son sort.

Nobody: on pleure. Oui. Mais on rit aussi. On tombe et on se relève les uns, les autres. Nous sommes plusieurs. Vous êtes seule.

Personne: foutaise! Personne ne relève personne. En revanche je vous concède que vous n’êtes pas seuls à tomber… vous tombez bien ensemble. Facebook c’est la version laïque de la chute.

Nobody: mais c’est ça la vie : un monde qui vous tombe dessus… c’est inévitable

Personne: dois-je m’excuser parce que je fuis les dépendances ? Pourquoi voulez-vous me contraindre à une servitude analogue à la vôtre? En vérité, s’il en est une : vous vous êtes laissé prendre à une certitude et vous enviez mes incertitudes, mes allergies aux dogmes de la modernité vous êtes jaloux de ma liberté.

Nobody: pourquoi ne pas en débattre?

Personne: vous voulez que je me débatte au milieu des mêmes tortures que vous ? Vous voulez m’obliger à souffrir ce que vous souffrez et à chercher ce que vous cherchiez ? Pour la plupart… c’est l’âme-sœur… amour, gloire et banalité.

Nobody: les réseaux sociaux ont permis à certains de faire la révolution… d’opposer une véritable résistance aux tyrans… de divulguer les plus sombres raisons d’états.

Personne: qu’est-ce que vous voulez ? Me précipiter dans l’abîme de l’actualité? J’y suis déjà et à chaque fois que je rédige un billet, c’est pour rappeler qu’il y a aussi un sommet… un sommet pour tous et pour personne, qui exclut les romances et les confidences telles qu’on les pratique sur twitter ou facebook où l’on confond réflexe et réflexion, échanges et vidanges, ébats et débats.

Nobody: je croyais que vous étiez une femme libérée?

Personne: c’est pour ça que vous voulez m’enchaîner à vous-même, à votre cause, à votre insupportable solitude… vous vous ennuyez et ça vous fait souffrir… vous souffrez et ça vous ennuie. C’est un état petit bourgeois, de mômes qui n’ont pas trouvé de chat à fouetter.

Nobody: dans ce cas, je vous prie de ne plus publier vos putains de vidéos sur mon mur…. et je vais de ce pas me retirer de vos amis. Au diable Personne !

Personne: une de perdue… Adieu Nobody!

 

23/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Vœux à la presse "

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Je suis lasse… bien lasse
De voir tant de bonnes volontés à la ramasse
Tous ces esprits, déviants… devenus avec le temps…
De mauvais esprits… des esprits dépourvus d’esprit.
J’en veux et je m’en veux d’en vouloir à tous ces détecteurs de vérités, dont la bonne foi n’est pas en cause, mais dont l’œuvre s’apparente de plus en plus à une basse manœuvre de déstabilisation, de désinformation, d’endoctrinement…
Pensée parallèle avec beaucoup de zèle.
Oui, je ne crains pas de le révéler : la dissidence est en pleine déliquescence …
C’est devenu, une science sans conscience, une série noire, un roman policier où tout personnage est suspect… où l’intrigue n’a d’autre fin que d’intriguer… et semer le trouble dans les esprits.
Tout est sujet d’embrouilles depuis que les internautes se sont emparés de la communication pour en faire une théorie de la fornication.
De quoi s’agit-il?
De complot… de théories de complot… de sombres pratiques du complot… belote et rebelote….. ça pelote donc ça complote… le sens dessus est dessous
Rien au dessus. Tout est dessous. Dessous des cartes! Dessous du jeu… le dessous de ce qu’il y a en dessous. Nos apprentis sorciers ne font pas de sorcellerie lorsqu’ils décrètent que tous les dés sont pipés. C’est un constat d’huissier seulement voilà : ils oublient les leurs! Leurs leurres !
Relisez bien les blogs les plus visités et vous serez sur le cul.
Parce que la vérité est au fond de l’abîme…
Il n’y a qu’une seule et unique prescription : il faut descendre…
Non aucun ne vous recommandera jamais de vous élever jusqu’à la cime mais de descendre jusqu’au fond de l’abîme… là où il n’y a plus rien à craindre… plus personne à plaindre… descendez… si vous ne voulez pas que l’on vous descende… descendez… puisque plus rien dans ce bas monde ne vous incite à remonter la pente !
Le déclin… est le seul moyen de reprendre votre destin entre vos mains
Vérité du fin fond de l’abîme qui rappelle à tous ceux qui veulent bien répondre à l’appel :

- qu’il y a une pensée de derrière
- qu’il y a un calcul de derrière
- qu’il y a une puissance de derrière

Et moi, je dis, comme l’autre con, que ce qu’il y a derrière c’est mon cul… même s’il n’est pas toujours bordé de nouilles!

Une petite figure de style :
Il paraît… que dans toute apparence… il y a l’idée d’obéissance…
Il paraît que… les forces de division, c’est comme ça que je les appelle, sont en train d’installer un peu partout des états islamistes pour déloger les tyrannies d’hier et préparer leur main mise sur le monde de demain.
Guerre malsaine parce qu’ils ne pourront pas demain venir à bout de la charia sans passer par la guerre sainte.
Comme quoi, il ne faut pas trop y compter… sur les comptes.
Et je mets les acteurs et les commentateurs dans le même sac de nœuds…

Pour les uns, comme pour les autres, je présente mes meilleurs vœux!

30/11/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "BLOGUEURS !"

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Blogueurs c’est pour quel leurre ?

Je meurs… tu meurs… il meurt

Mais où sont donc passés, vos idéaux ?

De changer le monde en changeant l’image du monde ?

D’informer  en donnant une forme vraie aux faits déformés

De  faire réfléchir au lieu de refléter bêtement ce qui est?

 

Blogueurs, oiseaux de malheur !

On dirait que vous avez mauvaise presse.

Sans doute parce que votre presse est mauvaise.

On dirait que vous ne constituez plus le vrai contre-pouvoir, parce que depuis vous vous êtes laissés faire par le vrai faux pouvoir.

On dirait que le mal est bien plus profond que ce que vous redoutiez  puisqu’il n’est pas en dehors de vous… mais à l’intérieur de vous…

On dirait que c’est plus fort que vous, que vous ne pouviez pas réécrire  une histoire que vous n’avez pas écrite….

 

Blogueurs à la bonne heure !

A chaque fois que l’un d’entre vous a dit du mal de l’autre…

Il a divisé  par cent l’impact  des deux

À chaque fois que l’un d’entre vous a œuvré pour sa propre légende, il a terni l’image de toute la bande.

À chaque fois que l’un d’entre vous a voulu réussir aux dépens des autres… il a contribué à l’échec de tout le monde.

 

Blogueurs Yalah!  Tous en chœur !

Cessez de vous  tirer dans les pattes

En vous lavant les mains…

C’est maintenant ou jamais

De ressembler à quelque chose en vous rassemblant

Pour annoncer le vrai, le beau et le juste

Et dénoncer  le faux, le laid et l’injuste

C’est  maintenant ou jamais

De redevenir une armée au service du général et non du particulier!

20/05/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA BOURSE OU LES AMIS ?"

 

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Les bons comptes font les bons amis
Lieu commun qui ne m’inspire rien de bon
Bonté divine…
Que l’homme est mesquin
Bonté divine…
Que la femme est mesquine !
Les bons comptes font les bons amis….
Ha ! Ha ! Ha ! Et pourtant c’est ce qu’on dit !
Parce que l’erreur est humaine
L’économie inhumaine, qui assimile les comptes à jour avec les contes des mille et une nuits
Pourquoi dit-on que les bons comptes font les bons amis?
Parce qu’on compte avec ou parce qu’on compte dessus?
En sachant qu’on ne peut compter avec que si on ne compte pas dessus.
Ou peut-être parce qu’on ne veut pas avoir à compter ?
Oui, c’est ce qu’on dit pour ne pas tourner en rond….
On fait en sorte pour que les comptes soient bons…
Ah! Ah ! Ah !
Bonne attitude… mauvaise habitude
Pour ne pas se retrouver seul à seul avec sa solitude
Honnêteté de gens malhonnêtes… Facebook… Internet….
Moralité sans parfum d’éternité
Les comptables ont beau compter
La vérité, la beauté, l’amitié, ne seront jamais rentables ou comptables, les bons comptes ne font les bons amis que pour ceux qui aiment l’argent et collectionnent les amis
Des amis côtés en bourse
Car je vous le dis en vérité:
La bourse ou les amis,
Vous avez peur de l’argent
Vous avez peur de la vie
1+1, ça peut faire deux
Mais ça peut aussi faire de l’ombre à Dieu
Pour se faire des amis, il ne faut ni compter avec, ni compter dessus mais les aimer et laisser la vie se faire.
Aimer la vie et les laisser faire…
Heureux ! Sont ceux qui ne savent et ne sauront jamais compter…