14/08/2013
JEAN COCTEAU DEPEINT MARCEL PROUST
JEAN COCTEAU
DEPEINT
MARCEL PROUST
Portrait souvenir
11/01/1962 - 52s
Jean COCTEAU fait le portrait de PROUST et de sa chambre.
Production
Générique
16:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, jean cocteau, marcel proust, dépeindre, portraiturer, caricaturer, souvenir, faire le portrait, tirer le portrait, chambre, antichambre de la mort, gérard herzog, roger stéphane, roland darbois, ressembler, maison de famille, partir pour les vacances, enrobage, mousse, housse, meuble, épousseter, balayer, comparer, aquarium, glauque, vexer, quitter son lit, cabinet de toilette, nouille froide, justeaucorps, violet, contenir, rouages, mystérieux mécanisme, se vêtir, velours, gilet
05/08/2013
NO PROBLEM: Craig WELCH (1993)
NO PROBLEM
SYNOPSIS
Ce court-métrage d’animation raconte l'histoire d'un célibataire tiraillé par des forces opposées : l'une, fort impulsive, l'autre, rationnelle. Quelle voix, sinon la sienne, finira-t-il par entendre pour se décider à poser les gestes qui lui permettront de faire le grand saut dans l'amour et le monde extérieur? Un film qui, tout en étant du plus haut comique, dépeint avec brio la dualité profonde qui divise parfois chacun d'entre nous. Film sans paroles.
01:31 Publié dans IMAGES MOBILES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, canada, film d'animation, no problem, craig welch, synopsis, court-métrage, raconter l'histoire, célibataire, tiraillé, forceps, opposition, force, impulsion, rationel, rationalité, voix, permettre, faire le grand saut, amour, monde extérieur, film, comique, dépeindre, avec brio, dualité, profondeur, diviser, sans paroles, muet
03/04/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: " LE MOT DE LA FIN "
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Vivre… la chose n’est pas si simple!
Surtout, parce que je ne me sens prisonnière d’aucune vérité…
Rien… ne m’a jamais dispensé de réfléchir… aux présupposés…
Parce que rien ne m’a jamais semblé « bien fondé ».
Tout était sujet à caution …
C’est peut-être pour cette raison que je n’ai jamais rien cautionné…
Ni le bon, ni le mauvais.
Mon refus de prendre parti m’a beaucoup appris, sur les hommes et les idées…
J’étais et j’ai toujours été pour tous les points de vue, surtout contre le mien. Contre moi-même.
J’étais ma seule et unique adversaire, pendant que je fuyais les partenaires de tous bords… j’aimais me retrouver seule, sans secours, ni recours… me disant qu’il est bon d’être seule car la solitude est difficile.
Qu’il était bon aussi d’y réfléchir, car la réflexion est difficile… lorsque la pensée se regarde ou se sauvegarde avec toute la peine du monde.
Je le sus très tôt : personne ne peut assister personne.
Il n’est qu’un chemin, pas deux : le mien ou le tien… qu’on fait semblant de prendre pour le nôtre.
J’ai toujours laissé tomber les échanges sur les rêves bleus : tout ce qui nous fait songer à un possible partage comme pour nous faire oublier la gravité de notre solitude… de notre finitude… de notre impossible béatitude.
Je le sus un peu plus tard : toute raison enferme une passion.
Je ne cherche donc pas les raisons mais les passions cachées ou ignorées dans tout système de pensée. Les mobiles m’intéressent. Pas les motifs.
Non pas parce que je crois à l’inconscient mais précisément parce que je n’y crois pas.
Ce sont nos consciences qui simulent et dissimulent à outrance… parce qu’elles ont peur de vivre et de mourir…. peur de soi et donc des autres.
Non… je n’ai pas choisi de rédiger le journal de Personne pour être ou devenir quelqu’un.
Mais pour nous inciter les uns et les autres à lire au lieu d’élire, à se comprendre au lieu de se méprendre à loisir.
À chaque fois que je vous écris, je me dis en tremblant, quitte à perdre son temps, essayons de le perdre ensemble.
Quitte à avoir tort, essayons de tendre l’oreille à toutes les raisons du monde.
Car la vie, au cas où je ne l’aurais jamais dit est un théâtre où il n’y a pas d’autre lumière que celle qu’on veut bien faire.
Jouons le jeu… c’est ça notre rôle.
Le mien.
15:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, le journal de personne, patrick milique, tailler la route, dégoûter, tracer sa vie, mano solo, dépeindre, quai de métro, à plaindre, voyou, trouer, le quai d'en face, grimacer, tous dans la même galère, bagout, escarpin, couloir, cheval noir, amants, interdire les animaux, trou du cul du monde, chassé-croisé, face à face, pâleur, ad libidum, refrain, compléter