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11/12/2016

UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX

4

 

Historiquement, depuis qu'il est devenu possible de le diagnostiquer, le cancer provoque une vive aversion.
Une frayeur aussi terrible que légitime.
Aussitôt après que tu m'eus informé de l’exécrable nouvelle, quelque chose a fait blocage en moi qui m'a déterminé à ne pas savoir, tu le vois bien, parler de cette maladie.
Pire, encore, je n'ai même pas su la nommer pour cette seule raison qu'il m'était impossible de prononcer le mot cancer, alors que c'est le seul que tu as utilisé toi, aussitôt son identification confirmée, pour m'en faire part.
Le courage décidément, ça ne s'improvise pas.

Étymologiquement le mot cancer vient du grec «karkinos» qui signifie, s'en étonnera-t-on, «crabe» ou «pince».
Comme par hasard!

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

14/07/2016

LABYRINTHE PRIMAIRE 7

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LABYRINTHE PRIMAIRE
7

 

Tout comme, dans la vie courante, la vision précède l’œil, la simplicité est pré-existante par vocation.

Tranchons donc, sans réticence superfétatoire, le nœud gordien que représente l'inutile regret.

Je vous confirme qu'il n'est nul parjure à demeurer le contemporain de ses émotions pas plus que des promesses systématiquement trahies par d'improbables normes éthiques.

 

La simplicité, s'affirme dans la distension  amplifiée des mailles des concepts trop insuffisamment lâches.

C'est grâce à elle qu'il sera possible à chacun de s'indexer aux métamorphoses latentes.

Soyons-donc fous!

Troquons avec enthousiasme l'intelligence pour le génie.

Ne manquons pas cette fois la singulière occasion qui nous est accordée d'inventer l'éternité!

C'est encore ce qu'il y a de plus simple pour passer le temps, non?

 

(FIN)

 

P. MILIQUE

24/02/2016

FÉLIN POUR ELLE 21

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

FÉLIN POUR ELLE

21

Cela me rassure Eliott de constater à quel point tu occupes une place rare: celle qui a pignon sur son cœur et fenêtre sur le soleil de son âme.

Tu sais, je n'ai guère à m'enorgueillir de cet état de fait. A part celui de posséder en moi un atout décisif: je ne suis qu'un chat! Il lui est donc plus aisé de s'affranchir auprès de moi des œillères, rigides et parfois obtuses, qui déforment la vision déjà embryonnaire de la perception. Les mêmes, à l'exact, dont semblent dotés certains de ses congénères humains.


Ton analyse est de fait habile et judicieuse. Tu es bien placé pour savoir que moi-même je suis ours. Alors forcément...
Il n'empêche, cela se confirme, qu'elle a enfin accepté l'évidence.

Et elle a bien du mérite à cela ta maîtresse. Elle naviguait à vue, troublée, décontenancée, ne comprenant plus rien à cet amour de vivre qui peu à peu s'estompait. Pendant longtemps, elle a perçu ses vibrations au plus profond de ses palpitations viscérales. Cela remettait violemment en cause les fondements même d'une existence bâtie au coup par coup.
Il faut dire qu'en amour, les conséquences d'une perfidie, méprisable toujours, ne s'affichent souvent qu'au regard de l'irréversible.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

19/11/2015

IRRÉFRAGABLE UNICITÉ 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

IRRÉFRAGABLE UNICITÉ

2

Dès sa naissance, l'identité ne possède aucun caractère interchangeable ni, à plus forte raison, dissoluble dans une quelconque pulsion communautaire. Aucune appartenance à un groupe quel qu'il soit, ne saurait faire de moi ce que je ne suis pas programmé à être.

Il s'agit certes d'une banalité énoncée, mais il faut bien prendre acte qu'il est tout à fait impossible de durablement différer de soi-même.

C'est ainsi et rien n'y fera, nous sommes tous en état d'aliénation identitaire.

Et il serait d'une candeur perverse de feindre l’insubordination à cette réalité intangible.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

18/09/2015

EN MÈCHES DE SOUVENIRS 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

EN MÈCHES DE SOUVENIRS

4

Fulgurante préhension d'un étonnant réel trop réel dans la conscience
D'un échec fortuit qui violemment déconcerte, perturbe et blesse.
La brutalité précise de telles émotions confirme par les larmes
A quel point dans la vie il est dur de prétendre parvenir jusqu'à soi.

Ma préoccupation de ce fait est devenu d'un tout autre ordre
Puisqu'elle me conduit, chaque jour, de douleurs en douleurs
Jusqu'au désir de ne plus être avant que la proximité de la mort,
Par bonheur, ne me révèle en creux indéchiffrable prix de la vie.

Il n'empêche que régulièrement, le silence se fait trop assourdissant.
Et cependant...

(FIN)

P. MILIQUE

20/07/2015

TRAUMATISME CONSIDÉRABLE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

TRAUMATISME CONSIDÉRABLE

4

Dans le feutré de là-bas j'aimerais être auprès d'elle
Et savoir la soutenir, la réconforter de mots,
De gestes affectueux où simplement de regards.
Lui faire un berceau de mes bras, lui confirmer
Qu'il faut parfois beaucoup de temps, de paroles,
De recul, pour revisiter la magnificence de la vie
Inexorablement écornée par le manque du père.

D'ordinaire elle m'écoute avec attention, paisible.
Je pressens qu'il en sera de même cette fois encore,
Car elle possède l'indispensable potentiel nécessaire
Pour effectuer ce travail sur elle et qui lui est imposé.

L'aube neuve se lèvera au premier éclat de rire revenu.

(FIN)

P. MILIQUE

30/03/2015

UN MAGICIEN DES MOTS 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UN MAGICIEN DES MOTS

2

Il est important de porter l'identité de l'Afrique inconnue hors des zones d'ombre.
De poursuivre les incursions au tréfonds de la réalité, d'en confirmer les intuitions.
Transhumance passionnelle et engagée qui laisse apparaître d'autres visages
Et laisse présager l'aventure infinie et l'énergie soutenue des regards à venir.

Les pensées affluent, les sens s'aiguisent davantage et la vie, forces dimensionnelles
Et longue hémorragie, défile et embrase les attentes majeures et incontournables.

(FIN)


P. MILIQUE

20/08/2014

STRATÉGIES SUBVERSIVES

au magma présent de l'écriture,

 

STRATÉGIES SUBVERSIVES

 
 

Observe-le cet individu faire dans le genre concentré, trop concentré

Pour être crédible pour sûr, compte tenu qu’il se croit fin stratège,

Alors qu’il n’est au mieux qu’à l’initiative de péripéties mal maîtrisées.

 

Pourtant il se reconnait une humilité non feinte, presque noble,

Face à cet acte d’écrire qui, cela se confirme,

Ne lui livrera jamais l'intégralité de ses secrets

Et le confine à l'étroite promiscuité avec l’obligatoire réflexion.

 

Quoi de plus subversif que ce jeu énigmatique jusqu’à l’obsession?

 

La recherche dans l’infini des combinaisons possibles à l’imaginaire

Conduit souvent à des répétitions qui ouvrent parfois, étonnées d'elles,

Des failles vertigineuses et des troublants retournements de situations.

 

Vois-le, saturé de ces méditations, lucioles fugaces qui ne révèlent

Que très rarement l’arc-en-ciel de la phrase comprise et domestiquée,

Mais dont le flux accoste presque toujours à une finalité similaire:

Un agglomérat d’opacités inutilement discursives et argumentées.

 

P. MILIQUE

01/08/2014

LENTE HÉMORRAGIE

au magma présent de l'écriture,

 

LENTE HÉMORRAGIE

 

Il est à espérer ton quotidien se révèle plus lumineux que le mien,

Car tu n’as pas l’âge de payer cash les tâtonnements de l’existence.

 

Je me suis interrogé jusqu’à l’obsession, et malgré le désir de faire beau,

Je ne peux que confirmer qu’elle n’est que doutes et colères rémanents.

C’est une part d’irrationnel qui envahit la réalité de ses éclats d’arbitraire,

C’est une fresque naturaliste mais effrayante en ses interrogations inouïes

Lorsqu’en ses corridors coule la lente hémorragie d’inguérissables blessures,

Véritable concentré de cauchemars obscurs, vie réelle aux perfides morsures.

 

La tempête déchire l’air, et le tableau est accablant qui rend le jour chagrin.

 

P. MILIQUE

25/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "FRANCE -- AMBULANCE"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"FRANCE -- AMBULANCE"

 

Et j’ai assis la France sur mes genoux, et je l’ai trouvé névrosée et je l’ai psychanalysée…
Qu’est-ce que vous croyez, vous qui ne croyez pas, une âme collective peut aussi être sondée, interrogée, soignée.
La France souffre depuis longtemps de je ne sais quoi et de presque rien, mais depuis quelque temps, plus rien ne va… c’est la paralysie totale…
Elle a, comme on dit, besoin d’une bonne cure de désintoxication, d’une analyse en profondeur des raisons de son désarroi, pour que son déclin ne soit pas confirmé par un triple « C » attribué aux âmes chaotiques.

- France, je vous prie de vous asseoir sur ce divin divan, plutôt que de vous mettre à genoux… oui… je sais … que vous ne tenez plus debout, mais ce n’est pas une raison de me signifier que vous êtes plus bas que terre… l’amertume ne justifie pas l’enclume.

- France, je vous écoute… j’entends vos souffrances, je comprends vos doléances mais en psychologie, on ne peut pas attribuer la faute à pas de chance. On ne peut pas se décharger de ses responsabilités en invoquant « la conjoncture » ou le rapport des forces, on y est toujours pour quelque chose, rien qu’en s’y rapportant.

- France, France ne me dites surtout pas que ce sont vos deux derniers amants qui vous ont mis dans cet état ? Je ne vous suivrai pas non plus sur cette pente que toutes les mauvaises fois arpentent. Et puis vos amants, vous les avez choisi, élu, porté aux nues. Vous ne pouvez donc vous en prendre qu’à vous-mêmes. Ce qui est navrant et névrotique en même temps, ce n’est pas tant de se faire saigner à blanc de temps en temps mais de l’être tout le temps et par les mêmes larrons. Cette automutilation à répétition cache je l’avoue un déséquilibre réel. Je dirai même un étrange dérèglement!

- France, vous êtes bien malade et votre maladie est paradoxale : là où toute âme bien née et qui n’a jamais lu Michel Onfray, s’emploie à tuer le père, à se débarrasser de toute tutelle, vous vous efforcez de restituer le père, de le ressusciter même, il était mort sous de Gaulle et vous l’avez ramené sur terre… en vous accrochant aux lacets des chaussures américaines… vous les suivez au pas et vous aplanissez leur voie.
USA… USA: c’est ça votre surmoi?
Le concept en basket et un petit Lemon-incest sous la couette avec votre père outre Atlantique. Vos enfants seront simples et sans tête…

- France, inutile de me fredonner la chanson du mal aimé, vous n’êtes pas à plaindre… vous ne faîtes rien d’autre que feindre « le désamour ». Vous ne vous aimez pas. Et ça vous console de le projeter sur les vôtres et sur les autres. Comme quoi, il n’y a pas plus sadique qu’un masochiste qui peut aller jusqu’à faire faire aux autres un mal qu’ils n’auraient jamais fait par eux-mêmes : la Libye, le Mali, la Syrie ne sont que des coups déportés, des douleurs rapportées dont vous voulez devenir la seule héritière.
Jouir et se réjouir d’un mal provoqué : c’est le comble de la perversion.

On le sait depuis Baudelaire, les plus beaux orgasmes, ce sont les orgasmes artificiels… ciel! Mon Mali. Artificielle, ma Syrie!
Tout va… syrien ne va!
C’est la nouvelle psychose humanitaire : on vous fournit toute l’aide nécessaire, pour permettre à vos adversaires de mieux vous entuber vous, mais en pensant à nous.

Parce qu’au fond nous n’avons qu’un rêve, n’est-ce pas ?
We have a dream : nous faire entuber à notre tour.

Désolée, mais l’heure c’est l’heure… je vais devoir interrompre cette séance
Vive l’ambulance! Vive la France!

17/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA QUADRUPLE RACINE DU MAL"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"LA QUADRUPLE RACINE DU MAL"


 

Pour communiquer un message comme celui que je m’apprête à vous

 

communiquer…

 

il faut un émetteur et un récepteur qui disposent du même code ou d’un décodeur pour que le message ne soit pas brouillé.

 

Mais il en faut bien davantage si on cherche à faire passer un message d’une manière efficace…

 

Autrement dit si on cherche à influencer ou avoir une influence sur le récepteur qui peut être électeur ou consommateur.

 

Ce n’est pas à la portée de n’importe qui en effet, de vendre n’importe quoi.

 

C’est un long apprentissage, un art, une science, toute une technique qui n’a pas d’autre but que de vous subordonner, vous soumettre, vous faire voter ou vous faire acheter ce qui lui plait ou ce qui correspond à ses intérêts.

 

 

 

Je suis le fusil, vous êtes les pigeons.

 

Et ne croyez surtout pas que ça tire à blanc. Tous les experts en communication pourront vous l’attester ou vous le confirmer : tout s’achète et tout se vend : y compris votre propre avis, votre jardin secret, votre journal intime… s’achète et se vend comme une vulgaire lessive.

 

Les maîtres mots de toute « com » c’est larguer, fourguer, vendre bons et mauvais objets, bonnes et mauvaises idées, bonnes et mauvaises actions.

 

Vendre… tout le monde est vendeur… peut être parce que tout le monde est à vendre…

 

Je ne connais pas d’autre loi pour le marché que la loi qui nous fait marcher.

 

L’offre qui crée la demande. Faussement… artificiellement…

 

Ce ne sont pas des marchandises parmi lesquelles vous avez à choisir mais des choix qui vont s’imposer à vous comme allant de soi.

 

Cela est une pipe, dit le peintre en bâtiment.  Ceci n’est pas une pipe, répond l’artiste peintre. Pas la peine de tout dramatiser, le monde le fait pour vous.

 

Ils choisissent pour vous le type de carrière, le type de conjoint et le type de cercueil.

 

C’est cela même le monde impitoyable de la com, de la communication, ce qui nous est commun à tous: devant l’étalage d’un magasin, sur un écran de télévision ou à travers des échanges sur le net… C’est un cercle vicieux qui nous empêche d’agir et de réfléchir par nous-mêmes.

 

 

Un vrai mensonge qui a une quadruple racine :

 

 

En premier : la pub : la publicité qui lave plus bleu, plus blanc, plus rouge

 

En deuxième : les publics relation, les relations publiques qui vous font croire que vous êtes une VIP , une very importante personne… y compris sur le site de rencontre sur lequel vous avez eu droit à votre premier coup de foudre.

 

En troisième : la presse qui vous entretient sur machin jusqu’à le rendre compatible avec votre machine à enregistrer et à relayer le mensonge.

 

 

Et en dernier : le marketing dit stratégique parce qu’il sait comment faire pour vous transformer en pigeon, en client, en simple agent d’exécution d’un tout autre dessein que le vôtre.

 

Voici le fameux cercle infernal! Voilà où se situe le mal politique et commercial.

 

Comme vous pouvez le remarquer, vous y êtes pieds et poings liés.

 

Non ?

 

Vous plaisantez j’espère!

 

Vous avez étudié dans l’école qu’on vous a indiquée.

 

Fréquenté les milieux qu’on vous a conseillé.

 

Épousé la femme qu’on vous a présenté.

 

Et voté contre celui qu’on vous a déconseillé.

 

Vous êtes fait comme un rat.

 

Plutôt quatre fois qu’une !

 

En deux mots : vous vous êtes raté Monsieur.

 

Un seul remède à vos quatre maux :

 

Quitter immédiatement ce cercle… et sans vous retourner…

 

Qu’est-ce que vous attendez ?

 

Une bonne retraite ?

 

Vous serez mort avant de l’avoir perçu.

17/04/2013

N'ÊTRE RIEN !

au magma present de l'ecriture,

 

 

N'ÊTRE RIEN !

 

C'est vrai qu'elles prennent des proportions effarantes

Ces notions de culpabilités porteuses d'une mélancolie

Qui suinte de rêves improbables et toujours inassouvis.

 

Le lien essentiel existant avec l'expérience de la déraison

Impose une suite continue de destructions partielles

Au cœur d'un impossible transférable qui confirme

Le ressort perdu, cependant lourd de significations,

Sans jamais apporter l'ombre d'un quelconque démenti

A l'humiliation ultime patiemment concoctée.

 

On ne peut pas vivre quand on sait n'être rien!

 

P. MILIQUE