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03/08/2015

DISSIDENCE VERTE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

DISSIDENCE VERTE

2

Ce serait malhonnête posture pour moi que de faire semblant d'être outré par l'évident manque de conscience collective et planétaire. Conscience collective à laquelle, de fait, j'appartiens passivement. Je ne serais pas crédible en majorée effarée auprès de ceux qui me connaissent. Je serais bien vite suspect à leurs yeux. Et ce serait mérité.
Il faut dire que je m'affirme et me revendique fervent dissident de l'intégrisme écologique ambiant. Je fait partie, oui, de cette majorité agissante de la population qui n'entend pas être dérangée, pas même à minima, dans son petit confort égoïste. Surtout qu'à observer le dérisoire décourageant des résultats obtenus...

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

02/08/2015

DISSIDENCE VERTE 1

au magma présent de l'écriture,

 

DISSIDENCE VERTE 1



Le fait est incontestable: on ne fait que nous assaillir dans la continuité de multiples informations concernant les changements climatiques en cours. Ou encore les gestes qu'il est nécessaire d'effectuer pour se donner une chance de sauver la planète. Une planète que nul désormais ne peut plus ignorer être en péril.
On appelle cela l'écologie. Et c'est au goût du jour. Pire même, c'est à la mode.

La mode, c'est le costume qu'enfile la superficialité pour faire illusion. En réalité, bien peu de comportements appropriés sont régulièrement effectués.
Pour de nombreux individus il est chic et de bon ton, un peu snob peut-être, de se prétendre sensibles aux modalités de sauvetage en cours. Et de s'autoproclamer, ce faisant, citoyen supérieurement avisé. Mais soyons réalistes, que se passe-t-il au juste dans leurs maisons, leurs bureaux, leurs usines et dans leurs manières de vivre au général?
Pas grand chose, il faut bien en convenir. Ou alors de toutes petites, infimes, auxquelles chaque sympathisant de la cause semble se raccrocher comme à une bouée d'espoir. Mais si nous observons une macroscopie du réel, le constat de l'inanité des efforts laborieusement consentis est consternant.

A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

24/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 30/09/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

30/09/2013

L'identitovigilance : une innovation technocratique en milieu hospitalier.

01/06/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL " LE MODELE "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"


"LE MODELE"

Lu par Catherine SAUVAL


(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

 Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 

 

 

 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

31/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL : " AVANT TOUT CELA C'ETAIT L'HIVER "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"

 

" AVANT TOUT CELA C'ETAIT L'HIVER "

Lu par Nicolas LORMEAU


suivi de

NE PAS TOUCHER

Lu par Adeline D’HERMY


(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 


 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

30/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "LE JARDIN QUI PLEURE... "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"


"LE JARDIN QUI PLEURE... "
Lu par Benjamin LAVERNHE


 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.


On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

Réalisation : Michel Sidoroff

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

29/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"

"LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "

Lu par Louis ARENE

 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.


On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

Réalisation : Michel Sidoroff

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

28/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917" "À PROPOS DE CES VERS "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917" 

"À PROPOS DE CES VERS "

Lu par Benjamin LAVERNHE

 

Tiré du recueil Ma sœur la vie, L'été 1917

 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 

 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

23/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Vœux à la presse "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Je suis lasse… bien lasse
De voir tant de bonnes volontés à la ramasse
Tous ces esprits, déviants… devenus avec le temps…
De mauvais esprits… des esprits dépourvus d’esprit.
J’en veux et je m’en veux d’en vouloir à tous ces détecteurs de vérités, dont la bonne foi n’est pas en cause, mais dont l’œuvre s’apparente de plus en plus à une basse manœuvre de déstabilisation, de désinformation, d’endoctrinement…
Pensée parallèle avec beaucoup de zèle.
Oui, je ne crains pas de le révéler : la dissidence est en pleine déliquescence …
C’est devenu, une science sans conscience, une série noire, un roman policier où tout personnage est suspect… où l’intrigue n’a d’autre fin que d’intriguer… et semer le trouble dans les esprits.
Tout est sujet d’embrouilles depuis que les internautes se sont emparés de la communication pour en faire une théorie de la fornication.
De quoi s’agit-il?
De complot… de théories de complot… de sombres pratiques du complot… belote et rebelote….. ça pelote donc ça complote… le sens dessus est dessous
Rien au dessus. Tout est dessous. Dessous des cartes! Dessous du jeu… le dessous de ce qu’il y a en dessous. Nos apprentis sorciers ne font pas de sorcellerie lorsqu’ils décrètent que tous les dés sont pipés. C’est un constat d’huissier seulement voilà : ils oublient les leurs! Leurs leurres !
Relisez bien les blogs les plus visités et vous serez sur le cul.
Parce que la vérité est au fond de l’abîme…
Il n’y a qu’une seule et unique prescription : il faut descendre…
Non aucun ne vous recommandera jamais de vous élever jusqu’à la cime mais de descendre jusqu’au fond de l’abîme… là où il n’y a plus rien à craindre… plus personne à plaindre… descendez… si vous ne voulez pas que l’on vous descende… descendez… puisque plus rien dans ce bas monde ne vous incite à remonter la pente !
Le déclin… est le seul moyen de reprendre votre destin entre vos mains
Vérité du fin fond de l’abîme qui rappelle à tous ceux qui veulent bien répondre à l’appel :

- qu’il y a une pensée de derrière
- qu’il y a un calcul de derrière
- qu’il y a une puissance de derrière

Et moi, je dis, comme l’autre con, que ce qu’il y a derrière c’est mon cul… même s’il n’est pas toujours bordé de nouilles!

Une petite figure de style :
Il paraît… que dans toute apparence… il y a l’idée d’obéissance…
Il paraît que… les forces de division, c’est comme ça que je les appelle, sont en train d’installer un peu partout des états islamistes pour déloger les tyrannies d’hier et préparer leur main mise sur le monde de demain.
Guerre malsaine parce qu’ils ne pourront pas demain venir à bout de la charia sans passer par la guerre sainte.
Comme quoi, il ne faut pas trop y compter… sur les comptes.
Et je mets les acteurs et les commentateurs dans le même sac de nœuds…

Pour les uns, comme pour les autres, je présente mes meilleurs vœux!

11/06/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA VIE EST BELLE"

 

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U