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08/08/2017

PERCEPTION INADÉQUATE

au magma présent de l'écriture,

 

 

PERCEPTION INADÉQUATE

 

A vivre dans une société où la vanité tient son rôle,

Où chacun appréhende au vif de trouver sa place,

Il est de l'ordre du tentant d'accepter l'incohérence.

 

Même à ne pas s'abandonner aux affres de l'obscur,

L'irrigation est contingente de toutes ces petites choses

Dissonantes ou juste déplacées dans l'intime qui résonne.

 

Par la faute d'une perception inadéquate au monde,

Entre fidélité harmonieuse et détachement esthétique.

Cette sorte d'égoïsme détestable ouvre sur le paradoxe

D'aimer et dans le même temps peut-être ne pas aimer

Jusqu'à étreindre cette destinée violemment individuelle

Qui l'expose à une grande fadeur, au secondaire. Au rien!

 

Chaque homme devrait savoir rayonner d'un large sourire,

Un sourire qui ne serait autre que la signature du timide

Et la marque lumineusement romantique de son humilité.

 

P. MILIQUE

26/04/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 23.04.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

23.04.2013

20/03/2013

LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL : MICHEL FOUCAULT

 

LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL 

MICHEL FOUCAULT

10 mars 1975

 

Jacques CHANCEL s'entretient avec le philosophe, professeur au Collège de France, Michel FOUCAULT. - Générique début - A 00'57 : sur le savoir, a toujours été dans le savoir. Mai 1968 a été une révolte contre l'interdiction d'un certain savoir, Mai 68 a été une ouverture et invasion d'un nouveau type de savoir, ses diplômes, son enseignement au Collège de France. Le savoir doit être lié au plaisir, la pression des parents sur les enfants, l'importance relative des diplômes, l'impression qu'il veut offrir à son lecteur. - A 18'57 : pourquoi il a écrit sur la folie, le savoir médical lié au pouvoir psychiatrique, le livre "Histoire de la folie". La psychiatrie comme instrument d'assujettissement et de normalisation des individus. - A 28'49 Son livre: "Surveiller et punir", la surveillance fait fonctionner le pouvoir punitif, la peine de mort, la police et l'armée. la police et l'armée supplicient, la surveillance n'a pas de bornes politique ni sociale, il n'est pas contre la punition, mais souligne le lien entre la punition et le pouvoir politique, les supplices étaient des rituels royalistes, les relations de pouvoir. - A 49'18 la non réaction des psychiatres et des marxistes, parle de Roland BARTHES et de leurs divergences, son envie de liberté, de repartir à zéro. Emission diffusée le 10 mars 1975 sur France Inter