02/08/2017
EFFLEUREMENT INSISTANT
EFFLEUREMENT INSISTANT
Ange appliquons-nous, ensemble, a jouir
Pleinement ce temps qui nous est mesuré!
Le soleil de notre amour, orne les belles choses.
Partageons-les toutes en les pratiquant à deux.
Il y a l'évidence extatique bonheur d'être nous.
Il y a tout cet amour, toute cette folle générosité.
Il y a tout ce qui se développe à fleur de nous.
Il y a tous ces jours délestés où il fait agréable
Et au cœur desquels nos rires nous rapprochent.
Il y a ce chemin emprunté qui conduit au soleil
De l'amour rutilant. A celui de notre amour donc.
Il y a se poser, en vis à vis, sur le banc d'un square.
Il y a nos mains nouées pour flâner entre les arbres.
Il y a ces longues contemplations avides d'abondances
Et cet horizon en attente qui parfois au loin s'embrase,
Et les lueurs incendiaires du couchant qui s'épanchent
En crête d'une Ardèche en réponse au Vercors opposé.
Il y a ces matins de fraîcheur, doux au corps et à l'esprit.
Il y a ce triomphal chatoiement, cette splendide nature,
Si belle, si séduisante, et amplifiée par ta seule présence.
Il y a l'ingénuité douce et moelleuse du vent complice,
La caresse bleue du ciel et l'ardente morsure du soleil.
Il y a le temps qui vit l'étreinte insistante de nos doigts.
Amour, ce sont des souvenirs qui se régénèrent actuels.
Comment ne pas se les approprier et se les partager
Alors même que nos deux cœurs en fusion débattent
A tout rythme la cadence effrénée d'un amour infini.
P. MILIQUE
09:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, autoroute, endroit, bas-côté, rentrer dans le rang, bienvenue, saluer, lgbt, coproduction, avertissement, projet, militantisme, saus homosexuelle, public, dimension, climat, universel, arrière-plan, associatif
25/10/2013
NUITS DE KIN UNE VIRÉE MUSICALE DANS LES RUES DE KINSHASA « LES LARMES DE L’INTÉRIEUR »
NUITS DE KIN
UNE VIRÉE MUSICALE DANS LES RUES DE KINSHASA
« LES LARMES DE L’INTÉRIEUR »
(10'41")
La nuit tombe sur "Sans fil", un quartier populaire de Kinshasa. L'orchestre Yaco se réunit au fond d'une arrière-cour semblable à celle d'un village. Ces musiciens d'origine yansi ont quitté la Bandundu, une région voisine de Kinshasa, pour trouver un avenir meilleur dans la capitale du Congo. Ils improvisent sur des instruments de fortune, deux guitares fabriquées sur place et des pieds de chaise métallique en guise de percussions. Et quand passe la fanfare des shégés, les enfants abandonnés, les rues de Kinshasa résonnent comme celles de la Nouvelle-Orléans dans la série "Treme".
ARTE Radio a coproduit avec Le Monde.fr le webdoc de Geoffroy Heimlich, "Un archéologue au Congo" - lien plus bas.
Enregistrements : août 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation & voix : Geoffroy Heimlich
00:23 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, nuit sans fin, kinshasa, virée, musical, ruelle, larme, intériorité, geoffroy heimlich, la nuit tombe, sans fil, quartier populaire, orchestre, yaco, se réunir, au fond d'une arrière-cour, semblable, village, musicien, d'origine yansi, quitter, bandundu, région voisine, trouver, avenir meilleur, capitale du congo, improviser, instrumentaliser, fortune, guitare, fabriquer, sur place, pied de chaise, métallique, en guise de percussions, passer, fanfare, shégés, enfant abandonner, rue, résonner, nouvelle-orléans, la série trème, arte radio, coproduction, le monde, webdoc, un archéologue au congo, plus bas, sorcellerie