25/10/2013
NUITS DE KIN UNE VIRÉE MUSICALE DANS LES RUES DE KINSHASA « LES LARMES DE L’INTÉRIEUR »
NUITS DE KIN
UNE VIRÉE MUSICALE DANS LES RUES DE KINSHASA
« LES LARMES DE L’INTÉRIEUR »
(10'41")
La nuit tombe sur "Sans fil", un quartier populaire de Kinshasa. L'orchestre Yaco se réunit au fond d'une arrière-cour semblable à celle d'un village. Ces musiciens d'origine yansi ont quitté la Bandundu, une région voisine de Kinshasa, pour trouver un avenir meilleur dans la capitale du Congo. Ils improvisent sur des instruments de fortune, deux guitares fabriquées sur place et des pieds de chaise métallique en guise de percussions. Et quand passe la fanfare des shégés, les enfants abandonnés, les rues de Kinshasa résonnent comme celles de la Nouvelle-Orléans dans la série "Treme".
ARTE Radio a coproduit avec Le Monde.fr le webdoc de Geoffroy Heimlich, "Un archéologue au Congo" - lien plus bas.
Enregistrements : août 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation & voix : Geoffroy Heimlich
00:23 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, nuit sans fin, kinshasa, virée, musical, ruelle, larme, intériorité, geoffroy heimlich, la nuit tombe, sans fil, quartier populaire, orchestre, yaco, se réunir, au fond d'une arrière-cour, semblable, village, musicien, d'origine yansi, quitter, bandundu, région voisine, trouver, avenir meilleur, capitale du congo, improviser, instrumentaliser, fortune, guitare, fabriquer, sur place, pied de chaise, métallique, en guise de percussions, passer, fanfare, shégés, enfant abandonner, rue, résonner, nouvelle-orléans, la série trème, arte radio, coproduction, le monde, webdoc, un archéologue au congo, plus bas, sorcellerie
07/09/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES BOURGEOISES
SI NOUS VIVIONS EN 1913
LES BOURGEOISES
La vie quotidienne au début du XXe siècle, racontée par l’historien Antoine Prost. Aujourd’hui, les jeunes filles de bonne famille…
Antoine Prost préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Une dame de la bonne société ne sortait pas sans son chapeau.et ses gants. Une femme en cheveux dans la rue ou avec un fichu sur la tête, c’est une femme du peuple, une ouvrière. Les paysannes portent souvent un fichu ou une coiffe dans certaines régions notamment pour la messe. Les dames de la bonne société ne travaillent pas, ni chez elle, ni en dehors de chez elle. Ce sont des maîtresses de maison…
Mrs. Vanderpoel, Mrs. Fred D. Johnson, and Mrs. C.K.G. Billings (LOC) © The Library of Congress - 2013
22:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, bourgeoise, pascal arroyo, vie quotidienne, missionner, dame, bonne société, sortir, chapeau, gant, cheveu, rue, fichu sur la tête, femme du peuple, ouvrière, paysane, porter, coiffer, régional, région, messe, raconter, travailler, dehors, ville, maîtresse de maison, bernard lavilliers, poussière, sueur, vivant, balader, improviser
06/09/2013
FAIRE OU NE PAS FAIRE Thomas BOIVIN « CES MECS-LA, TU VAS LEUR PARLER »
FAIRE OU NE PAS FAIRE
Thomas BOIVIN
A LA RUE
« CES MECS-LA, TU VAS LEUR PARLER »
(2mn 03)
Thomas BOIVIN est photographe salarié dans un cabaret parisien. Son travail consiste à faire le portrait des spectateurs au cours de la soirée. La journée, il se promène et photographie dans la rue. Petite leçon d'éthique du reportage. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.
Enregistrements : avril 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte
17:32 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : au magma present de l'ecriture, thomas boivin, rue, mec, parloir, aude laporte, photographe, salarié, cabaret, parisien, travail, consistance, consister, tirer le portrait, spectateur, course, soirée, journée, se promener, phographer, petit, leçon, éthique, reporage, rien à voir, raconter, photo, prendre, samuel hirsch
11/01/2013
SE RENCONTRER ENCORE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
SE RENCONTRER ENCORE
2
Il monte en lui, irrépressible et de plus en plus oppressante, une grosse mauvaise humeur. Et il a beaucoup de mal à juguler cet hurlement de colère qui a pris naissance au plus profond de ses tripes et qui encombre son cœur, sa gorge, ses lèvres dans l'attente d'une éructation libératrice. Et puis d'abord, pourquoi le retient-il? Pourquoi ne se laisserait-il pas aller à l'exprimer cette hargne? A l'expurger, à la vomir même! C'est bien après lui qu'il en a, non? A cet instant, il se déteste.
Du monde dans la rue, surtout en fin de semaine, il y en a toujours beaucoup. Mais bon sang, à cet endroit précis, à cet instant précis, on dirait qu'il y en a trop. Beaucoup trop. Décidé à prendre le métro, il accélère le pas et fend la foule d'un pas décidé, se faufilant au mieux pour enfin arriver devant les grilles de la station étonnamment fermées. Fermées? A cette heure-ci?
(A SUIVRE...)
09:27 Publié dans NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, se rencontrer encore, monter, irépressible, oppressante, mauvaise humeur, avoir mal, juguler, hurlement, colère, prise de contact, naissance, au plus profond, tripes, encombrer, mal au coeur, gorge, lèvre, attente, éructation, libérateur, se laisser aller, exprimer, hargne, expurger, vomir, se détester, monde, rue, fin de semaine, toujours beaucoup, bon sang, endroit précis, instant précis, dire, décider, prendre le métro, acclérer le pas, fendre la foule, d'un pas décidé, se faufiler, arriver, devant les grilles, station, fermer, fermeture
03/11/2012
LES FRANCAIS ET LE LIVRE: "LA FUREUR DE LIRE"
LA FUREUR DE LIRE
Midi 2
17/10/1992
02min01s
En ce jour de "fureur de lire", visite chez un poète strasbourgeois qui a réussi a concilier sa passion de l'écriture avec un travail a mi temps chez un libraire. Rencontre avec Marc SYREN, en situation : chez lui, dans la librairie et dans les rues du quartier de "La petite France" à Strasbourg.
Production
Générique
13:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, francais, livre, lecture, fureur de lire, singularité, enzo ferrari, maestro, rendre visite, poète, strasbourgeois, réussir à concilier, passion, écriture, travail à mi temps, libraire, rencontre, marc syren, situation, librairie, rue, quartier, la petite france, strasbourg, christine boos, participatif, publication, maintenir, les mots bleus, cueillir, roseraie