15/01/2014
LE JOURNAL DE PERSONNE "LES COCUS DE LA RÉPUBLIQUE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"LES COCUS DE LA RÉPUBLIQUE"
Vous m’avez posé la question de savoir quelle est la première dame de France ?
Pour vous répondre sans me reprendre, je vous dirai : que c’est l’affection… une affection qui chasse l’autre… une affection qui cache l’autre…
En moi, il y a toujours quelque chose de plus fort que moi… non pas l’État de droit mais mon État en fait.
Dans le genre animal
L’homme est la pire espèce
Et le moi, le pire des individus.
Avec le temps tous les êtres sont décevants
Lassants parce qu’ils se lassent
Passants parce qu’on s’en passe
Qu’est-ce que vous me racontez ?
Il n’y a plus de place pour une liberté d’expression.
C’est la liberté d’impression qui fait foi… qui fait la Loi.
Je ne sais pas s’il faut croire en la justice
N’ayant pu faire que le juste soit fort
On a fait en sorte pour que le fort soit juste… c’est Pascal qui râle
Non, je n’en crois pas un traître mot
Parce que je n’ai rien vu encore de juste. La Justice!
Une expression qui ne viendra jamais à bout d’une impression…
Qu’est-ce qui est vrai ?
Que la vérité est pauvre, que le mensonge est riche!
Mais c’est au plus riche qu’on cherche à plaire
Surtout lorsqu’on est pauvre…
Je crois avoir fait le tour de la bête humaine
Et en avoir retenu deux choses plutôt vilaines :
Qu’il faut définitivement renoncer à deux cocus :
La justice et la vérité
Pour que notre vie ne soit pas privée… de sens.
Vive la république… vive l’existence!
18:14 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, affection - cocus de la république - dieudonné - hollande - impr, canaille, cocufier, affection, genre animal, décevant, lasser, raconter, justiciable, traître, bête humaine, vilain, infernal, mastodonte, vaincre, perdre la guerre, indisposition, louis armstrong, cycliste, fantastique
30/11/2013
BARBARIE DANS LE MÉTRO CHRISTOPHE AGOU A NEW YORK «J’APERÇOIS LES JAMBES D'UN HOMME SOUS LE DEUXIÈME WAGON»
BARBARIE DANS LE MÉTRO
CHRISTOPHE AGOU A NEW YORK
(1’52’’)
«J’APERÇOIS LES JAMBES D'UN HOMME SOUS LE DEUXIÈME WAGON»
Christophe Agou est photographe indépendant. Il réalise à la campagne comme à la ville des images parfois très dures. Voici comment il a pu terminer son travail et son livre sur le métro de New York. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.
Enregistrements : avril 2013
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte
00:12 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, barbarie, métro, christophe agou, new york, apercevoir, jambe, homme, deuxième, wagon, aude laporte, photographe, indépendance, réaliser, campagne, ville, imaginaire, perfection, dur, terminer, travailleur, livresque, rien à voir, racontard, perdrix, samuel hirsch, cyclique, cycliste, dopage, armstrong, yves jamait, vacarme, raffut, pleur, larme, hurler