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07/01/2016

HAINE, JE TE HAIS! 3

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

HAINE, JE TE HAIS!

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Haine, je te hais!
Ainsi, par la seule faute de ces monstres, un jour
Le monde reprendra ses tatouages de guerre?
Ce serait une grave erreur que d'imaginer
La planète seulement habitée de marionnettes
Lâchement passives ou d'automates amorphes.

Pourtant, il faudra bien ouvrir les portes de la réalité.
Un jour j'ai lu: «La tolérance est le début de la lâcheté!»
Le doute est là: serions nous trop tolérants? Trop lâches.
Ce n'est rien mois que terrible tant il semble
Ne pas exister de fin possible avec ces gens-là.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

12/11/2013

LE BONHEUR INSÉCABLE

 

AMOUR.jpg

LE BONHEUR INSÉCABLE

 

Elle m'a ouvert une porte de lumière

Au cœur d'une nuit chaude pleine d'étoiles

Devenue l'horizon qui s'illumine

De chaque pépite au temps qui brille.

 

Au bonheur de la vie, elle est ma musique,

La mélodie sans fausses notes d'un Amour,

Aux flammes embrasées d'un enchantement de vie

S'égayant en lisière d'une forêt de mots doux.

 

C'est comme si j'avais toujours su

Que l'on s'aimait depuis longtemps

Elle est mon Soleil, je me réchauffe à elle

Lumière tendre dans l'aventure quotidienne.

 

Aujourd’hui rayonne dru mon cœur

A la voir me sourire et se blottir à moi

En ses bras murmurés lorsque ses yeux me parlent

Chavirer avec elle dans un océan fou.

 

Mes lèvres posées sur sa peau, douceur qui égraine le temps

Et dessine notre histoire sous la pulpe de ses doigts

Qui brillent jusqu'au toujours des nuits sans fin

En cueillette avide de baisers en bouquets.

 

Arrive l'instant où nos souffles arrêtent le temps

Déployé avec force contre vents et marées

Et dépose sur ses lèvres comme un battement d'ailes

Jusqu'à la rosée du prochain matin vêtu de bleu.

 

Encore écrire le cristal fragile de ce mot : Amour

Telle une pureté délicate tracée à l'encre rouge.

Un cœur soudé à l'autre, jamais ne se retire,

Et pour l'en séparer, il faut qu'on le déchire.

 

P. MILIQUE