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02/09/2017

UN JOUR LE GLAS...

au magma présent de l'écriture,

 

 

UN JOUR LE GLAS...

 

Les mots choisis rallient la problématique d'un temps

Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie

De cette heure dernière que tout un chacun redoute.

 

Cette problématique n'est pas vraiment inopportune

Puisque qu'on n'a jamais rien observé de plus radical

Que l'état de mort pour parapher la cessation de la vie.

 

C'est avec cet inéluctable-là qu'il nous faut nous heurter

En une lutte sans merci dénuée de toute espérance finale.

Alors, récalcitrant et besogneux, on entre en résistance...

 

Nul ne saura jamais empêcher le glas de retentir un jour!

Certes, nous n'arpentons pas encore le cœur de cet immédiat,

Force est de constater que tout fait écho à cette lourde menace

Envers laquelle il faudra fatalement nous confronter un jour.

 

Les mots choisis rallient la problématique d'un temps

Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie

De cette heure dernière que tout un chacun redoute.

Certains des mots choisis participent de cette genèse-là!

 

P. MILIQUE

09/09/2016

TOMBER DU NID 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

TOMBER  DU NID

2

 

Mais il y a une ombre dans l'espoir dérisoire:
L'oiseau a chuté du nid et il est mort ce soir.
Le piano s'est arrêter de jouer, tout est noir
Et mes ébauches manquent de perspectives.

Qui croire? Je vois l'horloge du temps hésiter.
Ivresse joyeuse: si elle pouvait enfin s'arrêter!

Tant pis. Une fois encore c'est lui qui a gagné.
D'ailleurs, inutile de perdre du temps à rêver,
Tant le temps me manque pour vous expliquer.

(FIN)

 

P. MILIQUE

07/01/2016

HAINE, JE TE HAIS! 3

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

HAINE, JE TE HAIS!

3

Haine, je te hais!
Ainsi, par la seule faute de ces monstres, un jour
Le monde reprendra ses tatouages de guerre?
Ce serait une grave erreur que d'imaginer
La planète seulement habitée de marionnettes
Lâchement passives ou d'automates amorphes.

Pourtant, il faudra bien ouvrir les portes de la réalité.
Un jour j'ai lu: «La tolérance est le début de la lâcheté!»
Le doute est là: serions nous trop tolérants? Trop lâches.
Ce n'est rien mois que terrible tant il semble
Ne pas exister de fin possible avec ces gens-là.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

18/09/2015

EN MÈCHES DE SOUVENIRS 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

EN MÈCHES DE SOUVENIRS

4

Fulgurante préhension d'un étonnant réel trop réel dans la conscience
D'un échec fortuit qui violemment déconcerte, perturbe et blesse.
La brutalité précise de telles émotions confirme par les larmes
A quel point dans la vie il est dur de prétendre parvenir jusqu'à soi.

Ma préoccupation de ce fait est devenu d'un tout autre ordre
Puisqu'elle me conduit, chaque jour, de douleurs en douleurs
Jusqu'au désir de ne plus être avant que la proximité de la mort,
Par bonheur, ne me révèle en creux indéchiffrable prix de la vie.

Il n'empêche que régulièrement, le silence se fait trop assourdissant.
Et cependant...

(FIN)

P. MILIQUE