03/12/2013
JOACHIM MONTESSUIS, MUR DU SON SONORITÉS(18) : MES DÉCIBELS EN TRANSE
JOACHIM MONTESSUIS, MUR DU SON
SONORITÉS(18) : MES DÉCIBELS EN TRANSE
(6’22’’)
« JE NE SUIS PAS UN ATTILA BRUITISTE »
A quel volume sonore entre-t-on en transe ? Combien de décibels pour pousser la conscience au bord du gouffre ? Joachim Montessuis répond : à fond les potards. Plus la dose est forte et plus le son, ce sérum de vérité, te révèle à toi-même. A la fois moine sonique et médium transgenre, Joachim Montessuis conduit son public à l'exode, loin du divertissement et du confort, vers des zones de tensions pure. Ses performances sont des défis à l'entendement. Mais derrière le mur du son, l'espace est vierge et la pensée plus douce.
En partenariat avec le festival Sonorités (Montpellier).
Enregistrement : octobre, décembre 12
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Pascal Mouneyres
00:54 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : joachim montessuis, mur du son, sonorités, décibel, en transe, attila, bruiteur, pascal mouneyres, volume, sonore, décibels, poussette, conscience, au bord du gouffre, répondre, à fond, potentiomètre, dose, force, sérum de vérité, révélation, zlatan ibrahimovic, moine, sonique, médium, transgenre, conduire, public, exode, divertissement, divertir, confort, zone, tension, pur, performance, défi, entendement, derrière, espace, vièrge, pensée, doux, partenariat, festival sonorité, montpellier, samuel hirsch
14/06/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "COMME UN SENTIMENT D'ALTERNANCE"
LA PARISIENNE LIBEREE
"COMME UN SENTIMENT D'ALTERNANCE"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai rangé toute la maison
Ça me prend parfois mais là c’était avec passion
Je ne sais pas comment, lavomatique, aspirateur
Y a subitement eu un déclic de bonne humeur
J’ai comme un sentiment d’alternance
Un soulagement
Une émotion qui balance
Enfin librement
Quelque chose qui recommence
Une respiration
Je suis tellement heureuse quand j’y pense
On change de saison
Je sors dans la rue, les gens sourient, sont détendus
Et sur la place des enfants crient, les passant passent
Sur le banc public les ados roulent d’un œil oblique
Pendant que leurs copains jouent aux boules
Voilà que ça me repique
J’ai comme un sentiment d’alternance
Un soulagement
Une émotion qui balance
Enfin librement
Quelque chose qui recommence
Une respiration
Je suis tellement heureuse quand j’y pense
On change de saison
Ça faisait longtemps que je ne rêvais plus
Aussi follement
Un bail vraiment que je n’avais pas eu
Ce genre d’élan
Je marche dans Paris ça sent le printemps
Sous le parapluie
Je marche dans Paris c’est étonnant
Comme aujourd’hui
J’ai comme un sentiment d’alternance
Un soulagement
Une émotion qui balance
Enfin librement
Quelque chose qui recommence
Une respiration
Je suis tellement heureuse quand j’y pense
On change de saison
Il était temps je n’en pouvais plus
Merci vraiment
Encore cinq ans je n’aurais pas tenu
Sérieusement
Il était temps de faire quelque chose
C’est fait maintenant
Je ne vais pas chanter la vie en rose
Mais quasiment
J’ai comme un sentiment d’alternance
Un soulagement
Une émotion qui balance
Enfin librement
Quelque chose qui recommence
Une respiration
Je suis tellement heureuse quand j’y pense
On change de saison
16:57 Publié dans LA PARISIENNE LIBEREE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la parisienne libérée, sentiment, alternance, ranger, maisonnée, passion, lavomatic, aspirateur, subir, déclic, bonne humeur, soulagement, émotion, balancer, libre, recommencer, respiration, changer, saison, sortir dans la rue, sourir, détention, placer, enfanter, crier, passer, banc public, adolescence, rouler, oeillade, oblique, copains, jouer aux boules, rêver, folie, bail, transgenre, élancer, sentir le printemps, parapluie, étonner