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08/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 24/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

24/01/2014

07/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 23/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

23/01/2014

06/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 22/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

22/01/2014

05/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 21/01/2014

 

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21/01/2014

04/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 20/01/2014

 

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

20/01/2014

03/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 17/01/2014

 

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17/01/2014

02/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 16/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

16/01/2014

01/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 16/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

16/01/2014

31/01/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 15/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

15/01/2014

30/01/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 14/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

14/01/2014

29/01/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 13/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

13/01/2014

29/12/2013

LE MASQUE OBSCUR 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LE MASQUE OBSCUR

2

 


J’habite alors les rudes contrées de la souffrance, là où la douleur se fait furie,

Avec à l’embrasé des paroxysmes, la peur-panique de flèches exponentielles.

 

Je m’éprouve dans un état déplorable, faible et fragile, passé au laminoir,

Avec, en ces moments où les heures divaguent, l’attitude en exode, modifiée.

Et c’est ainsi qu'enfourchant mon vaisseau fantôme, je ne sais plus me diriger.

Si encore je parvenais à demeurer  indifférent, sourd à la rumeur montante !

Il n’en est rien: je ne sais pas refouler ma souffrance dans l’irrévocable du vide.

 

Alors j’entre dans une noire colère, en guerre ouverte contre mon corps déchu.

Je m’embrase de rage et entreprend dans la violence de lui régler son compte.


Tout m’est souffrance  sans que, engoncé dans ma petitesse, je n’y puisse rien !

FIN

 

P. MILIQUE