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07/08/2017

MÉMOIRE VAGABONDE

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MÉMOIRE VAGABONDE

 

Comme elle me manque ta présence lumineuse,

Comme elle me manque, tu ne sais pas combien!

 

Par bonheur existe cet espace privilégié qui,

Le temps d'un furtif battement de paupières,

Exprime un rêve portant en son sein la somme

De tous les possibles restés jusque là inconnus.

Dans ce rêve saturé de lumière et d'émotion,

Vagabonde la mémoire. Et le regard change.

Il prend la consistance fragile d'une rencontre

Primordiale, troublée par ta profonde influence.

Moment essentiel d'où émane l'intense sensation.

 

Penser à toi m'apporte du bonheur. De la sérénité donc.

Et se murmure dans mes veines la paix enfin retrouvée.

 

P. MILIQUE

28/01/2017

DE L'AFFECTION POUR L'INCONTOURNABLE 1

au magma présent de l'écriture,

 

DE L'AFFECTION POUR L'INCONTOURNABLE

1



Elle est déstabilisante cette faculté d'accéder à l'intime
De ce qui par essence, devrait n'être que chuchotis feutré,
Une folle fuite en arrière, une capacité majeure à faire face
A tout ce qui se considère, à tout ce qui se manifeste toujours.

Il est tellement plus confortable de s'exclure du monde
Plutôt que d'avoir à l'affronter jusque dans ses différences,
Jusque dans ces difformités hétéroclites et revendiqués
Ou jusque dans l'inquiétante extravagance de sa normalité.

Elle est stupéfiante, oui, cette volonté folle de fuite en arrière
Qui jamais avant n'avait sollicité une quelconque clarification.
Mais elle est tellement plus proche de la chair du vrai
Que l'est la très orthodoxe et commune fuite en avant...

Il est beaucoup plus agréable, beaucoup plus lâche aussi,
Ce refus de combattre certifiant que la vérité est ailleurs
Que dans cet cette prescription inconditionnelle à s'affirmer
Dans une vie aussi peu coopérative à se parer d'arc-en-ciel!

Pour le moins est-il avéré que sur cette planète-là
Tout reste à gagner dans chaque quartz d'instant.

(A SUIVRE)

 

P. MILIQUE

04/02/2015

UNE APPÉTENCE MORTIFÈRE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UNE APPÉTENCE MORTIFÈRE

2

Il est comme dévoré au tréfonds par la maladie et l'amour.
Cet amour inespéré que lui offre une femme d'exception dans un foisonnement fou de couleurs et de parfums.
Une femme qui le lie à elle par la grâce d'une profonde et fidèle affection.
Il est désormais avéré que l'obstination de leur liaison secrète n'est autre qu'une réponse qui claque, cinglante, à la gueule de l'oubli.

Quant à la maladie elle, la maladie...
Elle offre maintenant la soudaine évidence de paysages désertés de toute présence humaine.
Le traumatisme survenu est déterminant et participe à la lente et irrésistible recrudescence de son désespoir.
L'avenir, jadis tout sourire, ne lui semble plus qu'un danger qu'il lui faut désormais éviter.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

03/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 17/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

17/01/2014

10/06/2013

FRANCIS PONGE: "LE PLAISIR DES BOIS DE PINS"

 

FRANCIS PONGE

"LE PLAISIR DES BOIS DE PINS"

"7 août 1940 "

Lu par  Michel FAVORY

Extrait du recueil La rage de l’expression (Gallimard)

 

 

Le carnet du bois de pins fut écrit, à partir du 7 août 1940, dans un bois près de la Suchère, hameau de la Haute-Loire où Francis Ponge, après un mois et demi d’exode sur les routes de France, venait de retrouver sa famille.

 

Pendant la guerre, Francis Ponge fut résistant et membre du parti communiste clandestin. Il quitta le parti communiste en 1947.

 

Extraits choisis par Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

01/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 31/05/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

31/05/2013

05/05/2013

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : "APPRENONS A RECONNAÎTRE UN COMMUNISTE"

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE  

"APPRENONS A RECONNAÎTRE UN COMMUNISTE"

 

12 déc. 1982 

01min 36s


Grâce à la radioscopie on peut voir que le communiste n'a pas d'âme ni de coeur.

 

 

  • Emission
  • La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Agence, Paris : France 3
  • Générique
  • réalisateur
    Fournier, Jean Louis
  • interprète
    Desproges, Pierre

20/01/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE 10

(La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède - 12/12/1982 - 01min36s)

 

 

APPRENONS A RECONNAITRE UN COMMUNISTE !