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08/07/2016

LABYRINTHE PRIMAIRE 1

au magma présent de l'écriture,

 

LABYRINTHE PRIMAIRE
1

 

En préambule, il est bon d'énoncer cette évidence connue de tous: pourquoi s'attacher à compliquer ce qui pourrait être n'être que simple?
Parce que c'est autrement plus facile bien sûr!
En l’occurrence, la formule, incisive et délicieuse, est plus axiomatique encore que ne le démontre souvent la simple réalité.

La fréquentation assidue du banal quotidien expose, à chaque fois que les circonstances l'y autorisent, combien la simplicité fragilise l'esprit quand au contraire l’embrouillamini le rassérène.

Cela dissout tout de même certaines prédictions intransigeantes.
Cela fait converger les éventuelles velléités du raisonnement dans de douteuses impasses.
Et, s'il est plus facile de faire le bonheur que d'être heureux, c'est aussi se compliquer bien stérilement l'existence.


De fait, à quoi servirait-il donc d'apprendre à faire simple alors que tout dans la vie disperse, se disperse le plus souvent au souffle d'une émanation de simplicité qui se méconnaît?
C'est ainsi qu'à peine les secondes se sont-elles inscrites au présent, que déjà le futur impatient les efface.
Tout est dans tout voyez-vous!
C'est d'une romanesque clarté sélénite, non?

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

26/01/2015

AVEC DES GRAINES D'UTOPIE 4

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

AVEC DES GRAINES D'UTOPIE

4

 

L'espoir est souvent crédule, ce qui induit une indispensable défiance propre à démontrer l'inanité de certaines utopies.

Il n'empêche, la peur d'un vide subodoré ne doit pas faire passer à côté de la réelle possibilité de raviver la torche de vie.

C'est tout de même grâce à lui que l'existence reste comestible, non?

Et c'est parce qu'il ne supprime en aucun cas la connaissance, que l'espoir, même si ça n'est que provisoire, le préserve du désarroi ultime.

Alors de la tristesse oui, de l'inquiétude pourquoi pas, mais soyons honnêtes: tout cela ne résulte que d'un pessimisme paresseux.

Prétexte superfétatoire certes, mais...

Qu'en serait-il de la seule perspective de sa suppression?

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE