27/07/2013
LES DESCHIENS: "LES MALADES"
LES DESCHIENS
"LES MALADES"
Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable.
PERSONNAGES:
M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).
M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).
Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.
Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.
Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.
Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.
Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.
SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens
23:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES DESCHIENS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ecriture, cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. c'est le sté, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. les dis, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...). mme saladin (interprétée par est une femme autori, soucieuse des apparences. elle apparaît souvent comme commerçant, parfois comme professeur de langues étrangères. bruno lochet: un, yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir, atmen kelif, john lennon, la valse des gens, s'aimer longtemps, rare bird, avouer, déplacer, téléphoner, vautrer, bousculade, pornographie, bernard-henri lévy, one man show, joueur, lancer son maillot, zidane, beésilien, déclencher, critiquer, piétiner, ne plus pouvoir respirer, prendre dans ses bras, dégueuler, vomir, saoul comme un cochon, supporter de foot, débile, actualité, avantager, sans rien foutre, marâtre, fulminer, autocar, se pavaner, falaise, baragouiner, repas des anciens, tête de turc, prophétie
29/04/2013
LES DESCHIENS : "LE GOÛTER AU PATE"
LES DESCHIENS
"LE GOÛTER AU PATE"
Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable.
PERSONNAGES:
M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).
M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).
Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.
Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.
Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.
Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.
Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.
SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens
04:26 Publié dans LES DESCHIENS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ecriture, cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. c'est le sté, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. les dis, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...). mme saladin (interprétée par est une femme autori, soucieuse des apparences. elle apparaît souvent comme commerçant, parfois comme professeur de langues étrangères. bruno lochet: un, yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir, atmen kelif, john lennon, la valse des gens, s'aimer longtemps, rare bird, avouer, déplacer, téléphoner, vautrer, bousculade, pornographie, bernard-henri lévy, one man show, joueur, lancer son maillot, zidane, beésilien, déclencher, critiquer, piétiner, ne plus pouvoir respirer, prendre dans ses bras, dégueuler, vomir, saoul comme un cochon, supporter de foot, débile, actualité, avantager, sans rien foutre, marâtre, fulminer, autocar, se pavaner, falaise, baragouiner, repas des anciens, tête de turc, prophétie
30/03/2013
LE PRÉSENT ÉPHÉMÈRE
LE PRÉSENT ÉPHÉMÈRE
Toute cette absence,
Depuis tout ce temps …
Je me sens pauvre et vide.
Je m'exténue dans un cache-cache
Épuisant et dérisoire
Avec en moi la sensation
De manque et de l'abandon,
Avec celle, douloureuse,
De ton éloignement aussi.
Mais je m'éclaire à te penser.
Je te sais ailleurs en ce même instant,
Époustouflante de verve,
De truculence et de singularité.
Source de jouvence ambulante,
Tout ton toi m'appelle à t'aimer
Et mon cœur affirme ta prophétie :
Je t'aime !
Se dessine enfin l'issue
De cette agaçante traversée.
Je vais pouvoir me réfugier
Dans le tendre crépuscule
Qui saura adoucir les brûlures
Du jour et s'offrir en refuge
Intime aux couleurs poétiques.
Ma pensée flotte, légère,
D'un nouveau bonheur à goûter
Dans la célébration rare
De l'éphémère présent.
P. MILIQUE
09:22 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, présenter, éphémère, absentéïsme, depuis tout ce temps, exténuer, cache-cache, épuiser, dérisoire, sensation, manquer, abandonner, abandon, douleur, éloigner, éloignement, abusif, éclairer, te penser, te savoir ailleurs, instant, époustouflant, verve, truculence, singularité, source de jouvence, ambulant, ambulance, appeler à t'aimer, coeur, affirmer, prophétie, je t'aime, dessiner, issue, agaçant, traverser, pouvoir se réfugier, tendreté, tendresse, crépuscule, savoir, adoucir les brûlures, de jour en jour, offrande, ser éfugier, intime, couleur, poétique, penée
20/03/2013
JACQUES DUPIN, ECHANCRE : « Ecrire les yeux fermés… »
JACQUES DUPIN
ECHANCRE
« Ecrire les yeux fermés… »
in Echancrés, POL, 1991
Lu par Léonie Simaga et Suliane Brahim
Jacques Dupin est né en 1927 à Privas, en Ardèche. Il est mort à Paris le 27 octobre dernier. Marqué par sa rencontre avec René Char, en 1947, il était l’un des fondateurs de la revue L’Éphémère, en 1966, aux côtés d’André du Bouchet, Yves Bonnefoy, Gaëtan Picon, Louis-René des Forêts, Michel Leiris et Paul Celan. Liés aux plus grands artistes de son temps, Jacques Dupin devient, en 1956, directeur de la galerie Maeght continuée par la galerie Lelong en 1981. Critique d’art, il a consacré de nombreux essais aux peintres contemporains. Sa poésie, sans compromis ni nostalgie, est une profération sans prophétie ni message, un surgissement d’autant plus brutal qu’il ne se soucie pas de ses ravages.
Pour preuve ces « Fragmes » tirés d’Échancrés, 1991. Ou encore Contumace (1986), Les mères (1986), Le grésil (1996), Coudrier (2006)…
Prise de son, montage, mixage : Bruno Mourlan, Philippe Carminati
Assistant à la réalisation : Benjamin Hu
Réalisation : Laure Egoroff
23:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, jacques dupin, les échancrés, écrire les yeux fermés, léonie simaga, suliane brahim;privas, ardèche, paris, renéchar, yves bonnefoy, éphémère, andré du bouchet, gaëtan picon, louis-rené des forêts, michel leiris, paul célan, galerie maeght, critique d'art, peintre contemporain, compromis, nostalgie, proférer, prophétie, message, surgissement, ravage, bruno mourlan, philippe carminatti, laure égoroff, benjamin hu