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24/01/2013

INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL

 

 

INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH

AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL

Nocturne

31/08/1995 - 04min09s

 

Interview de Boby NEWIRTH, musicien, peintre, cinéaste et ami de Janis JOPLIN, au sujet du Monterey Pop Festival qui eut lieu pour la première fois en juin 1967. Il parle de l'importance particulière de ce festival sur le plan social, en phase avec la philosophie de la jeunesse américaine de cette époque. Il évoque le fonctionnement de la scène musicale de San Francisco et le plein accord de Janis JOPLIN et de son public, "identiques" dans l'esprit.

 

Générique

Newirth, Boby
Vacher, Jeanne Martine

16/12/2012

CÉLÉBRATION GÉNÉREUSE

PARC OMBRAGE.jpeg

 

 

CÉLÉBRATION GÉNÉREUSE

 

Sur les hauteurs d'un hameau entre bois et prés,

Un paysage tout en rondeurs offre les belles perspectives

D'un vaste horizon qu'il embrasse d'un regard enthousiaste .

 

Plus tard, dans l'ombre fraîche d'un parc vallonné

Où rien ne trouble la quiétude séculaire des arbres,

L'air vibre d'une solennité toute particulière.

 

Dans la lumière chaleureuse d'une brève apparition,

Il va vivre une des rencontres les plus touchantes qui soit

Dans la venue impromptue d'une vieille dame aussi intarissable

Que la célébration généreuse d'un vert automne de vie.

 

P. MILIQUE

04/11/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "ANARCHISTE"

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:

 

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Je ne crains rien, ni personne
Je n’espère rien, ni fleurs, ni couronne
Pas de cieux, ni devant, ni derrière Dieu
Je ne crois que dans la force
La force de mon désir… le désir de ma force
Force qui dirige tout rapport de force
La force de remonter la pente
La force de ne pas redouter la descente
Ni paradis, ni purgatoire, ni enfer
Juste la force et le désir de se défaire
Et de renaître toujours libre comme l’air
Comme le vent qui brise les paravents
Le souffle qui coupe le souffle
La vérité vraie donne des ailes
Parce qu’il n’y a que la force… qui renforce
Qui garde le jus et jette l’écorce
L’écorce morale
Qui vous sape le moral
L’écorce… religieuse
Qui vous drape le mental
L’autorité, le pouvoir
ne viendront jamais à bout
de ma puissance d’agir et de réagir
de ma puissance et de ma volonté de puissance
Pour dire NON à toute essence
À toute vielle connaissance
À toute fausse correspondance
Je dis oui à l’existence
Libre et libérée
de tout argument d’autorité
de toute tutelle, de toute notoriété
Celle du bien… celle du mal
Jamais bons, toujours mauvais
Je n’admets que la beauté libre, vivante
Je n’adhère pas à la beauté adhérente
Toujours déjà morte
Rien n’est légitime, tout est légitimé
Rien de nouveau… tout est périmé.
Anarchiste…que pour tout cramer…
Je suis de cette espèce en voie de disparition
Qui n’a jugé ni bon, ni utile de s’accrocher à un monde
Qui a peur de vivre et de mourir!

10/10/2012

CHARLY: 2

PHOTO CHARLY.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

 

CHARLY

2


 

Tiens? Comme un ronronnement dans le ciel!

Je me pose, le temps d'un bref instant, l'ombre d'un début d'interrogation. Vite résolue l'énigme. En levant la tête je reconnais immédiatement notre habituel petit avion de l’aéropostale. Celui-là même qui, de tous ses clignotements lumineux et de l’harmonie cadencée de ses deux moteurs à hélice, transporte son chargement de courriers laconiques ou de lettres pathétiques. A moins qu'il ne s'agisse plutôt des singulières symphonies d'un mélomane des mots, ou d'autres choses particulières aux significations infinitésimales.

Juste le temps de ma réflexion un brin nostalgique, et déjà le voilà qui s'évanouit dans son paysage céleste escorté sous l’œil protecteur de la lune et les sourires rassurants des étoiles. Disparition lente et progressive dans l'immobile d'un silence qui rapidement devient le sien.

La fraîcheur nocturne, bien perceptible maintenant, me décide à rentrer tant je ne tiens pas plus que ça à me laisser agresser par cette baisse de température. Bien qu'elle ne soit, c'est vrai, nullement intempestive compte tenu de l'heure présente.


(Asuivre....)