24/07/2014
ERREUR CONFUSIONNELLE 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
ERREUR CONFUSIONNELLE
3
Cette femme s'est révélée toute de duplicité, manichéenne.
La voilà retournée dans cet autre espace d'où elle venait.
Elle est redevenue ce quelle n'aurait jamais du cesser d'être.
Son beau visage a disparu comme s'il n'avait jamais été.
Le voilà fermé au cœur d'un silence qui ne répond plus qu'au vent.
Et le langage du silence est muet, nul besoin de mots pour le dire.
Cette femme s'est révélée toute de duplicité, manichéenne.
La Sagesse n'a aucune vocation à prendre racine dans le superficiel.
N'est pas Amour ce qui se laisse abusé par le premier sentiment venu.
(FIN)
P. MILIQUE
09:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, cerveau, révélateur, toutatim, duplicité, manichéen, voler, retourner, espace, venir, redevenir, cessation, beauté, visagiste, disparition, fermeture, vergeture, coeur, silence, répondre, vent, langage, muet, besoin, amortir, directoire, sagesse, vocation, prendre racine, superficiel, amour, se laisser abuser, primeur, sentiment, vendre
16/06/2014
LE PARDON 1
LE PARDON
1
Ses yeux lui ont parlé et elle a senti levé en elle un souffle nouveau : celui de la réception. Sa conscience a capté l'évidence imposée par la noirceur de l'ombre se déposant sur la limite du devenir. C'est qu'il convient de bien prendre garde à ne pas faire sauter trop de mailles dans le tricot du temps. Et surtout, à laisser les mots flâner à la source jusqu'à ce qu'ils parviennent à dire l'essentiel : je t'aime. Y compris à la vie.
Son regard à lui s'est posé sur elle, non pas pour la dernière fois mais, semble-t-il, pour la première ! Il a ce faisant ouvert en grand sa porte aux anges de passage.
Ceux-ci lui demandaient assistance pour la grande traversée. Et sollicitaient son pardon.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
11:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, pardon, pardonner, oeil, yeux, parler, sentir, lever, souffle, nouveau, réception, conscience, cpteur, évidence, imposant, noirceur, ombre, déposition, limite, devenir, convenance, prison, gardien, faire sauter, maille, tricoter, temps, laisse, motivation, flâner, sourcier, parvenir, essentiel, aimer, compréhension, virus, regard, postier, dernier, foie, sembler, primeur, facile, ouverture, grandeur, porteur, anfe, passage, demander, assistance
05/02/2014
THIERRY METZ": L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 76 - 83 - 87
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 76 - 83 - 87
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, expérimenter, carte blanche, universitaire, coquelicot, baiser, tendresse, opprimer, feuilles mortes, banquise, exploiter, déstabiliser, maquis
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, zone euro, piétiner, civil, temple, ascension, crever, empailler, allemagne, caméléon, aéronautique, vignette, débat
03/02/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, manifestation, endurance, fugitif, déforestation, coucher de soleil, rancunier, fratrie, police, flic, complice, repos du guerrier, scientifique
31/01/2014
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 24 - 35 - 40
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 24 - 35 - 40
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, piocher, pavillon, précaution, équation, résorber, maladresse, marelle, tourterelle, piaf, zèbre, empire, blêmir
30/01/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 7 - 12 - 15
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 7 - 12 - 15
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde).
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel
07/01/2014
COMME UNE DÉFERLANTE
COMME UNE DÉFERLANTE
Dans l'intimité et l'isolement que l'on se créé
Se cherche une sincérité et une violence qui fige.
La matière presque charnelle des mots
Compose une langue riche de sonorités
En harmonie rythmée de musicalité.
Ne pas interpréter le texte, mais le révéler.
Donner naissance comme par enchantement
A quelques rares et précieuses découvertes.
Et, en fin de souffle, proposée la déferlante
Entrevue dès la première impulsion,
Au cœur de l'émotion primitive nourrie
Des silences bavards et de paroles pudiques.
P. MILIQUE
09:58 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, déferlante, intimidation, isoler, isolation, isolement, créer, création, chercher, sincérité, violence, figer, marière, fécal, charnel, moteur, composer, langue, riche, sonorité, harmonie, rythme, musicalité, interpréter, texte, révéler, révélateur, révélation, donner naissance, enfanter, enchantement, rareté, préciosité, découverte, finitude, souffle, proposer, entrevue, primeur, impulsion, coeur, émotionnel, primitif, nourriture, silence, bavard, bavarder, bavardage, parolier
13/11/2013
AU LENT TRAVAIL DU SI PEU
AU LENT TRAVAIL DU PEU
La poésie doit être libre d'accès, ou ne pas être !
C'est la forme de prose la plus musicale et la plus exigeante.
Elle est ouverture d'innombrables possibles,
Accroissement ambitieux du champ de la sensibilité.
A travailler le stade premier de la récolte,
A s'attacher à cerner la trace la plus secrète
De tout ce qui induit, exaspère ou mobilise,
On parvient parfois à la saisir, dans le lent travail du peu.
La poésie se situe au plus ras du vivre et,
A tâcher de rendre lisible la transparence du muet
Dans l'intensité maximale de ce qui vagit à l'intime,
Il finit par naître, dans l'efficacité du rien ou du pire,
L'initial tâtonnement intuitif du mot.
P. MILIQUE
00:06 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, musique, vivre, intime, naissance, intensité, transparence, accès libre, formule, prosaïque, musicalité, exigence, ouverture, nombre, poséïdon, accroïtre, ambitieux, champagne, sensibilité, travailler, stadier, primeur, récolte, attacher, cerneau, trace, nettoyer, secret, induction, exaspération, mobile, transpiration, vagin, intimité, intuitif
11/10/2013
ÉMOTIONS PREMIÈRES
ÉMOTIONS PREMIÈRES
Ne plus avoir à décliner les hantises nées de l'enfance
Avec l'entêtement de celui qui se sait juste de passage.
Et s'enfoncer dans les entrailles encore fumantes
De la mémoire pulsionnelle et du songe apaisé,
Jusqu'à la cohabitation du rêve et de la réalité
Qui soudain fendent la nuit comme les éclairs d'un orage
Pour, avec cette faculté inouïe de nous renvoyer
Au cœur de nos secrets les mieux enfouis,
S'approcher le plus possible de l'innervation des émotions premières
Assoiffées de sensible et de cette beauté fiévreuse,
Enchanteresse expurgée d'une mélancolie aphasique
Autorisant enfin le passé à s'habituer aux couleurs de l'inconnu.
P. MILIQUE
13:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, primeur, premier, primauté, émotion, décliner, hantise, naître, enfance, entêtement, justice, passage, s'enfoncer, entrailles, fumantes, mémoire, pulsionnel, songe, apaiser, cohabitation, réalisme, fendre, nuit, amour, éclaircie, éclair, orage, kat onoma, rodolphe burger, faculté, inouï, renvoyer, cardiaque, secret, enfouir, s'approcher, possibilité, innervation, assoiffé, sensible, beauté, fiévreux, enchanteresse, expurger, mélancolie, aphasique, autoriser, passé, s'habituer, présent
24/01/2013
INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL
INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH
AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL
Nocturne
31/08/1995 - 04min09s
Interview de Boby NEWIRTH, musicien, peintre, cinéaste et ami de Janis JOPLIN, au sujet du Monterey Pop Festival qui eut lieu pour la première fois en juin 1967. Il parle de l'importance particulière de ce festival sur le plan social, en phase avec la philosophie de la jeunesse américaine de cette époque. Il évoque le fonctionnement de la scène musicale de San Francisco et le plein accord de Janis JOPLIN et de son public, "identiques" dans l'esprit.
Générique
19:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, janis joplin, interview, boby newirth, sujétion, monterey pop festival, nocturne, musicien, peintre, photographe, cinéaste, amical, lieutenant, primeur, primauté, parloir, importance, particularité, particulier, plan social, en phase, philosophie, jeunesse américaine, époque, épopée, évoquer, fonctionnement, fonctionnalité, scène musicale, san francisco, en plein accord, publicité, indentité, identique, esprit, spirituel, jeanne martine vacher