Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/11/2015

ÉBLOUISSEMENT

au magma présent de l'écriture,éblouissement,direct,exaction,amour,lever,révélation,croître,intensifier,irritation,fleurir,sucre,figue,batd,fleur sauvage,vif,inconnue,beauté mystérieuse,équivalence,chevaucher,rayon de soleil,accoster,joe,secret,fraîcheur,originel,aborder,espace,illimité,dilatation,retrouve,embrasement,insondable,sourire,plein,douceur,éclairage,joliesse,visagiste,donner du bonheur,énergisantcertifier,

 

ÉBLOUISSEMENT



Te dire l'exact amour que tu as fait levé en moi,
Te dire aussi l'éblouissement de cet amour révélé
Qui croît et s’intensifie à l'intime de chaque instant.
Un amour au souffle unique, un amour vif
Comme une fleur sauvage et inconnue,
D'une beauté mystérieuse et sans égale.

A chevaucher les rayons de ton soleil,
J'accoste aux joies les plus secrètes.
Dans la fraîcheur et l'éclat de l'originel,
J'aborde l'espace illimité des jours dilatés.

Ainsi, je me retrouve à l'embrasé de toi,
Dans l'insondable de ton sourire plein
De douceur qui éclaire joliment ton visage
Et donne tellement de bonheur à la vie.

Douce femme, notre amour est énergique et offre
Dès lors, la certitude de nous voir fleurir ensemble.

P. MILIQUE

18/07/2014

UN VOYAGE PARTAGE 4

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UN VOYAGE PARTAGE

4

 

Cette femme est magnifique et fondamentale qui l'enjoint, dans le partage

D'un singulier voyage, à ne toujours extraire que l'essentiel d'un émerveillement

Toujours éprouvé, dans l'intense douceur veloutée de la dimension humaine

L'âme ardente et embrasée comme un poème de brûlures à jamais torche vive.

 

S'il lui était donné de savoir un jour écrire des histoires,

Il aimerait que cela se fasse sous forme de conte moderne.

Ce serait un joli trait de fraîcheur disposer avec générosité

Sur l'aube inspirée et sans limite des nombreux jours à venir.

Auprès d'elle il se remettrait, sans compter, tant aux arcs-en-ciel

Qu'aux moineaux virevoltants au-dessus d'un paysage champêtre,

Définitivement convaincu qu'à deux il est plus aisé d'être quelqu'un.

(FIN)

 

P. MILIQUE

07/03/2014

IL PLEUT DES REGARDS SOURDS

PLUIE.gif

 

IL PLEUT DES REGARDS SOURDS

 

Dans l'incessant travail de mon non-être,

Les éléments mouvants du cauchemar dérivent.

 

Visions tumultueuses et prémonitoires

Jusqu'à perdre toute trace de vraisemblance.

 

A l'intime de ce lourd martèlement de l'âme,

Perlent sur mon cœur des quartz de vie.

 

Sur le pavé en jachère une flamme s'envole

Et, aux vibrations immédiates de la sensibilité,

La lumière indécise ternit la fraîcheur.

 

Le silence est trop dense,

Il pleut des regards sourds.

Et chaque goutte de cette pluie d'automne

Chaque feuille qui tombe est l'une de mes larmes

Dans cet océan de plénitude dévastée

Maintenant que nous ne savons plus

Qui de nous deux est l'autre !

 

Alors, dans l'écho assourdissant de ce murmure,

J'entends nos corps frissonner de nos plaies...

 

Il pleut dès que je ne t'aime plus,

Redis-moi les mots qui brûlent,

Je suis si vieux de toi mon amour !

Obligeons, dans l'éperdue recherche des traits perdus,

L'incandescent soleil à redevenir jaloux de notre secret !

 

P. MILIQUE

25/02/2014

REFLEURIR ENSEMBLE

au magma présent de l'écriture,

 

REFLEURIR ENSEMBLE

 

Il me faudrait savoir écrire tout l’amour que tu as levé en moi.

Savoir dire aussi l’éblouissement né de sa révélation soudaine

Qui s’enrichit, s’approfondit plus encore en chaque infime éprouvé.

 

Il s’agit d’un amour au souffle unique, d’un comme une fleur sauvage

Demeurée jusque-là inconnue, d’une beauté mystérieuse et sans égale.

 

Sous les rayons dardés de ton soleil, j’accoste aux joies les plus secrètes.

Dans l’éclatante fraîcheur de l’originel, j’aborde l’âme des jours dilatés

Et je me retrouve au cœur de toi, dans l’insondable de ce tendre sourire

Qui illumine si joliment ton visage et offre une parure de bonheur à la vie.

 

Douce, notre amour vit dans la certitude que nous fleurirons ensemble.

Depuis, dans la métamorphose de l’apprivoisé, clignent les baisers étoilés.

 

P. MILIQUE

23/01/2014

LETTRE DES CHEFS INDIENS AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS

 

LETTRE DES CHEFS INDIENS

AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS

"Un très joli texte sur lequel j'ai posé quelques photos d'un magnifique voyage dans l'Ouest Américain en août 2007"

(Guy LEPAGE)

22/05/2013

UN AMOUR DE PRINCESSE

PRINCESSE.jpg

 

UN AMOUR DE PRINCESSE
 

Mes rêves sont d'amour fou

Fou de cet ange

Cet ange, ce prince

Ce prince tellement charmant

Charmant et tellement absent

Absent et pourtant si présent

Enfiévré cadeau de la vie

La vie vibrante, exaltante,

Libérée des chaînes de ses rêves.

 

Issu de l'imaginaire, un bel amour de princesse,

Bel amour passé, présent ou... à venir.

 

Un qui tromperait l'impatiente attente,

Qui déposerait sur elle, soyeuse douceur,

La fraîcheur ombrée de la source de ses yeux,

Qui la laisserait stupéfaite d'être pour lui

L'inespérée investissant l'excédé de sa détresse

Pour marquer au fer bleui du définitif

L'instant et embrasé besoin d'harmonie.

 

P. MILIQUE

02/05/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 01.05.2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

01.05.2013

27/12/2012

UNE JEUNE FILLE SENSIBLE

JEUNE FILLE SENSIBLE.jpg

 

UNE JEUNE FILLE SENSIBLE

 

C'est une jeune fille sensible et sauvage

Qui glisse en silence sur la surface ouatée

D'un prose portée avec une douce précaution

Sur l'enivrante fraîcheur nimbée de son discours.

 

Elle puise sa force dans son refuge d'écriture,

Tâche osée dont elle s'acquitte à merveille

En vernissant l'émail des mots d'estampes impérieuses

Et de tournures alertes qui attisent le feu porté

De ses phrases magnifiques accrocheuses de réel

Sur le sourire éternel d'un visage retrouvé.

 

P. MILIQUE

16/12/2012

CÉLÉBRATION GÉNÉREUSE

PARC OMBRAGE.jpeg

 

 

CÉLÉBRATION GÉNÉREUSE

 

Sur les hauteurs d'un hameau entre bois et prés,

Un paysage tout en rondeurs offre les belles perspectives

D'un vaste horizon qu'il embrasse d'un regard enthousiaste .

 

Plus tard, dans l'ombre fraîche d'un parc vallonné

Où rien ne trouble la quiétude séculaire des arbres,

L'air vibre d'une solennité toute particulière.

 

Dans la lumière chaleureuse d'une brève apparition,

Il va vivre une des rencontres les plus touchantes qui soit

Dans la venue impromptue d'une vieille dame aussi intarissable

Que la célébration généreuse d'un vert automne de vie.

 

P. MILIQUE

15/07/2012

TON SOURIRE

sourire.jpg

 

 

TON SOURIRE

 

 

D’abord, c’est un éblouissement

Et l’enchantement est immuable.

 

Il y a ce sourire qui éclaire ton visage

D’un mystérieux éclat saturé de tendresse.

 

Présence irréelle et pure.

Image douce et réconfortante

Qui offre des armes pour affronter l’avenir.

Elle fait don de sa beauté

Envoûtante de sensualité.

 

Un sourire étoilé, toujours à fleur de peau,

D’une sincérité fraîche et absolue,

Désarmant de naïveté et d’extrême générosité

Qui protège contre l’inattendu qui point

Et fabrique de l’amour sage et fou comme des synonymes.

 

Un sourire d’ambre et de velours

D’une justesse frémissante,

Caressante comme une main.

Il dégage autant qu’un parfum

Et affiche ta féminité essentielle :

Ta beauté de femme.

 

C’est un sourire à l’élégance intuitive,

Annonciateur d’aubes nouvelles.

 

Ce sourire-là exprime un amour puissant et lumineux.

Ce sourire-là, incomparable et complice, c’est le tien.

 

Parfois, cependant, il se retire.

Il devient d’une immense fragilité

Et peu à peu se désintègre dans l’instant.

 

Le beau sourire maintenant se voile de crépuscules subits.

Il laisse désormais transparaître

L’insondable mélancolie qui l’habite.

Il n’est plus qu’une lumière indécise

Qui dit la face sombre de la désespérance à vivre.

 

Il n’est plus qu’un sourire qui cache mal la cruauté des blessures reçues,

Parce qu’on ne dissimule pas mieux un secret qu’une cicatrice.

 

C’est un sourire qui dit l’espoir effrité,

Le regret de l’astre disparu

Et la nostalgie de l’astre aimé

Transformé en étoile.

Il s’accroche aux merveilles passées de rêves obsolètes

Et se consume au soleil noir de la mélancolie.

 

Le voilà qui entre en survivance aux racines même

De la souffrance et de la folie.

Désormais, il ne peut plus l’ignorer :

C’est un sourire plein de nuit,

Un sourire qui n’en n’est plus un.

 

Une fois devenu une absence,

Quoi de plus terrible à la fin qu’un tel sourire ?

 

La douleur est que ce sourire-là, c’est le tien !

Et il lui faut attendre auprès de lui

Que le jour se lève sur la beauté crapuleuse de nouvelles illusions.

 

 

P. MILIQUE

16/06/2012

LECTEUR DU MONDE

coffre-a-jouet-mon-jardin-770764.jpg

 

 

LECTEUR DU MONDE

 

 

A distance respectable d'une ville toute de volutes rébarbatives

A l'affligeant apocalyptique d'environs déjà sinistrés,

S'offre déployé un théâtre à l'esthétique autoritaire

Où s'aperçoivent au loin des arbres jetant des écus jaunes.

 

Et l'on reste étonné qu'une rivière gouleyante et fraîche coule si proche....

 

A l'impératif éprouvé de se débarrasser de ce qui est factice,

On sent tout de suite un regain de respect pour l'Homme.

Il ne serait pas humain de réfuter cette émotion...

 

Nous avons les yeux pour lire sur les lèvres du monde et le comprendre,

Pour voir ce qui rampe à terre ou majestueux plane là-haut.

 

Il faut vivre ces sensations-là de cette unique manière,

Afin qu'elles deviennent anarchiquement créatrices

Tel ce coffre à jouets où les trouvailles s'entassent en riant.

 

P. MILIQUE

12/06/2012

VAINE ABSTRACTION

INDUSTRIE.jpeg

 

VAINE ABSTRACTION

 

 

Il faut vraiment habiter l'étrangeté de l'obtus

 

Pour ne pas vouloir admettre

 

Que l'Homme ne peut vivre sans la nature.

 

La montagne est une grande ressource

 

Et les forêts un incomparable bien-être.

 

 

Lorsque les éclats de soleil se tapissent

 

Dans l'ombre dense et fraîche

 

Qui renouvelle sa vie d'un indispensable oxygène

 

En initiant l'amplitude de sa respiration,

 

L'homme ne peut faire abstraction du lieu dans lequel il vit.

 

 

Il s'éprouve alors comme un végétal auquel on coupe les racines

 

Lorsqu'il perçoit l'immonde, dans les hideux décombres

 

De la grande ville définitivement productrice de poisons,

 

Où tout ne sera plus jamais que violence industrielle

 

A l'insensé cruel du déchirement et de l'inéluctable.

 

 

P. MILIQUE