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08/06/2014

LE BONHEUR DE T'AIMER 3

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

LE BONHEUR DE T'AIMER

3

 

Ensemble, nous saurons faire d’agréables et bucoliques promenades

Sous le soleil tendre, éclatant comme touche dorée dans le bleu du ciel,

Attentifs aux moindres frissons du feuillage dans les branches ventées.

 

Extraordinairement généreuse et spontanée, riche de tout ce que tu es,

Tu m’éduqueras le regard, élargiras ma vision de l’amplitude de la tienne

Jusqu’à provoquer, enfin, l’émerveillement pour la nature enchanteresse,

Jusqu’à ce que mes yeux éblouis, écarquillés par tant de poétique beauté,

Brillent d’un vif enthousiasme et ensemencent l’âme de graines d’absolu.

 

Rien à ce moment-là ne pourra faire obstacle à nos tendresses unies.

 

Dans l’intimité de nos sensibilités se murmurent l’heureuse insouciance,

Des vibrations au contenu sublime, qui mettent la tête dans les étoiles,

Qui traduisent extraordinaire stimulant des mots d’amour échangés.

Alors s’incrustera en moi pour toujours ton offrande à ce moment-là.

Mon amour, nous saurons donner du charme à n’importe quel quotidien,

Nous saurons faire bon usage de cette autre vie qui se propose à nous.

Et cela me serre le cœur de devoir rester frustré de tout ce soleil offert.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

 

27/10/2013

LE BONHEUR DE T'AIMER 3

au magma présent de l'écriturej

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LE BONHEUR DE T'AIMER

3


Ensemble, nous saurons faire d’agréables et bucoliques promenades

Sous le soleil tendre, éclatant comme touche dorée dans le bleu du ciel,

Attentifs aux moindres frissons du feuillage dans les branches ventées.

 

Extraordinairement généreuse et spontanée, riche de tout ce que tu es,

Tu m’éduqueras le regard, élargiras ma vision de l’amplitude de la tienne

Jusqu’à provoquer, enfin, l’émerveillement pour la nature enchanteresse,

Jusqu’à ce que mes yeux éblouis, écarquillés par tant de poétique beauté,

Brillent d’un vif enthousiasme et ensemencent l’âme de graines d’absolu.

 

Rien à ce moment-là ne pourra faire obstacle à nos tendresses unies.

 

Dans l’intimité de nos sensibilités se murmurent l’heureuse insouciance,

Des vibrations au contenu sublime, qui mettent  la tête dans les étoiles,

Qui traduisent extraordinaire stimulant des mots d’amour échangés.

Alors s’incrustera en moi pour toujours ton offrande à ce moment-là.

Mon amour, nous saurons donner du charme à n’importe quel quotidien,

Nous saurons faire bon usage de cette autre vie qui se propose à nous.

Et cela me serre le cœur de devoir rester frustré de tout ce soleil offert.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

02/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

Retour un siècle en arrière avec Antoine PROST, historien et président de la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire...

Si nous vivions en 1913, nous sentirions très probablement mauvais car les usages de propreté étaient très différents des nôtres. Pour une raison, c'est que l'eau était rare. L'eau courante était inconnue à la campagne. On allait chercher l'eau à la fontaine pour la boisson, pour la vaisselle, pour les nettoyages, pour la toilette...

Salle de bains au début du XXème siècle dans un immeuble bourgeois. © - Roger Price - Flickr

01/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFÉ

 

En 1913, nous nous serions certainement retrouvés au café : le lieu de sociabilité par excellence. On comptait 482 000 débits de boisson pour 42 millions d'habitants, soit un bar pour 83 habitants, contre 25 000 cafés aujourd'hui...

 

Café Perruchot à Brutelles © wikimedia commons - 2013

31/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SOUFFRIRIONS DEJA LA CRISE DU LOGEMENT

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SOUFFRIRIONS DÉJÀ LA CRISE DU LOGEMENT

 

 

 
En 1913, un an avant la grande guerre, nous souffririons déjà d'une crise du logement. Seule une minorité habitait un appartement avec un minimum de confort. Le logement populaire est différent de celui des bourgeois : une pièce unique dans laquelle on faisait tout...

 

 

Photo de famille 1900 © wikimedia commons - 2013 / Oti nord

30/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS MARCHERIONS BEAUCOUP

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS MARCHERIONS BEAUCOUP


train © wikimedia commons - 2013 / Noben k


En 1913, nous marcherions beaucoup : pour aller à l'école ou pour les travaux des champs. On prend les transports de façon exceptionnelle : pour ferle  C'est l'époque où l'on construit des tronçons de chemins de fer...  

29/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SERIONS PEUT-ËTRE UNE TRAVAILLEUSE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SERIONS PEUT-ÊTRE UNE TRAVAILLEUSE

 

Retour un siècle en arrière. Aujourd'hui le quotidien des femmes ouvrières. On croit souvent que les femmes ne travaillaient pas. Or elles représentaient le tiers de la main d’œuvre, et c'est presque la moitié des  femmes qui travaillent...

28/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS FERIONS LA GREVE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1903

NOUS FERIONS LA GRÉVE

 

 

Retour il y a 100 ans. Aujourd'hui, la grève. A cette époque, les syndicats étaient faibles. Il existait une mystique de la grève : c'est plus qu'une action, elle éduque, aguerrie, entraide et crée... Et elle avait d'importantes répercussions sur la  vie privée.