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14/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 03/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

03/02/2014

10/01/2014

CI-GÎT

INTERDIT.jpg

 

CI-GÎT

 

Je vous parle d'un temps que les post soixante-huitard n'ont pas connu...

 

Il fut un temps béni d'adolescence où des jeunes braillards

Gueulaient debout sur des barricades lacrymogéno-enfumées

Une utopie aux atouts irrévérencieux et séducteurs:

"Il est interdit d'interdire!"

 

Comment est-il possible de les retrouver, puisqu'il s'agit d'eux,

Désormais engoncés dans leurs petits costumes de grands bourgeois,

Afficher, avec toute la morve obscène dont ils drapent leur quotidien

Une sorte de "Autorisons l'inadmissible" aux relents nauséabonds.

 

Ils nous avaient pourtant prévenu: "Le changement c'est maintenant."

 

P. MILIQUE

09/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES ARTISANS ET LES COMMERÇANTS

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LES ARTISANS ET LES COMMERÇANTS

 

Il y a 100 ans, la petite classe moyenne…

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


La société était globalement divisée en deux. D’un côté le peuple, paysans ou ouvriers qui travaillaient durement. Ils ne faisaient que ça. De l’autre la bourgeoise et l’aristocratie, la classe de loisirs pour emprunter une expression aux anglais si vous voulez parler comme les gens distingués à l’époque, la bonne société…


Commerçants © Deseronto Archives - Flickr - 2013

07/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LA BOURGEOISIE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LA BOURGEOISIE

 

Retour dans la France de 1913. Aujourd’hui, l’historien Antoine PROST nous raconte la bourgeoisie de la belle époque…

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


La bourgeoisie n'a pas disparu depuis la grande guerre mais elle c'est beaucoup transformée. Pour elle 1913 c'était vraiment la belle époque. La bourgeoisie est un ensemble de familles qui occupe certaines positions sociales et transmette une fortune. La fortune est essentielle. Songez que pour marier sa fille à un officier il faut lui donner 50.000 francs de dot. Ce n'est pas rien. A l'époque un instituteur en fin de carrière gagne 2.400 francs par an....


Ascenseur de la gare, Monte-Carlo © Eugène Trutat - Commons - Flickr - 2013

02/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

Retour un siècle en arrière avec Antoine PROST, historien et président de la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire...

Si nous vivions en 1913, nous sentirions très probablement mauvais car les usages de propreté étaient très différents des nôtres. Pour une raison, c'est que l'eau était rare. L'eau courante était inconnue à la campagne. On allait chercher l'eau à la fontaine pour la boisson, pour la vaisselle, pour les nettoyages, pour la toilette...

Salle de bains au début du XXème siècle dans un immeuble bourgeois. © - Roger Price - Flickr

01/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFÉ

 

En 1913, nous nous serions certainement retrouvés au café : le lieu de sociabilité par excellence. On comptait 482 000 débits de boisson pour 42 millions d'habitants, soit un bar pour 83 habitants, contre 25 000 cafés aujourd'hui...

 

Café Perruchot à Brutelles © wikimedia commons - 2013

31/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SOUFFRIRIONS DEJA LA CRISE DU LOGEMENT

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SOUFFRIRIONS DÉJÀ LA CRISE DU LOGEMENT

 

 

 
En 1913, un an avant la grande guerre, nous souffririons déjà d'une crise du logement. Seule une minorité habitait un appartement avec un minimum de confort. Le logement populaire est différent de celui des bourgeois : une pièce unique dans laquelle on faisait tout...

 

 

Photo de famille 1900 © wikimedia commons - 2013 / Oti nord

30/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS MARCHERIONS BEAUCOUP

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS MARCHERIONS BEAUCOUP


train © wikimedia commons - 2013 / Noben k


En 1913, nous marcherions beaucoup : pour aller à l'école ou pour les travaux des champs. On prend les transports de façon exceptionnelle : pour ferle  C'est l'époque où l'on construit des tronçons de chemins de fer...  

29/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SERIONS PEUT-ËTRE UNE TRAVAILLEUSE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SERIONS PEUT-ÊTRE UNE TRAVAILLEUSE

 

Retour un siècle en arrière. Aujourd'hui le quotidien des femmes ouvrières. On croit souvent que les femmes ne travaillaient pas. Or elles représentaient le tiers de la main d’œuvre, et c'est presque la moitié des  femmes qui travaillent...

08/08/2013

LE CERVEAU DROIT: PLUS D'ARGENT, MOINS DE COMPLEXES «ILS SE DROGUENT, ILS MULTIPLIENT LES CONQUÊTES »

 

LE CERVEAU DROIT
PLUS D'ARGENT, MOINS DE COMPLEXES
«ILS SE DROGUENT, ILS MULTIPLIENT LES CONQUÊTES »

(13’17’’)


A bas les impôts, vive les riches ! Millionnaire à 43 ans, Eric Cormier tient un discours libéral très décomplexé. Une pure pensée de droite inégalitaire et réactionnaire à pleurer de rire. Les médias estiment la fortune d'Eric Cormier à 500 millions d'euros. Né dans une grande famille de l'industrie pharmaceutique, héritier de plusieurs immeubles, il réside depuis trois ans en Suisse où il dirige un fonds d'investissement qui intervient notamment dans les matières premières. Célibataire et fêtard, il a ouvert la galerie d'art contemporain "Horizon Artvision". Pascale Pascariello l'a rencontré dans le palace Le Métropole au bord du lac Léman.


Enregistrements : février 13
Entretien : Pascale Pascariello
Montage et mix : Arnaud Forest

04/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "JE NE DESCENDS PAS DE MON DRAKKAR"

 

LA PARISIENNE LIBEREE

"JE NE DESCENDS PAS DE MON DRAKKAR"

Paroles et musique : La Parisienne Libérée

 

Aventurière et romantique
Elle arrive un jour à Paris
Dans une famille des quartiers chics
En plein cœur de la bourgeoisie
Au début ça se passe pas trop mal
Mais voilà qu’elle s’éprend du fiston
Ils se marient, ça fait scandale
Aux critiques elle répond :

 

Je ne descends pas de mon drakkar
Je ne viens pas servir le café
Je ne m’habillerai pas en noir,
Il faudra vous habituer
Je tourne un film en couleur
Que ça vous plaise ou non
Et vous ne me faites pas peur
Action !

 

Changer de codes, changer d’habits
C’est pas le tout d’entrer dans la ronde
Elle s’aperçoit petit à petit
Qu’il faut aussi changer le monde
En redoutable juge des neiges
Elle scandalise la République
Remet en cause les privilèges
Aux puissants, elle réplique :

 

Je ne descends pas de mon drakkar
Je ne viens pas servir le café
Je ne m’habillerai pas en noir,
Il faudra vous habituer
Je tourne un film en couleur
Que ça vous plaise ou non
Et vous ne me faites pas peur
Action !

 

Dans un débat héxagonal
Plutôt bercé par le chant du coq
C’est une voix originale
Qui fait des propositions chocs
Fini les cortèges militaires
A bas les vieilles écoles d’élite
Il faut sortir du nucléaire
Faire de l’écologie politique

 Je ne descends pas de mon drakkar
Je ne viens pas servir le café
Je ne m’habillerai pas en noir,
Il faudra vous habituer
Je tourne un film en couleur
Que ça vous plaise ou non
Et vous ne me faites pas peur
Action !

05/01/2013

" LES RUSTRES " AVEC MICHEL GALABRU

 

" LES RUSTRES "

AVEC MICHEL GALABRU

13 heures le journal 

25/08/2004 - 02min38s

 

Michel GALABRU remonte sur les planches, pour nous livrer une interprétation très personnelle des "Rustres", le chef-d'oeuvre de GOLDONI...une satire de la bourgeoisie de Venise du 18ème siècle...images de répétition avec ses enfants Emmanuelle et Jean ; Images d'archives de la pièce "Les rustres" en 1961 jouée à Avignon.Interviews de Jean GALABRU, adaptateur de la pièce et des comédiennes Emmanuelle GALABRU et Paule NOELLE.

 

Générique

Baechler, Isabelle
Galabru, Michel ; Noelle, Paule ; Galabru, Jean ; Galabru, Emmanuelle
Kelner, Vincent
Ostolaza, Laurence