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14/04/2017

ORPHELIN DE SA FILLE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

ORPHELIN DE SA FILLE
4

Sa fille savait parfaitement tout cela.

A ce sujet précis, il la percevait tout à fait proche de lui.

En phase, toute entière complice et partenaire.

Pas plus que lui, elle n'ignorait qu'elle embarquait pour un long et difficultueux voyage au-devant de l'inconnu et que, afin d’éviter qu'à aucun moment sa partition ne détone, il lui faudrait sans aucun doute user de sa force vibrante et enthousiaste, de sa puissance primordiale aussi.

Il lui faudrait pour cela faire coïncider au plus juste les perspectives avancées.

Il lui faudrait enfin, utiliser tous les fragments de possible, et les organiser à bon escient, en ayant toujours à l'esprit ce constant besoin d'équilibre et d'unité qui implique, sur le mode impératif, la fusion de la connaissance de soi et du vivre mieux.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

29/09/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 09/09/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER:

09/09/2013

03/09/2013

LA BOÎTE A LETTRES: DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

LA BOÎTE A LETTRES

DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

Lettre autographe signée, probablement adressée à Philippe GILLE, datée du 27 juillet 1885, Paris.

Dix-huit ans après la mort de son époux, le peintre académique Ingres, sa seconde femme, Delphine RAMEL, veille au respect de sa mémoire. S’adressant au Figaro, elle désire « rectifier une assertion qui se propage dans les journaux et dans les mémoires artistiques à propos de la prétention que Mr Ingres montrait pour le violon, beaucoup plus, dit-on, que pour le pinceau ». Elle prie le journaliste de rétablir la vérité. Car jamais le violoniste amateur « n’a eu la prétention de se poser en virtuose ». Cette passion musicale, en dehors de son activité professionnelle, a donné lieu à l’expression consacrée « avoir un violon d’Ingres », utilisée aujourd’hui pour désigner un passe-temps que l’on pratique avec ardeur.