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15/03/2014

NADIA TUENI: "JARDINIER DE MA MEMOIRE" QUAND ON EST SEUL

 

NADIA TUENI

"Quand on est seul..."

(premiers mots du poème sans titre)

In "Jardinier de ma mémoire"
© Flammarion, 1998

Lecture par Anne KESSLER


Nadia Tuéni est une poétesse libanaise d'expression française née à Baakline au Liban. Fille d'un diplomate et écrivain de religion druze, et d'une mère française, elle était bilingue et se réclamait ainsi naturellement de deux cultures. Elle se destina d'abord au barreau et s'inscrivit à la faculté de droit, mais interrompit ses études quand elle épousa, en 1954, Ghassan Tuéni, journaliste et député de Beyrouth, qui fut plus tard ambassadeur du Liban à l'ONU de 1977 à 1982. Ils eurent deux garçons, Gébrane, journaliste qui fut assassiné le 12 décembre 2005 à Beyrouth et Makram, disparu dans un accident automobile et une fille, Nayla, dont la mort à l'âge de sept ans d’un cancer affecta profondément Nadia Tuéni et l'amena à la composition de son premier recueil, Les Textes blonds, paru en 1963. En 1965, Nadia Tuéni est atteinte elle aussi d'un cancer. En 1967, elle devient rédactrice littéraire au journal libanais de langue française, Le Jour et collabore à diverses publications arabes et françaises. Prix de l'Académie française en 1973, pour Poèmes pour une histoire (Seghers), elle meurt en 1983 à Beyrouth.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son: Amandine Grévoz
Montage:  Gilles Davidas

14/03/2014

NADIA TUENI: "MALENTENDUS"

 

 

NADIA TUENI

 

"MALENTENDUS"

(extrait)

Issu du recueil

Poèmes pour une histoire


Lecture par Anne KESSLER


Nadia Tuéni est une poétesse libanaise d'expression française née à Baakline au Liban. Fille d'un diplomate et écrivain de religion druze, et d'une mère française, elle était bilingue et se réclamait ainsi naturellement de deux cultures. Elle se destina d'abord au barreau et s'inscrivit à la faculté de droit, mais interrompit ses études quand elle épousa, en 1954, Ghassan Tuéni, journaliste et député de Beyrouth, qui fut plus tard ambassadeur du Liban à l'ONU de 1977 à 1982. Ils eurent deux garçons, Gébrane, journaliste qui fut assassiné le 12 décembre 2005 à Beyrouth et Makram, disparu dans un accident automobile et une fille, Nayla, dont la mort à l'âge de sept ans d’un cancer affecta profondément Nadia Tuéni et l'amena à la composition de son premier recueil, Les Textes blonds, paru en 1963. En 1965, Nadia Tuéni est atteinte elle aussi d'un cancer. En 1967, elle devient rédactrice littéraire au journal libanais de langue française, Le Jour et collabore à diverses publications arabes et françaises. Prix de l'Académie française en 1973, pour Poèmes pour une histoire (Seghers), elle meurt en 1983 à Beyrouth.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son: Amandine Grévoz
Montage:  Gilles Davidas

12/03/2014

NADIA TUENI: "L'ÂGE D’ÉCUME" 2/2

 

NADIA TUENI

"L'ÂGE D’ÉCUME"

2/2

Lecture par Anne KESSLER

in Jardinier de ma mémoire de Nadia TUENI
© Flammarion, 1998

 

Nadia Tuéni est une poétesse libanaise d'expression française née à Baakline au Liban. Fille d'un diplomate et écrivain de religion druze, et d'une mère française, elle était bilingue et se réclamait ainsi naturellement de deux cultures. Elle se destina d'abord au barreau et s'inscrivit à la faculté de droit, mais interrompit ses études quand elle épousa, en 1954, Ghassan Tuéni, journaliste et député de Beyrouth, qui fut plus tard ambassadeur du Liban à l'ONU de 1977 à 1982. Ils eurent deux garçons, Gébrane, journaliste qui fut assassiné le 12 décembre 2005 à Beyrouth et Makram, disparu dans un accident automobile et une fille, Nayla, dont la mort à l'âge de sept ans d’un cancer affecta profondément Nadia Tuéni et l'amena à la composition de son premier recueil, Les Textes blonds, paru en 1963. En 1965, Nadia Tuéni est atteinte elle aussi d'un cancer. En 1967, elle devient rédactrice littéraire au journal libanais de langue française, Le Jour et collabore à diverses publications arabes et françaises. Prix de l'Académie française en 1973, pour Poèmes pour une histoire (Seghers), elle meurt en 1983 à Beyrouth.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son: Amandine Grévoz
Montage:  Gilles Davidas

11/03/2014

NADIA TUENI: "L'ÂGE D'ECUME" in Jardinier de ma mémoire

 

NADIA TUENI

"L'ÂGE D’ÉCUME"

Lecture par Anne KESSLER

in Jardinier de ma mémoire de Nadia TUENI
© Flammarion, 1998

 

Nadia Tuéni est une poétesse libanaise d'expression française née à Baakline au Liban. Fille d'un diplomate et écrivain de religion druze, et d'une mère française, elle était bilingue et se réclamait ainsi naturellement de deux cultures. Elle se destina d'abord au barreau et s'inscrivit à la faculté de droit, mais interrompit ses études quand elle épousa, en 1954, Ghassan Tuéni, journaliste et député de Beyrouth, qui fut plus tard ambassadeur du Liban à l'ONU de 1977 à 1982. Ils eurent deux garçons, Gébrane, journaliste qui fut assassiné le 12 décembre 2005 à Beyrouth et Makram, disparu dans un accident automobile et une fille, Nayla, dont la mort à l'âge de sept ans d’un cancer affecta profondément Nadia Tuéni et l'amena à la composition de son premier recueil, Les Textes blonds, paru en 1963. En 1965, Nadia Tuéni est atteinte elle aussi d'un cancer. En 1967, elle devient rédactrice littéraire au journal libanais de langue française, Le Jour et collabore à diverses publications arabes et françaises. Prix de l'Académie française en 1973, pour Poèmes pour une histoire (Seghers), elle meurt en 1983 à Beyrouth.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son: Amandine Grévoz
Montage:  Gilles Davidas

07/06/2013

GEORGES PEREC "TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG 4"

 

GEORGES PEREC

"TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG  4"

Lu par Elsa LEPOIVRE

 

Issu du recueil

L’INFRAORDINAIRE (1989)

Le Seuil

 

« Les journaux parlent de tout, sauf du journaliser. Les journaux m’ennuient, ils ne m’apprennent rien ; ce qu’ils racontent ne me concerne pas, ne m’interroge pas et ne répond pas davantage aux questions que je pose ou que je voudrais poser.

Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l’évident, le commun, l’ordinaire, l’infra-ordinaire, le bruit de fond, l’habituel, comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire ? »

Voilà le programme d’inventaire, d’anthologie personnelle que Pérec adresse à tout le monde de ses lecteurs : la description de ce qui nous meut, dans le quotidien, finalement si proche, et si universel

 

Choix de Laurence Courtois

Prise de son, montage, mixage : Bernard Lagnel, Adrien Roch

bernard lagnel,Assistant à la réalisation : Pauline Ziadé 

Réalisation : Christine Bernard-Sugy

06/06/2013

GEORGES PEREC "TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG 3"

 

GEORGES PEREC

"TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG  3"

Lu par Hervé PIERRE

 

Issu du recueil

L’INFRAORDINAIRE (1989)

Le Seuil

 

« Les journaux parlent de tout, sauf du journaliser. Les journaux m’ennuient, ils ne m’apprennent rien ; ce qu’ils racontent ne me concerne pas, ne m’interroge pas et ne répond pas davantage aux questions que je pose ou que je voudrais poser.

Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l’évident, le commun, l’ordinaire, l’infra-ordinaire, le bruit de fond, l’habituel, comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire ? »

Voilà le programme d’inventaire, d’anthologie personnelle que Pérec adresse à tout le monde de ses lecteurs : la description de ce qui nous meut, dans le quotidien, finalement si proche, et si universel

 

Choix de Laurence Courtois

Prise de son, montage, mixage : Bernard Lagnel, Adrien Roch

bernard lagnel,Assistant à la réalisation : Pauline Ziadé 

Réalisation : Christine Bernard-Sugy

05/06/2013

GEORGES PEREC "TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG 2"

 

GEORGES PEREC

"TOUT AUTOUR DE BEAUBOURG  2"

Lu par Anne KESSLER

 

Issu du recueil

L’INFRAORDINAIRE (1989)

Le Seuil

 

« Les journaux parlent de tout, sauf du journaliser. Les journaux m’ennuient, ils ne m’apprennent rien ; ce qu’ils racontent ne me concerne pas, ne m’interroge pas et ne répond pas davantage aux questions que je pose ou que je voudrais poser.

Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l’évident, le commun, l’ordinaire, l’infra-ordinaire, le bruit de fond, l’habituel, comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire ? »

Voilà le programme d’inventaire, d’anthologie personnelle que Pérec adresse à tout le monde de ses lecteurs : la description de ce qui nous meut, dans le quotidien, finalement si proche, et si universel

 

Choix de Laurence Courtois

Prise de son, montage, mixage : Bernard Lagnel, Adrien Roch

bernard lagnel,Assistant à la réalisation : Pauline Ziadé 

Réalisation : Christine Bernard-Sugy