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29/11/2016

MACHINE A FANTASMER

au magma présent de l'écriture,

 

MACHINE A FANTASMER



Ce sont des hommes vulgaires qui, depuis toujours,
Paraissent n'être plus considérés par ces dames
Que comme de primitives machines à fantasmer.

Cependant, il est pour le moins rassurant de constater
Qu'en certaines occasions qui viennent à se multiplier,
La gente féminine ne se prive d'aucunes circonstances
Pour arpenter fébrilement ce même terrain si vilipendé.

Il est magnifique et nécessaire le singulier certificat
Qui démontre combien, malgré la réticence latente,
L'entité humaine et sa substance ont réussi leur fusion.

Éprouvons le bon et l'indicible de ce moment rare où,
Souligné de l'âme pulpeuse qui en rehausse l'ensemble,
Est distincte l'onde d'un passé qui pourtant reste à venir.


P. MILIQUE

07/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES BOURGEOISES


SI NOUS VIVIONS EN 1913

LES BOURGEOISES

 

La vie quotidienne au début du XXe siècle, racontée par l’historien Antoine Prost. Aujourd’hui, les jeunes filles de bonne famille…

 

Antoine Prost préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


Une dame de la bonne société ne sortait pas sans son chapeau.et ses gants. Une femme en cheveux dans la rue ou avec un fichu sur la tête, c’est une femme du peuple, une ouvrière. Les paysannes portent souvent un fichu ou une coiffe dans certaines régions notamment pour la messe. Les dames de la bonne société ne travaillent pas, ni chez elle, ni en dehors de chez elle. Ce sont des maîtresses de maison…

Mrs. Vanderpoel, Mrs. Fred D. Johnson, and Mrs. C.K.G. Billings (LOC) © The Library of Congress - 2013