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05/06/2015

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES 3

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES

3

 

Le refus du réel proposé invite alors à voir le monde tel qu'il devrait se traduire à l'épicentre de nos rêves.

Même s'il est à considérer que tout cela est quelque peu boiteux, pessimisme et optimisme sont jumeaux et interchangeables.

Ainsi l'espoir rend-il triste alors même que c'est de la tristesse qu'il naît. Et puis la tristesse manque terriblement sérieux quand la joie, elle, ne parvient pas à s'y prendre.

Ce qui fait que c'est une  bien chaste volupté que de consentir à la joie.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

08/10/2013

SILEX AND THE CITY: LES CATHO-SAPIENS


SILEX AND THE CITY

  LES CATHO-SAPIENS


Première visite à la messe avec la famille de la Pétaudière : prières à la Vierge Mammouth, « Evolution Urbit et Orbit »… Web sera-t-elle enfin touchée par la Grâce ?

07/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES BOURGEOISES


SI NOUS VIVIONS EN 1913

LES BOURGEOISES

 

La vie quotidienne au début du XXe siècle, racontée par l’historien Antoine Prost. Aujourd’hui, les jeunes filles de bonne famille…

 

Antoine Prost préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


Une dame de la bonne société ne sortait pas sans son chapeau.et ses gants. Une femme en cheveux dans la rue ou avec un fichu sur la tête, c’est une femme du peuple, une ouvrière. Les paysannes portent souvent un fichu ou une coiffe dans certaines régions notamment pour la messe. Les dames de la bonne société ne travaillent pas, ni chez elle, ni en dehors de chez elle. Ce sont des maîtresses de maison…

Mrs. Vanderpoel, Mrs. Fred D. Johnson, and Mrs. C.K.G. Billings (LOC) © The Library of Congress - 2013

22/03/2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : MICHEL POLNAREFF

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

MICHEL POLNAREFF

16 janv. 1970 

48min 31s


Jacques CHANCEL s'entretient avec le chanteur Michel POLNAREFF : Il explique pourquoi il se présente comme un personnage androgyne, il attribue peu d'importance à son personnage extérieur; Il considère qu'il fait du "guignol pour adultes", il crée son propre univers et l'offre au spectateur. Pourquoi il compose en anglais. Le spectacle est une tricherie qu'il faut faire avec sincérité. Quelques mots rapides sur son enfance et sa famille, ses débuts dans la musique. Ne renie pas son passé mais n'aime pas en parler devant un micro. Evoque son spectacle du moment. Ses rêves d'enfant. Son passage au conservatoire. Les autres arts qu'il aime. Sa rencontre avec Jean Louis BARRAULT. C'est parce qu'il pense avoir du talent qu'il a choisi ce métier mais rêve de faire beaucoup mieux tout en manquant de confiance en lui. Ses goûts en matière de musique, notamment en musique classique. Ses projets artistiques. Ce qu'il pense des fans. Considérations sur la politique, le service militaire, sa vision de la religion, voit la messe comme un "spectacle total". Sa discothèque idéale. Sa vision de l'amour, de l'amitié, du bonheur. Ce qu'il pense de la drogue.