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19/11/2013

JE ME REPROCHE 5

 

REPROCHE.jpg

 

Je me reproche de n'être que comme les autres,

Et d'avoir pendant trop longtemps négligé ce message

Que la société de chacun ne peut qu'être l'affaire de tous.

 

31/10/2013

CHJAR' DI LUNA A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE) LE 11 OCTOBRE 2013

(Captation Personnelle)


CHJAR' DI LUNA

A

L'ÎLE-ROUSSE

(HAUTE-CORSE)

LE 11 OCTOBRE 2013

28/10/2013

CHJAR' DI LUNA A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE)

(Captation Personnelle)


CHJAR' DI LUNA

A

L'ÎLE-ROUSSE

(HAUTE-CORSE)

LE 11 OCTOBRE 2013

27/10/2013

CHJAR' DI LUNA A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE)

(Captation Personnelle)

 

CHJAR' DI LUNA

A

L'ÎLE-ROUSSE

(HAUTE-CORSE)

LE 11 OCTOBRE 2013

26/10/2013

CHJAR' DI LUNA A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE) LE 11 OCTOBRE 2013

(Captation Personnelle)

 

 

CHJAR' DI LUNA

A

L'ÎLE-ROUSSE

(HAUTE-CORSE)

LE 11 OCTOBRE 2013

25/10/2013

CHJAR' DI LUNA A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE)

(Captation Personnelle)

 


 

CHJAR' DI LUNA  

A

 

L'ÎLE-ROUSSE  

 

(HAUTE-CORSE)

 

LE 11 OCTOBRE 2013

24/10/2013

CHJAR' DI LUNA "SANS LA NOMMER" (Georges MOUSTAKI) A L'ÎLE-ROUSSE (HAUTE-CORSE)

(Captation Personnelle)


CHJAR' DI LUNA  

"SANS LA NOMMER"

(Georges MOUSTAKI)

A

L'ÎLE-ROUSSE  

(HAUTE-CORSE)

LE 11 OCTOBRE 2013


04/07/2013

CIORAN 32

 

CIORAN.jpg

"On ne gagne pas contre la mort, sinon à l'usure."

"Un étrange détachement à l'égard de la mort clôt l'histoire de chacun."

 

(E.M. CIORAN)

31/03/2013

LE CADRAN SOLAIRE

icadran solaire.jpeg

Précepte d'une sagesse absolue.

 

 

 

LE CADRAN SOLAIRE

 

Sur un vieux cadran solaire, cette devise :

Il est plus tard que vous ne croyez !

 

Et pourtant, il est déjà bien tard semble-t-il !

Malgré la vie qui se consomme,

Qui se consume de toutes ses passions.

Sans aucune modération.

Mais..

 

Il y a l'enchaînement fatal,

L'effritement tragique,

La réalité rigoureuse et imposante

De proximité d'un vieillissement inquiétant.

 

Au moins n'aura-t-il jamais existé l'angoisse de ne pas savoir !

 

Il a toujours cru pour sa part

A la malveillance acharnée du destin.

A cause de cela, arrive fatalement le moment,

Où il devient vital de mettre un terme à cette mascarade.

De s'arracher violemment de l'histoire pour,

Si possible, investir l'imaginaire.

En épouser les possibles en se dotant de certitudes...

 

Des yeux indéchiffrables posent sur le monde

Un regard dépourvu d'avenir.

Avec pour seul lien, mais il est intime,

Un soleil noir qui brûle l'enfer.

Un enfer à la beauté parfaitement dépouillée

Qui rend le périple indolore,

Et soulage la désespérance en réveillant les ombres.

 

Les apparences sont irréfutables.

Il est déjà bien tard, mais :

Il est tellement plus tard que vous ne croyez !

 

 

P. MILIQUE

 

28/12/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Les Otages de la France "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 

M: Tu ne te souviens vraiment de rien ?
A: de presque rien
M: tu ne sais même plus qui tu es ?
A: ni qui je suis, ni d’où je viens, ni où je vais
M: Ne t’en fais pas… tu vas finir par retrouver le fil du temps
A: C’est ce que m’a dit le neurologue, mais je ne sais trop quoi penser
M: tu étais une vraie tigresse…
A: je ne m’en souviens pas
M: tu régnais avec beaucoup d’adresse sur ton petit monde
A: et où est-ce qu’il est passé ?
M: ils se sont tous éclipsés, les uns après les autres… ton absence leur a beaucoup pesé… aucun n’y a résisté.
A: je n’en ai pas le moindre souvenir
M: et de ton pur sang, arabe, avec lequel tu franchissais le mur du son, est-ce que tu t’en souviens?
A: pas le moins du monde…
M: tu étais très extrémiste, très engagée, prête à tout pour aller au bout.
A: tu m’étonnes…
M: et de l’homme de ta vie, est-ce que tu t’en souviens?
A: mon cœur ne bat pour personne… c’est tout ce que je ressens
M: est-ce que tu es heureuse au moins ?
A: si j’étais malheureuse, je le saurais… disons alors que je suis heureuse… à dire vrai… je ne ressens rien.. je n’ai pas… d’état d’âme.
M: absence de douleur… c’est ça le bonheur
A: depuis combien de temps déjà que je suis dans cet état ?
M: le corps médical qui filme chacune de tes réactions m’a formellement interdit d’en faire mention… la pente, tu dois la remonter toute seule, ma grande
A: tu es une bonne sœur, si je ne m’abuse
M: oui… disons une infirmière sous le regard de Dieu
A: Dieu… c’est qui déjà?
M: C’est mon employeur… c’est lui qui m’a chargé de veiller sur toi
A: c’est lui qui m’a opéré
M: non… ses lieutenants mexicains
A: j’ai soif
M: on m’a interdit de te donner à boire
A: j’ai faim
M: on m’a interdit de te faire à manger
A: j’ai… j’ai envie de dormir… j’ai sommeil
M: on m’a prié de t’en empêcher
A: pourquoi?
M: pour que tu retrouves un peu plus vite ta mémoire
A: est-ce que j’ai vraiment intérêt à la retrouver?
M: l’oubli c’est tout le contraire de la vérité. Je vais te faire écouter un passage musical… qui va peut-être t’aider à rétablir le contact avec la réalité.

(Et elle lui fait écouter un morceau de musique)

A: ça y est… je crois que je sais
M: tu sais quoi?
A: je sais qui je suis, qui tu es
M: c’est revenu comme ça ?
A: oui ça m’est revenu
M: alors… vas-y… accouche
A: je suis Florence Cassez
M: tu crois ça
A: arrête de te foutre de moi
M: je ne m’y risquerais pas
A: tu dis ça parce que je suis le parfait bouc émissaire qui récolte ce que son pays a semé.
M: je n’ai rien dit de tel
A: quant à toi, tu dois être celle qu’on a chargé de mettre fin à mes jours… mon bourreau en quelque sorte
M: est-ce que j’ai l’air d’un bourreau?
A: vas-y, maintenant que j’ai retrouvé quelques bribes de lucidité… qu’est-ce que tu attends pour exécuter la sentence? Un petit soupir de la France ?
M: juste la réponse à une question : pourquoi tu as fait tout ce que tu as fait ?
A: parce que j’ignorais qu’un jour ou l’autre, quelqu’un viendrait me le rappeler…
M: non… tu as fait ça par amour pour un homme… j’ai versé du poison dans ton verre, je te laisse trinquer à la santé de tous les otages français !

… El suicido

30/03/2012

Carlos SANTANA -- "Soul Sacrifice" (Woodstock 1969)

 

Carlos SANTANA - "Soul Sacrifice" (Woodstock 1969)

Oui, je sais, la vidéo çi-dessus n'est pas d'une grande originalité! (Pour preuve, elle a déjà été visionnée 3 567 594 fois. Avec vous cela devrait facilement dépasser les....)


Carlos Santana est né au Mexique (il est devenu par la suite citoyen Américain) le 20 Juillet 1947.

Guitariste, compositeur et chanteur, il est considéré par d'aucuns comme un des créateurs du rock Latino et, également, précurseur de la "World Music".

Vous pouvez ajouter à cela cette réalité qu'il est probablement un des guitaristes contemporains le plus connu au monde.

Son incroyable musicalité assistée d'une technique instrumentale hors du commun et reconnaissable entre toute lui a ouvert de multiples horizons allant, par exemple du Rock-Psychédélique au Jazz-Rock quasi expérimental.

Cette grande omnivalence lui a fait jouer avec des musiciens divers et variés tels que John Mc LAUGHIN, Steven TYLER, Rob THOMAS, Herbie HANCOCK, Wayne SHORTER, ou encore Eric CLAPTON, John lee HOOKER ou, plus surprenant encore, Michael JACKSON.