Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/10/2012

MELISSMELL: au RIO GRANDE "Je me souviens maman"

 

MELISSMELL: 

au RIO GRANDE

MONTAUBAN le 21 Octobre 2011

"Je me souviens maman"

 

Moment d'une force et d'une intensité inouïes ce soir-là à Montauban. Melissmell possède cette rare poésie de    l'urgence belle à rallumer des étoiles mortes.

           Et voilà qu'on entend déjà notre coeur battre la     mesure, celle qui nous garde l'âme vivante...

08/10/2012

LES SOURIRES DE LA LUNE

LUNE.jpeg

 

 

LES SOURIRES DE LA LUNE

 

Elle danse,

Bonheur suspendu dans le sang noir de la nuit.

Son visage est d'un puissant lumineux.

Et son sourire, son sourire!...

 

Elle est là

Dans son cadre de tolérance et d'harmonie

Comme une perfection dédiée à l'immobile.

Quelle rencontre inespérée se traduit là

En cette beauté sublime qui poursuit, indifférente,

Sa sensuelle promenade étonnamment vagabonde,

Celle qui la définit en croisière exacte et impassible.

 

La pénombre qui l'enserre exacerbe sa présence!

Et sa frimousse souriante, tellement souriante...

 

L'homme, au clair d'insomniaques nuits

Et dans un soudain besoin de flânerie intérieure,

A simplement à lever le regard pour y puiser

L'incroyable plénitude existentielle propagée,

Et s'offrir le luxe d'une luxuriante exultation.

Il sait d'expérience que la formidable force d'attraction

De cette belle gracieuse a le pouvoir de repousser,

Dans les zones les plus reculées des ténèbres caressantes

La perturbante mais séduisante tentation du vide.

 

Il sait aussi, parce qu'ébloui, se dissoudre à tout coup

Dans l'obsédante présence de ce concentré d'éternité

A l'épicurienne et frémissante profondeur

Où il s'autorisera à laisser papillonner ses phantasmes.

 

Lorsqu'il est tourmenté par la plus intense des nostalgies,

Il sait également trouver dans ses marges alentours,

Créature fascinante et complice aux affinités secrètes,

Une sorte de simplicité apaisante, régénérante.

 

Ainsi qu'un sourire tout de force et d'indolence!

Parce que son sourire, son sourire...

 

Et, sous toute la candeur apparente,

Il y a cette continuelle douceur,

Cette chaude intimité,

Et aussi une vraie chaleur humaine

Où scintillent des petites merveilles de sensibilité.

Improbables pépites qui fleurent bon la tendresse

Et la générosité qui l'affranchissent, provisoirement,

De sortes de pensées aux reflets crépusculaires.

 

C'est ainsi que loin de toute agitation bruyante et parasite,

Elle offre avec une noble application le plus précieux des silences.

Celui d'un moment innocent issu de nulle part, rare et poétique

Passé dans un souffle accéléré en sa délicate compagnie.

En compagnie de son sourire aussi,

Irréel de transparence diaphane:

Lunaire!...

 

P. MILIQUE

 

05/10/2012

DISSEMBLANCE AVÉRÉE

CREPUSCULAIRE.jpeg

 

DISSEMBLANCE AVÉRÉE

 

S'estimant en possession d'un peut-être créatif,

Il s'attache à véhiculer une puissance poétique rare

Dans l'éventuelle fulgurance d'une phrase lumineuse

Qui, dans le scintillant de l'avant, n'était encore que frêle.

 

Association de mots qui laissent parfois rêveur

Suggérant des ailleurs tout imprégnés d'enfance,

Tout en peignant au près la magnifique déclaration d'amour

Qui foudroie au mitant de la nuit l'envol léger des songes.

 

Il n'est pas du tout indiqué de se fier aux apparences

Car, les phrases sont si difficiles à coucher sur le papier

Qu'il est fréquent de voir certains mots disparaître.

 

Se met alors en place une écriture un peu plus âpre

Dont le débit devient haché, aux séquelles incertaines.

Se noircissent aussi des pages au tableau des sombres peurs,

D'une puissance évocatrice rare, parfois terrifiante,

Extrudée au vivant de cet authentique de la vie

Qui s'approche, inexorable, en sombres impasses,

Dans la densité pierreuse d'une structure éclatée.

 

Les tentatives souterraines, toujours aussi désespérées,

Ces tentatives mêmes qui s'agitent, caverneuses et crépusculaires,

Et qui ne présentent guère de similitudes et cependant bouleversent.

Cette appréciation au vif du moment se confirme très vite:

Ces deux-là, est-ce une surprise, ne se ressemblent pas!

Pas plus qu'ils ne sauront jamais jouer la même musique.

 

P. MILIQUE

18/09/2012

MELISSMELL: au RIO GRANDE de MONTAUBAN le 21 Octobre 2011 "Je me souviens maman"

 

MELISSMELL: 

au RIO GRANDE

MONTAUBAN le 21 Octobre 2011

"Je me souviens maman"

 

Moment d'une force et d'une intensité inouïes ce soir-là à Montauban. Melissmell possède cette rare poésie de    l'urgence belle à rallumer des étoiles mortes.

           Et voilà qu'on entend déjà notre coeur battre la     mesure, celle qui nous garde l'âme vivante...

23/06/2012

Fernandel raconte : le film "Le blanc et le noir" qu'il tourna avec Raimu, autres souvenirs

Fernandel raconte : le film "Le blanc et le noir" qu'il tourna avec Raimu, autres souvenirs

03min03s


FERNANDEL répond aux questions d'une intervieweuse inconnue. L'interview est réalisée en public. Fernandel s'amuse à fait rire les spectateurs. Il s'explique sur ses rares rôles dramatiques, ses premiers rôles dans "Les cinq sous de Lavarède" ou"Le blanc et le noir" avec RAIMU, la découverte sur grand écran de sa "gueule chevaline". Avertissement : la qualité sonore de cet enregistrement est de qualité médiocre, mais reste audible.