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01/06/2017

PASSE-PASSE CONCEPTUEL 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

PASSE-PASSE CONCEPTUEL

4

 

L'illusion ne peut se réduire à un quelconque antagonisme de la vision.

Elle est surtout la traduction immédiate d'une formidable ouverture d'esprit. Admirable tour de passe-passe conceptuel proposant un désir fulgurant d'impensable au long de parcours initiatiques soudainement accessibles.
Elle parcourt, alerte, un registre franc et distrayant qui régénère la vie d'un autre possible riche de sérénité. Flirt opportun proposé au cœur d'un merveilleux étincelant qui, dans un nouvel ordre éphémère, éclaire les contraires avec subtilité.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

 

25/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 17/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

17/02/2014

 

 

24/03/2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : MARGUERITE DURAS

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

MARGUERITE DURAS

28 déc. 1969


Jacques Chancel s'entretient avec Marguerite DURAS : son enfance en Indochine, ce qu'elle pense du communisme, de la critique, du "gauchisme", des gens de droite, du gaullisme, des événements de mai 1968. Pourquoi elle fait des films. Remarques sur ses films "Hiroshima mon amour" et "Détruire, dit-elle". Les films qu'elle aime, sa conception du bonheur ; la difficulté de la destruction. Ses projets, ses rapports avec l'argent.

15/04/2012

SUR LE TERREAU ASSECHE

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 SUR  LE  TERREAU  ASSECHE

Aux turbulences d'une vie ardue et bouleversée,
Le voilà parti à la poursuite d'autres ombres
Qui l'aideraient à trouver un sens à l'existence.

Avec peut-être à l'esprit d'obtenir une réponse
Au boursouflé ingrat de ses proches angoisses,
Il descend, marques d'une finitude qui se précise
Dans les âcres bas-fonds de la nature humaine.

Décor minéral aux aléas mêlés de déjà vu
Sur le terreau asséché de ces années passées,
Il décide seul de son orientation définitive,
Assisté de l'énergie vitale propre aux désespérés.

Sous l'énergie trop vive d'une violente lucidité,
L'expérience de la perte et de la déréliction
Déserte la cohorte et torture au crépuscule
De ces rugissements entre vide et vertige
Qui entérinent l'instabilité et l'incessante métamorphose.

P.   MILIQUE

17/08/2011

J'ACCUSE 9

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J'accuse l'Homme de tolérer

La cohorte sans cesse plus enflée

Des maniaques fébriles de la dénonciation.