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09/11/2017

RESONANCE INFINIE

SOLEIL.jpeg

 

 

RÉSONANCE INFINIE

 

Sommes-nous donc destinés aux destins chaotiques?

 

Un jour les lumières se font un peu hésitantes,

La clarté se couvre d'ombres saumâtres

Donnant à la vie une dimension douloureuse.

 

Les liens humains essentiels ne sont plus que ruptures

Et nous précipitent avec la régularité d'un métronome

Dans une suite ininterrompue d'interrogations.

 

Et l'on se retrouve irrémédiablement projetés

Dans les affres fielleux du mal-être ordinaire.

 

Et pourquoi cela?

 

La plupart des mystères ont pour vocation

De n'être jamais vraiment résolus, mais l'on sait,

Que le temps venu du désenchantement ultime

Est parfois promesse d'aube enchantée.

Une sorte de porte ouverte sur le futur.

 

Alors, il devient urgent d'aimer la vie.

Et, plus encore, à continuer d'aimer aimer

Pour que résonne jusqu'à toujours

Le rire-cascade, le rire-cristal

Qui, enthousiaste, fait briller le soleil.

 

P. MILIQUE

23/01/2017

UN AVENIR MAÎTRISE

au magma présent de l'écriture,

 

UN AVENIR MAÎTRISE



Encore une année à voir défiler la vie en images à
Restituer le foisonnement de l'époque. Grâce à notre
Incomparable faculté à nous tenir droit, face au vent
Comme ces arbres centenaires ancrés sur leurs racines.

Bien que le rythme ordinaire en demeure hallucinant
Ou, curieusement démuni de toute sorte de fantaisie, le
Système nous laisse le choix de l'itinéraire. Il peut être
Condensé de sel, d'acide destructeur et de piment ou,
Hanté subtilement d'une sagesse éclairée et tolérante.
Embrasée, la vie se consume alors pleine de charmes,
Exacerbée par-delà des aventures inoubliables vers la
Tentation spectaculaire issues d'ambiguïtés enjolivées et
Irisées d'une porte ouverte sur l'avenir poétique et dompté.

P. MILIQUE

15/11/2016

SUR LES AILES DU RÊVE 5

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

SUR LES AILES DU RÊVE

5

 

Il arrive que les apparences proposent des univers aussi étranges que stupides.

Leur ton faussement docte paraît justifier le sas constitué entre imaginaire et réalité.

En réalité, elles ne font que suggérer une autre voie jalonnée d'assemblements inhabituels: il y a des portes qui s'ouvrent dans la tête, qui offrent le droit de voyager sur les ailes du rêve de son choix.

Dans un miroir silencieux, il nous est donné de suivre une quelconque route bohémienne à l'intérieur d'un même espace, au plus proche du lointain.

Tout cela se pare d'insolite puisque qu'il fait référence à un appel au large qui n'existe pas!

Il n'est, de fait, que la fenêtre ouverte sur une possible révélation.
Pas de panique inutile, nous sommes désormais prévenus!

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

 

27/07/2016

COURT-MÉTRAGE

COUT METRAGE.jpeg

 

 

COURT-MÉTRAGE

 

C'est un peu comme s'enfoncer dans une forêt,

Véritable cathédrale sonore patiente

Qui module sans fin la mélodie du temps.

 

Par la fenêtre nue laissant filtrer

La pâleur exténuée d'un jour éteint.

La porte est ouverte sur un couloir sombre

Dans l'attente d'un événement qui viendra dire

Que la survie reste l'enjeu essentiel.

 

Dès lors, pourquoi s'étonner encore

Des points d'interrogations médusés

Que l'on a tous dans nos yeux désabusés,

En nous infligeant le spectacle référent

Du seul court-métrage qui soit intéressant:

Celui d'une vie ciselée dans le marbre des sourires.

 

P. MILIQUE

21/09/2013

COURT-METRAGE

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COURT-METRAGE

 

C'est un peu comme s'enfoncer dans une forêt,

Véritable cathédrale sonore patiente

Qui module sans fin la mélodie du temps.

 

Par la fenêtre nue laissant filtrer

La pâleur exténuée d'un jour éteint.

La porte est ouverte sur un couloir sombre

Dans l'attente d'un événement qui viendra dire

Que la survie reste l'enjeu essentiel.

 

Dès lors, pourquoi s'étonner encore

Des points d'interrogations médusés

Que l'on a tous dans nos yeux désabusés,

En nous infligeant le spectacle référent

Du seul court-métrage qui soit intéressant:

Celui d'une vie ciselée dans le marbre des sourires.

 

P. MILIQUE