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21/06/2013

POEMES MIS EN CHANSON: "CHEVAUX TOUJOURS" DE NORGE

 

POEMES MIS EN CHANSON

"CHEVAUX TOUJOURS" 

NORGE

Extrait du recueil Les quatre vérités  publié en 1962 (Gallimard)



Les poèmes de Norge ont été chantés par Jeanne Moreau sur des  Philippe Gérard (Canetti 1981, réed. Universal 2002).


Tous les poèmes lus par Marie Richeux cette semaine ont été réunis par Sophie Nauleau dans une une anthologie des poètes français mis en chansons ("Je voudrais tant que tu te souviennes. Poèmes mis en chansons de Ruteboeuf à Boris Vian") publié par Poésie Gallimard en avril 2013).

POEMES MIS EN CHANSON: "L'AMOUR N'EST PAS UN MOT" DE LOUIS ARAGON

 

POEMES MIS EN CHANSON

"L'AMOUR N'EST PAS UN MOT"

LOUIS ARAGON

Extrait de Le roman inachevé publié en 1956.

 

Tous les poèmes lus par Marie Richeux cette semaine ont été réunis par Sophie Nauleau dans une une anthologie des poètes français mis en chansons ("Je voudrais tant que tu te souviennes. Poèmes mis en chansons de Ruteboeuf à Boris Vian") publié par Poésie Gallimard en avril 2013).

POEMES MIS EN CHANSON: "L'AMOUR N'EST PAS UN MOT" DE LOUIS ARAGON

 

POEMES MIS EN CHANSON

"L'AMOUR N'EST PAS UN MOT"

LOUIS ARAGON

Extrait de Le roman inachevé publié en 1956.

 

Tous les poèmes lus par Marie Richeux cette semaine ont été réunis par Sophie Nauleau dans une une anthologie des poètes français mis en chansons ("Je voudrais tant que tu te souviennes. Poèmes mis en chansons de Ruteboeuf à Boris Vian") publié par Poésie Gallimard en avril 2013).

19/06/2013

POEMES MIS EN CHANSON: "SOLDE" de LEON-GONTRAN DAMAS"

 

POEMES MIS EN CHANSON:

"SOLDE" 

LEON-GONTRAN DAMAS

Extrait du recueil Pigments publié en 1937

 

 

Tous les poèmes lus par Marie Richeux cette semaine ont été réunis par Sophie Nauleau dans une une anthologie des poètes français mis en chansons ("Je voudrais tant que tu te souviennes. Poèmes mis en chansons de Ruteboeuf à Boris Vian") publié par Poésie Gallimard en avril 2013).

18/06/2013

POEMES MIS EN CHANSON: "ROSAIRE" de FRANCIS JAMMES

 

POEMES MIS EN CHANSON

"ROSAIRE"

de

FRANCIS JAMMES

extrait du recueil Clairières dans le ciel publié en 1906.

 

Georges Brassens a mis en musique et interpété un choix de strophes du poème Rosaire sous le titre « La Prière ».

 

Tous les poèmes lus par Marie Richeux cette semaine ont été réunis par Sophie Nauleau dans une une anthologie des poètes français mis en chansons ("Je voudrais tant que tu te souviennes. Poèmes mis en chansons de Ruteboeuf à Boris Vian") publié par Poésie Gallimard en avril 2013).

31/05/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "LA LRU CONTINUE"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"LA LRU CONTINUE"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée

 

A force d’idex et d’equipex
A coup de mastex et de labex
Dans les comptas ya tant de tipex
Que les budgets partent en vortex

Au labo ya plus un silex
Pour faire du feu, ça devient complexe
Les secrétaires face au telex
Ont toutes un air un peu perplexe (bis)

Et la LRU continue…

Surtout ne pas perdre confiance
Il y a des niches d’efficience
Des enveloppes à redéployer
Il suffit de les mutualiser

Tendre une branche sympathique
Au monde socio-économique
Faut savoir en cas de problème
S’ouvrir à son écosystème (bis)

Et la LRU continue…

En cas de double déficit
Avant tutelle rectorale
L’État fournit son diagnostic
Et le matériel médical

Pour opérer le corps précaire
Dix postes repris, un post offert
Et aux industries partenaires
On vend les thésards aux enchères (bis)

Et la LRU continue…

Pour plus de lisibilité
Un seul Master accrédité
«La convergence NBIC»
En alternance dès le lycée

Et pendant que toutes les sphères
S’agitent en langues étrangères
En procédure accélérée
Emballez pesez c’est voté (bis)

Et la LRU continue…

La cerisaie sur le gâteau
Il faut la payer sans un euro
Vous reprendrez bien pour le dessert
Une petite mission de transfert ?

Les étudiants ont bien de la chance
Ils sont au chômage d’excellence !
Et la faculté est contente
  Fière de sa faillite innovante ! (bis)

Et la LRU continue…

09/04/2013

LE RESCAPE PRECAIRE 4

SUICIDE.jpeg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


LE RESCAPE PRECAIRE

4


Dans un accès de folle lucidité, une féroce envie lui propose l'irréparable,

Et il comprend qu'il lui faut maintenant s'affranchir de cet insoutenable.

Il doit faire taire cette souffrance qui l'obsède, en tuant la douleur. Vite !

Alors, poussé par un émouvant salut, il convoque une dernière fois en lui

La beauté lumineuse des instants qui bientôt disparaîtront à jamais.

Et puis …

 

C'est un vide éprouvant dans lequel il plonge.

Cela pourrait se révéler être un acte révélateur,

Mais quand on se jette dans un précipice,

Il faut prendre bien garde à ne pas demeurer

Attaché à l'élastique tenace d'un amour dispensé

Par l'inaltérable proximité d'une présence lumineuse,

Afin de ne pas se retrouver, au comble de l'hébétude, à humer

L'exaltante fragrance de vie, rescapé précaire de son désastre intime.

(FIN)

 

 

P. MILIQUE

26/03/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 14.03.2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

14.03.2013

28/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La baisse "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Chômeuses ! Chômeurs !
À la bonne heure !
Avec seulement 300 chômeurs de plus, on ne peut plus parler de malus…

Pardon… pardon de ne pas saluer comme on le fait dans le gouvernement, ce léger ralentissement, cette baisse de la hausse qui laisse présager que le pire est peut être derrière nous….
Seulement voilà… il n’y a plus personne devant pour avaler la pilule qui rend l’idiot utile.
Je ne vous l’ai pas encore dit ?
Non seulement nous sommes idiots… mais inutiles par dessus le marché du travail.
On ne sert plus à rien… et plus personne ne lèvera plus jamais le petit doigt pour nous servir… nous sommes faits comme des rats…
Qu’est-ce qu’on attend pour leur rentrer dedans, leur montrer ne fut-ce qu’une fois que nous ne sommes pas des rats… que nous ne sommes pas des ratés…. que nous ne pouvons plus accepter les miettes qu’ils daignent nous consentir.

Chômeuses ! Chômeurs !
Si on ne bouge pas tout de suite… on meurt… je vous le jure.
On ne doit plus rien lâcher… À tous ceux qui nous ont lâchés
Non… je ne vous vois pas venir… et pourtant il est plus qu’urgent de réclamer un avenir… pour vous, pour vos enfants.
Qu’est-ce que vous attendez pour vous ouvrir, les uns aux autres, de vous rassembler, de vous réunir, pour faire un bruit tel que personne ne puisse plus ne pas en frémir.
Alarmes citoyens… il faut tout de suite tirer la sonnette d’alarme…
Et pourquoi vous ne le faites pas? Pourquoi vous continuez à collaborer avec Pôle emploi?
Pourquoi vous ne renversez pas les tables de ces lois scélérates qui favorisent les favoris et passent le reste au pilori? Pourquoi?
On ne vous entend plus ?
Je vais vous le dire, moi ! Parce que vous ne crevez pas tous de faim…
Parce que c’est le chacun pour soi qui fait foi.
Parce que quelques uns parmi vous attendent le bon jour, le bon vin, la bonne table pour vous restaurer, pour vous réinsérer, pour vous reconvertir.
Non ! Sir!
N’y comptez pas trop… vous aurez tous ou presque droit à une fin de non recevoir…
Parce que vous serez toujours déçus ou mal reçus…
Parce que le système est foutu.
Tout est fait pour que vous ne fassiez RIEN….
C’est pour ça que vous ne crevez pas de faim…
Vous avez juste de quoi ne pas avoir assez de force pour vous demander pourquoi.
Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi?
Pour une seule raison : parce que vous n’êtes pas solidaires…
Non, ce n’est pas le travail qui hisse l’âme.
C’est la volonté de changer d’âme.

09/04/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LE ONZIEME CANDIDAT"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse... Écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!


Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

 

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


"La presse : vous êtes candidate à la présidence de la France?

La candidate : la onzième candidate.

La presse : vous avez trois minutes et 14 secondes pour décliner votre projet!

La candidate : c’est très généreux de votre part!

La presse : première question avez-vous une solution pour résoudre le problème du chômage?

La candidate : pour le chômage et dans l’état actuel, il n’y a pas l’ombre d’une solution objective… et on vous ment si on prétend le contraire. Si l’on réduit le chômage ici c’est qu’on l’a déplacé ailleurs… si on le fait disparaître là, il réapparaîtra là-bas.

La presse : vous voulez dire qu’il est objectivement insoluble ?

La candidate: objectivement OUI. Maintenant et subjectivement, on peut toujours espérer une mutation profonde des mentalités pour apprendre à voir les choses autrement… en cessant par exemple de sacraliser le travail. Et en se disant qu’il n’y aura plus jamais de travail pour tout le monde!

La presse : mais rien n’est concevable sans le travail.

La candidate : il y a l’activité. Pour chacun il s’agit de faire quelque chose. Deux sortes d’activités: une activité transcendante que les grecs appelaient “Poesis” et qui consiste à produire une œuvre extérieure à soi.
Les réponses que j’ai sous les yeux par exemple! Et la Praxis, une activité immanente qui consiste à produire une œuvre intérieure à soi comme danser, chanter ou s’engager…comme je le fais!
Bougez et éliminez toutes sortes de préjugés, vous finirez par vous y retrouver… entier… et pas demi-écrémé!

La presse : et notre pouvoir d’achat ?

La candidate : à l’heure de la crise, c’est le rachat qui pose le plus de problèmes. Pour les riches, comme pour les pauvres, le rachat est hors de prix!
Autrement dit, nous sommes tous responsables et coupables… les uns pour avoir laissé les autres prospérer à leurs dépens et les autres pour avoir laissé les uns désespérer plus que de raison!

La presse : vous éludez encore une fois la question du pouvoir d’achat ?

La candidate : parce qu’elle est mal fichue. Dites moi en quoi c’est un pouvoir et je vous dirai ce que ça peut vous procurer. Le pouvoir d’achat est un présupposé consumériste qui assimile l’être et l’avoir et nos têtes de mules au cumul et à ceux qui accumulent. Quand l’offre est excessivement artificielle, la demande n’est plus du tout naturelle. Parlez-moi plutôt de désirs naturels et nécessaires. Tout le reste est déficitaire!

La presse : Comment allez-vous stimuler la croissance ?

La candidate : vous me rappelez les souris de Pavlov et la psychologie des alcôves. Tant que notre stimulus est exclusivement d’ordre financier, nous réagirons toujours mal et notre croissance dépendra du marché planétaire. Il va falloir revoir nos paramètres et considérer que seul l’homme peut être la mesure de toutes choses et non l’inverse.

La presse : vous voulez vous aussi moraliser le capitalisme ?

La candidate : non, je n’ai jamais rêvé d’un cercle carré ! Je veux dire que si ça ne tourne pas rond pour tout le monde, ça ne tournera rond pour personne. Le capitalisme est indépassable… parce qu’au cœur de l’homme l’avidité n’est pas effaçable!

La presse : c’est plutôt tragique, ce degré zéro de l’espérance ?

La candidate : détrompez-vous, ce degré zéro de l’espérance est juste ce qu’il nous faut pour exceller en matière politique…. ou programmatique.
Seule la désespérance peut aujourd’hui rassembler toutes les sensibilités…

La presse : c’est la fameuse égalité des chances ?

La candidate : ne m’en parlez pas. La nature est élitiste. La culture est élitiste. La raison est élitiste. Le cœur est élitiste. Et le hasard ne fait pas bien les choses. Comme si certains étaient nés pour le bonheur et que d’autres en étaient exclus… le plus grand nombre oscille entre ces deux extrêmes parce que le peuple a toujours eu le cul entre deux chaises!

La presse : que faire ?

La candidate : changer de destin… c’est le point de départ de mon combat: penser, agir et sentir à contre-courant.

La presse : c’est à dire ?

La candidate : ne jamais se détourner de son intérêt pour l’universel… Car il ne nous suffit pas d’empêcher notre voisin de courber l’échine, si on ne se soucie pas des conditions de travail d’un chinois en Chine! Il en va de notre liberté…

La presse : qu’est-ce que la liberté ?

La candidate : tout ce qu’on arrache aux mains de la nécessité.

La presse : savez-vous pourquoi je ne voterai pas pour vous ?"

La presse : vous êtes candidate à la présidence de la France?

La candidate : la onzième candidate.

La presse : vous avez trois minutes et 14 secondes pour décliner votre projet!

La candidate : c’est très généreux de votre part!

La presse : première question avez-vous une solution pour résoudre le problème du chômage?

La candidate : pour le chômage et dans l’état actuel, il n’y a pas l’ombre d’une solution objective… et on vous ment si on prétend le contraire. Si l’on réduit le chômage ici c’est qu’on l’a déplacé ailleurs… si on le fait disparaître là, il réapparaîtra là-bas.

La presse : vous voulez dire qu’il est objectivement insoluble ?

La candidate: objectivement OUI. Maintenant et subjectivement, on peut toujours espérer une mutation profonde des mentalités pour apprendre à voir les choses autrement… en cessant par exemple de sacraliser le travail. Et en se disant qu’il n’y aura plus jamais de travail pour tout le monde!

La presse : mais rien n’est concevable sans le travail.

La candidate : il y a l’activité. Pour chacun il s’agit de faire quelque chose. Deux sortes d’activités: une activité transcendante que les grecs appelaient “Poesis” et qui consiste à produire une œuvre extérieure à soi.
Les réponses que j’ai sous les yeux par exemple! Et la Praxis, une activité immanente qui consiste à produire une œuvre intérieure à soi comme danser, chanter ou s’engager…comme je le fais!
Bougez et éliminez toutes sortes de préjugés, vous finirez par vous y retrouver… entier… et pas demi-écrémé!

La presse : et notre pouvoir d’achat ?

La candidate : à l’heure de la crise, c’est le rachat qui pose le plus de problèmes. Pour les riches, comme pour les pauvres, le rachat est hors de prix!
Autrement dit, nous sommes tous responsables et coupables… les uns pour avoir laissé les autres prospérer à leurs dépens et les autres pour avoir laissé les uns désespérer plus que de raison!

La presse : vous éludez encore une fois la question du pouvoir d’achat ?

La candidate : parce qu’elle est mal fichue. Dites moi en quoi c’est un pouvoir et je vous dirai ce que ça peut vous procurer. Le pouvoir d’achat est un présupposé consumériste qui assimile l’être et l’avoir et nos têtes de mules au cumul et à ceux qui accumulent. Quand l’offre est excessivement artificielle, la demande n’est plus du tout naturelle. Parlez-moi plutôt de désirs naturels et nécessaires. Tout le reste est déficitaire!

La presse : Comment allez-vous stimuler la croissance ?

La candidate : vous me rappelez les souris de Pavlov et la psychologie des alcôves. Tant que notre stimulus est exclusivement d’ordre financier, nous réagirons toujours mal et notre croissance dépendra du marché planétaire. Il va falloir revoir nos paramètres et considérer que seul l’homme peut être la mesure de toutes choses et non l’inverse.

La presse : vous voulez vous aussi moraliser le capitalisme ?

La candidate : non, je n’ai jamais rêvé d’un cercle carré ! Je veux dire que si ça ne tourne pas rond pour tout le monde, ça ne tournera rond pour personne. Le capitalisme est indépassable… parce qu’au cœur de l’homme l’avidité n’est pas effaçable!

La presse : c’est plutôt tragique, ce degré zéro de l’espérance ?

La candidate : détrompez-vous, ce degré zéro de l’espérance est juste ce qu’il nous faut pour exceller en matière politique…. ou programmatique.
Seule la désespérance peut aujourd’hui rassembler toutes les sensibilités…

La presse : c’est la fameuse égalité des chances ?

La candidate : ne m’en parlez pas. La nature est élitiste. La culture est élitiste. La raison est élitiste. Le cœur est élitiste. Et le hasard ne fait pas bien les choses. Comme si certains étaient nés pour le bonheur et que d’autres en étaient exclus… le plus grand nombre oscille entre ces deux extrêmes parce que le peuple a toujours eu le cul entre deux chaises!

La presse : que faire ?

La candidate : changer de destin… c’est le point de départ de mon combat: penser, agir et sentir à contre-courant.

La presse : c’est à dire ?

La candidate : ne jamais se détourner de son intérêt pour l’universel… Car il ne nous suffit pas d’empêcher notre voisin de courber l’échine, si on ne se soucie pas des conditions de travail d’un chinois en Chine! Il en va de notre liberté…

La presse : qu’est-ce que la liberté ?

La candidate : tout ce qu’on arrache aux mains de la nécessité.

La presse : savez-vous pourquoi je ne voterai pas pour vous ?"