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16/12/2017

SUR LA POINTE DE L'ÂME 9

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

SUR LA POINTE DE L'ÂME

9

 

Pour ce qui est de la solitude, il n'est guère de tentatives de justifications qui soient spontanées et entièrement convaincantes.

Selon que l'on considère le très instinctif instinct de défense, l'ordre intimé par quelques sentiments autoritaires, une quelconque velléité intérimaire, en maîtriser la perpétuation ou encore la nécessité suggérée de rompre à l'immédiat tout commerce avec l'univers.

Nous ne paraissons congédiés qu'à contrario et dirigés, non sans subtilités parfois, en ce lieu prétendument inconnu où l'être en recherche de soulagement se déleste des regards contraignants et des jugements comminatoires.

De fait, nul ne sait vraiment en maîtriser la perpétuation.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

23/05/2017

MÉCRÉANT REVENDIQUE

au magma présent de l'écriture,

 

 

MÉCRÉANT REVENDIQUE

 

A titre personnel, il ne fréquente pas ces tristes mausolées

Destinés à célébrer le vif souvenir de ceux qui ne sont plus.

 

Ceux qu'il a aimé comme ceux qui l'ont aimé peu ou prou,

N'auront pas à se déplacer pour s'entretenir avec lui

Puisqu'il ne leur rendra pas visite pour converser avec eux.

 

Ils sont tellement en lui dans l'infime de chaque instant!

Il n'éprouve aucune nécessité d'obscène mise en scène

Proposée par l'aguiche fielleuse d'un culte quelconque

Ni d'une page de calendrier attribuée arbitrairement

Par des instances sans réalité légitime à les représenter,

Pour prendre conscience de l'essentiel qu'ils ont constitué.

 

Ils se sont tant révélé être tellement, que s'en est irréfutable!

 

P. MILIQUE

01/12/2015

MAGNIFICENCE FERTILE 1

au magma présent de l'écriture,

 

MAGNIFICENCE FERTILE

1

Tant d'amertumes, de regrets, de ressentiments
L'ont projeté avec violence dans le désenchantés
De son indéniable non appartenance au monde.

A cela, il doit inclure ses propres hermétismes
Qui, dans la fragilité têtue de chaque souvenir,
Rejettent loin la secrète mécanique de l'existence.

L'état émotionnel ne provoque pas de sentiment de peur
Face au dessaisissement souverain impulsé au partir,
Lorsque son sens génère un anéantissement justifié,
N'est qu'une façon d'aller au-devant de son incertitude
Appelée par l'obsessionnelle mort émanant de l'instant.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

03/11/2013

AU TREMBLEMENT DE L'INCERTAIN

au magma présent de l'écriture,

 

AU  TREMBLEMENT  DE  L'INCERTAIN

 

Face aux tremblements de l'incertaine lumière,

Le regard invente la vision d'un espace idéal,

Dérangeant d'une vérité au goût amer.

 

Il flotte toujours un trouble instant

Au cœur de l'immaculé d'un monde

Devenu parfois lieu de voyage immobile.

 

Entraîné à la source vive du désactivé,

Il conserve son intime part au mystère

Des choses assujetties au définitif du révolté,

Avec une sorte de nostalgie qui est propre

A ce devenir murmuré en tons de confidences.

 

P.  MILIQUE

31/05/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "LA LRU CONTINUE"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"LA LRU CONTINUE"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée

 

A force d’idex et d’equipex
A coup de mastex et de labex
Dans les comptas ya tant de tipex
Que les budgets partent en vortex

Au labo ya plus un silex
Pour faire du feu, ça devient complexe
Les secrétaires face au telex
Ont toutes un air un peu perplexe (bis)

Et la LRU continue…

Surtout ne pas perdre confiance
Il y a des niches d’efficience
Des enveloppes à redéployer
Il suffit de les mutualiser

Tendre une branche sympathique
Au monde socio-économique
Faut savoir en cas de problème
S’ouvrir à son écosystème (bis)

Et la LRU continue…

En cas de double déficit
Avant tutelle rectorale
L’État fournit son diagnostic
Et le matériel médical

Pour opérer le corps précaire
Dix postes repris, un post offert
Et aux industries partenaires
On vend les thésards aux enchères (bis)

Et la LRU continue…

Pour plus de lisibilité
Un seul Master accrédité
«La convergence NBIC»
En alternance dès le lycée

Et pendant que toutes les sphères
S’agitent en langues étrangères
En procédure accélérée
Emballez pesez c’est voté (bis)

Et la LRU continue…

La cerisaie sur le gâteau
Il faut la payer sans un euro
Vous reprendrez bien pour le dessert
Une petite mission de transfert ?

Les étudiants ont bien de la chance
Ils sont au chômage d’excellence !
Et la faculté est contente
  Fière de sa faillite innovante ! (bis)

Et la LRU continue…

24/03/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 20.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

20.02.2013

15/02/2013

LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY

 

 

LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY

Choses vues 

04/04/1968 - 51min01s

 

La comtesse de PANGE, née en 1888 a vécu à la Belle époque dans un monde de délectation disparu dans le bouleversement de la première guerre mondiale. Robert GALLEY, né en1921, est un ancien résistant, compagnon de la Libération, ingénieur, qui, lui, vit dans un monde d'action et d'accomplissement. S'ils appartiennent à des siècles différents, la comtesse de PANGE et Robert GALLEY ont en commun le détachement, la grâce, et le sentiment que la vie prend sa signification par le regard qu'on porte sur elle. Entretiens successifs avec ces deux personnalités : la comtesse de PANGE qui se penche sur son passé sans tristesse, puis Robert GALLEY qui évoque son avenir. Les propos sont illustrés par des photographies et des images d'archives, des documents iconographiques et des extraits de reportages.- Rencontre avec la comtesse Jean de PANGE, née Pauline de Broglie, le 6 février 1888 dans une maison rue de la Boétie. Son père a été associé à la naissance de la 3ème République, ses frères furent prix Nobel et académicien. Elle raconte le Paris de son enfance avec ses voitures à cheval, ses parcs et ses pavés. Elle remarque que la noblesse n'avait aucune conscience de la misère des domestiques et des nourrices. Elle évoque la condition féminine en déplorant l'absence d'éducation des jeunes filles; donne des exemples du train de vie de sa famille, parle du faste des diners, des fêtes de Chaumont, des bals ... Elle se souvient des personnalités qu'elle a fréquentées : Paul DEROULEDE, Maurice BARRES, Marcel PROUST, la comtesse GREFFULHE, Hubert LYAUTEY. Enfin, elle rappelle l'influence des articles dans les journaux du début su siècle et dit ne pas regretter cette " (belle) époque pleine de morgue". - Rencontre avec Robert GALLEY qui revient sur les étapes importantes de sa carrière. Il explique son engagement dans la France Libre à 19 ans en tant que 2ème classe en 1940, ses études après la fin de la guerre à l'école Centrale, et ses débuts dans la carrière d'ingénieur de production et d'ingénieur d'études. Il raconte la construction d'une raffinerie à Petitjean au Maroc, la mise en oeuvre de l'usine de plutonium de Marcoule en 1955 destinée à la fabrication de la bombe atomique. Il se remémore son implication dès 1958 dans la conception et la construction de l'usine de Pierrelatte, puis ses responsabilités étatiques dans le domaine de l'informatique. Il souligne la nécessité de se réaliser dans un métier passionnant et la vertu de l'opiniâtreté, avoue sa passion pour les sciences naturelles. Ses propos sont entrecoupés par le témoignage de Jean VOLVEY qui fut son lieutenant pendant la guerre.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Rivière, Frédéric

 

Stephane, Roger ; Darbois, Roland

 

Jacob, Patrick

 

Galley, Robert ; Volvey, Jean ; Pange, Pauline de

24/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Paris… Paris… On t’accule ! "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 

Paris! Paris! On t’accule… Paris! Paris! On t’accule.
Non, ce n’est pas un cri de guerre…mais une bouteille jetée à la mer avec un petit mot triste et amer sur Paris…capitale de la douleur…qui nous renvoie à une douleur capitale : Paris n’est plus ce qu’elle était…la plus belle ville du monde…mais un vulgaire dépôt de marchandises, où tout y est dévoyé avant d’être broyé par les marchands de tapis, que le christ a jadis chassé du temple.
Plus rien n’a de valeur…tout a un prix. Mon pays est vendu…sa capitale entretenue par des capitaux étrangers sous prétexte que c’est ainsi que le monde peut tourner et se retourner. On dit que le compte est bon, mais personne encore n’y a trouvé son compte.
Globalisation, délocalisation… dépaysement pour tous… voyage… voyage…µle monde est devenu un village… c’est ça le message…. le bourrage de crâne du nouvel âge… Ni barrière… Ni barrages… Que vois-je ?
Non! Je n’ai pas envie de voir tout ce que je vois…
L’universel entre les mains des particuliers… Une patrie qu’on sous-loue… et une partie qu’on déjoue… parce que plus rien ne nous émerveille… ni le miel… ni les abeilles.

Le Qatar à la barre. L’argent est plus royaliste que tous les rois… pour ne pas perdre, il faut se rendre…. et se faire tondre pour gagner… gagner le bon client… voilà ce que nous cherchons tous, le bon client pour épouser votre fille, pour louer votre appartement, pour gérer votre musée ou pour diriger votre sport préféré.
Le Qatar est là pour nous faire rêver.
PSG…: Paris ! Paris! On t’encule ! disent tous ceux qui aiment l’OM…
Mais Paris gagne… Paris ne n’est jamais aussi bien portée… dans les vestiaires, sur le terrain comme sur le papier… Paris fait figure de favori… de futur vainqueur de la ligue des champions…
Grâce à qui? Bande d’abrutis ! Grâce aux Qatari.
Enfin un club de football digne de la capitale des capitaux…
Paris gagnant – gagné pour les parisiens qui n’en demandaient pas tant… qui ne croyaient pas qu’on pouvait gagner sans péril et triompher de la gloire rien qu’en se donnant au plus offrant…
J’y arrive pas… désolée… J’y arrive pas… et tous les dimanches… je soutiens tour à tour… Ajaccio… Nice… Marseille… Montpellier… tous les adversaires du PSG…
Le PSG, je vous signale que c’était mon équipe… et je ne rêve plus que d’une chose…. la voir trébucher au nom de tous les passionnés du ballon rond…
Je dis qu’on ne peut pas tout vendre… ni tout acheter…
Non, s’il vous plaît… pas l’émotion…
Je ne veux pas de ce sang contaminé… le sport, le bel effort, ne doit pas être négocié ni vicié…
Je préfère encore faire partie des condamnés à la relégation, plutôt que d’avoir une injection à la Zlatane qui me fait gagner le match et perdre la hache et la face.
On me rétorque que c’est ainsi qu’ira le monde…
Le Mundial, la mondialisation…. c’est pour tout le monde, l’issue fatale…
OK pour nos autoroutes et nos déroutes… mais pas ok pour notre clé de voûte….
Pas ok pour nos rêves… pour le peu qui nous reste.
Le Qatar ?
J’aurai signé des deux mains si c’était un digne parrain… ou un noble mécène… s’il s’était par exemple investi pour relever Gaza de ses cendres et offert à ses habitants une ville digne de ce nom, des hôpitaux, des écoles…là…Oui… j’aurai applaudi avec un certain sens de l’honneur, les nouveaux seigneurs.

Et si chacun mettait la main à la poche… Parisiens, parisiennes…
On pourrait peut être relever Gaza… y construire une équipe de foot et défier toutes les capitales marchandes :
PARIS -QATAR … A BAS LES BATARDS !
PARIS – QATAR… A BAS LES BATARDS !

14/01/2013

J'ACCUSE 27

J'ACCUSE.jpeg

 

J'accuse l'Homme

De ne pas succomber

A l'informelle terreur

De sa grave Inaptitude

Au monde

Dont il ne cherche

Même pas

A se débarasser.

30/12/2012

ILS ONT PENSE POUR NOUS 21

PENSEUR.jpeg

 

"Être déraciné,

Cela veut dire

N'avoir pas de place

Dans le monde,

Reconnu et garanti

Par les autres.

Être superflu,

Cela veut dire

N'avoir aucune appartenance

Au monde"

 

(Hannah ARENDT -- Philosophe)

29/12/2012

LA PERVERSION DU NÉANT

LUMIERE BLANCHE.jpeg

 

LA PERVERSION DU NÉANT

 

C'est une tragédie personnelle lourde de désespoir,

Un cauchemar interminable qui laisse perplexe

La passion dévastatrice à l'audace arrogante.

 

Comment expliquer la lâcheté, la couardise fondamentale ?

Comment opposer l'indifférence affichée à la détresse d'autrui ?

 

Dans la lumière sèche et presque blanche

De notre infime aux fièvres marécageuses,

L'oreille vibrante de la vie qui s'efface

Arrache au linceul brûlant de l'oubli

Les voix évanouies car trop souvent niées.

Vocalises hallucinées de douleur et de violence

Qui jamais, même à l'extrême, ne s'apaiseront.

 

Pour qu'enfin s'illuminent les ténèbres de ce monde,

Il faut rappeler aux mots l'autre charge de leur fonction

Qu'est de faire se consumer la perversité du néant

Afin que la beauté fragile du réel instantané

Se pare de fier instinct et d'attrayante séduction.

 

P. MILIQUE

22/12/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Chine Toc"

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Chinetoc… chinetoc… chinetoc
Non ce n’est pas du toc… c’est du roc
Du roc qui se fait passer pour du toc…
La Chine… c’est la seule usine au monde où l’on fabrique des enfants à tout faire, des hommes pour faire des affaires … des êtres utiles qui ne cherchent pas à être agréables.
La Chine… la Chine…. c’est nous qui finirons par courber l’échine.
Ils sont prêts à tout pour être tout près de nous.
Pour nous annexer… nous envahir… nous remplacer lentement mais sûrement.
La Chine… c’est la première puissance du monde… mais nul ne le sait…
Parce que la Chine n’a nulle envie que ça se sache… humilité d’un géant
Le monde baille, la Chine, elle, travaille, vaille que vaille…
Sans relâche… tous ses enfants sont à la tâche… sans carottes, avec une cravache ! Pour infiltrer nos écoles, nos hôpitaux, nos petits commerces, nos petits restaurants, nos cabinets de toilettes.

Non les chinois ne sont pas ici, rassurez-vous, ils sont là, même si personne ne les voit … eux, ils nous voient, nous côtoient et profitent de nos lois…
Ils sont nombreux, très nombreux… sans nombre.
Ils sont en train de nous avoir à l’usure… tout ce qui ne coûte pas cher, va nous coûter très cher… C’est le marketing à la chinoise :
Occuper le terrain… et vendre … vendre tout et n’importe quoi mais vendre chinois… au plus bas prix… et à n’importe qui. Ce sont les nouveaux maîtres du monde.
Non, ils ne vont pas débarquer… ils nous ont déjà embarqués et délogés… au fur et à démesure.
Comment ils ont fait?
Ils ont fabriqué des gadgets pour assouvir puis asservir nos civilisations fondées sur un système d’objets.
Qu’est ce qu’ils ont de plus ? Rien de plus. Mais tout en moins.
Moins de vanité. Moins d’égocentricité… moins de choses à se raconter.
Que des outils pour avancer et faire avancer… parce que l’homme tout bien pesé n’est qu’un idiot utile.

J’ai envie d’écrire un livre… rouge sur le Chinonisme… le nouvel ordre mondial latent qui nous attend au tournant et qui n’a pas été encore détecté par nos détecteurs de vérité.
Que voulez-vous que je vous dise? Il n’y a plus de pensées mais seulement des pansements…des infirmes qui se font passer pour des infirmiers.
Tous ces gens ont besoin d’une bonne médecine chinoise:
Tocchine… tocchine… tocchine…