06/07/2013
AL BERTO: "LETTRE D'EMILE"
AL BERTO
"LETTRE D'EMILE"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:28 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak, cocaïne, cognac, la reine des pommes, assouvir ses pulsions, brigand, salope, putain, diabolique, garce
05/07/2013
AL BERTO: "NOTES"
AL BERTO
"NOTES"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak, cocaïne, cognac, la reine des pommes, assouvir ses pulsions
04/07/2013
AL BERTO: "FANTÔMES"
AL BERTO
"FANTÔMES"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak
03/07/2013
AL BERTO: "ENFER"
AL BERTO
"ENFER"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité
20/05/2013
PAUL CELAN, " FRONCEE DE NUIT"
PAUL CELAN
" FRONCEE DE NUIT"
Lu par Yves GASC
Paul Celan est né le 23 novembre 1920. Ce poète et traducteur roumain de langue allemande, juif de Galicie, est un des plus grands poètes allemands du XXe siècle. Il a composé une oeuvre riche et complexe, orchestrée autour de la sonorité d'une langue qu'il maltraite, et ciselée dans la conscience d'écrire après l'extermination des juifs d'Europe. Il est mort en 1970 à Paris.
Cette semaine, un choix composé dans son recueil De Seuil en Seuil, paru en 1955 en Allemagne, et dans la traduction française de Jean-Pierre Lefebvre en 1998 parue chez Poésie Gallimard.
Prise de son : Pierre Minne
Montage : Sylvain Dangoise
Assistante à la réalisation : Delphine Lemer
Réalisation : Myron Meerson
23:49 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, paul célan, patrick milique, myron meerson, delphine lenner, sylvain dangoise, pierre minne, jean-pierre, lefebvre, alexandre pacloff, poète, traducteur, roumain, allemand, juif, galicie, oeuvrer, riche, complexe, maltraiter, ciseler, extermination des juifs, europe, gallimard, yves gasc, citadelle, crise financière, corridor, refrain, crainte, israël, colombine, terroriste, moraliste, justifier, automutilation, odeur, sang, merde, gagner, perdre, interstellaire, interplanétaire
19/05/2013
PAUL CELAN, " DEVANT UNE BOUGIE"
PAUL CELAN
" DEVANT UNE BOUGIE"
Lu par Alexandre Pavloff
Paul Celan est né le 23 novembre 1920. Ce poète et traducteur roumain de langue allemande, juif de Galicie, est un des plus grands poètes allemands du XXe siècle. Il a composé une oeuvre riche et complexe, orchestrée autour de la sonorité d'une langue qu'il maltraite, et ciselée dans la conscience d'écrire après l'extermination des juifs d'Europe. Il est mort en 1970 à Paris.
Cette semaine, un choix composé dans son recueil De Seuil en Seuil, paru en 1955 en Allemagne, et dans la traduction française de Jean-Pierre Lefebvre en 1998 parue chez Poésie Gallimard.
Prise de son : Pierre Minne
Montage : Sylvain Dangoise
Assistante à la réalisation : Delphine Lemer
Réalisation : Myron Meerson
17:28 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, paul célan, patrick milique, myron meerson, delphine lenner, sylvain dangoise, pierre minne, jean-pierre, lefebvre, alexandre pacloff, poète, traducteur, roumain, allemand, juif, galicie, oeuvrer, riche, complexe, maltraiter, ciseler, extermination des juifs, europe, gallimard
11/05/2013
PAUL CELAN, "FIGURE DOUBLE", "LOINTAINS", "GREFFE SUR L'OEIL"
PAUL CELAN
"FIGURE DOUBLE"
Lu par Alain LENGLET
"LOINTAINS"
Lu par Julie SICARD
"GREFFE SUR L'OEIL"
Lu par Stéphane VARUPENNE
Poèmes extraits du recueil De Seuil en seuil (éditions Poésie Gallimard, traduction : Jean-Pierre Lefebvre)
Paul Celan est né le 23 novembre 1920. Ce poète et traducteur roumain de langue allemande, juif de Galicie, est un des plus grands poètes allemands du XXe siècle. Il a composé une oeuvre riche et complexe, orchestrée autour de la sonorité d'une langue qu'il maltraite, et ciselée dans la conscience d'écrire après l'extermination des juifs d'Europe. Il est mort en 1970 à Paris.
Cette semaine, un choix composé dans son recueil De Seuil en Seuil, paru en 1955 en Allemagne, et dans la traduction française de Jean-Pierre Lefebvre en 1998 parue chez Poésie Gallimard.
Prise de son : Pierre Minne
Montage : Sylvain Dangoise
Assistante à la réalisation : Delphine Lemer
Réalisation : Myron Meerson
23:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, paul celan, patrick milique, alain lenglet, julie sicard, stéphane varupenne, jean-pierre lefèbvre, poète, traducteur, roumain, juif, allemand, galicie, composer, oeuvre, riche, complexe, orchestrer, sonorité, maltraiter, ciseler, conscience, amour, écrire, extermination des juifs, europe, paris, choix, recueil, pierre minne, sylvain d'angoisse, delphine lemer, myron meerson
03/04/2012
Yves BONNEFOY: "Là où retombe la flèche" (extrait)
Yves BONNEFOY: "Là où retombe la flèche" (extrait)
(Des voix rares, voire inédites, c'est ce que propose Ina.fr. Guillaume Apollinaire en 1911, Anna de Noailles en 1930, mais aussi Léon-Paul Fargue, René Char, Aimé Césaire, Raymond Queneau... A l'occasion du Printemps des poètes, découvrez les voix toutes empreintes de lyrisme des grands auteurs, maîtres de la versification, du XXème siècle.)
Yves BONNEFOY est né le 24 Juin 1923. Il est poète (ascendance surréaliste), critique, traducteur, il est également l'auteur de récits et de nombreux essais.
Par ailleurs, il a été fait docteur honoris causa de très nombreuses universités à travers le monde, parmi lesquelles l’université de Neuchâtel, l’American College à Paris, l’université de Chicago, Trinity College (Dublin), les universités d’Édimbourg, de Rome, d’Oxford et de Sienne. Excusez du peu!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Bonnefoy
16:12 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, yves bonnefoy, là où retombe la flêche, voix rare, inédit, proposition, ina, guillaume apollinaire, anna de noailles, léon-paul farguee, rené char, aimé césaire, raymond queneau, le printemps des poètes, emprein de lyrisme, grands auteurs, maître de la versification, poète, ascendande, surréaliste, critique, traducteur, auteur de récit, auteur d'essai, docteur honoris causa, universitaire, neuchâtel, american collège de paris, chicago, trinity collège de dublin, édimbourg, rome, oxford, sienne, excuse