20/04/2016
CONCISION FRAGMENTAIRE 48
CONCISION FRAGMENTAIRE
48
Immense soulagement éprouvé
Et formidable impression de liberté
Dans ce clair-obscur paresseux
Parcouru de silencieuse immortalité.
P. MILIQUE
08:51 Publié dans CONCISIONS FRAGMENTAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, immense, sentiment, religieux, éprouver, formidable, impression, liberté, libérer, boomerang, clair-obscur, paresseux, parcourir, silencieux, immortalité, mauraneérection, circonflexe, atol, moldavie, sceptre, trou du cul, bizarre, réconfort, deuil, hommage, selfie, mignardise, batman, libraire, aveugle, prêtre
07/07/2013
AL BERTO: "CARTE"
AL BERTO
"CARTE"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak, cocaïne, cognac, la reine des pommes, assouvir ses pulsions, brigand, salope, putain, diabolique, garce
06/07/2013
AL BERTO: "LETTRE D'EMILE"
AL BERTO
"LETTRE D'EMILE"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:28 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak, cocaïne, cognac, la reine des pommes, assouvir ses pulsions, brigand, salope, putain, diabolique, garce
05/07/2013
AL BERTO: "NOTES"
AL BERTO
"NOTES"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak, cocaïne, cognac, la reine des pommes, assouvir ses pulsions
04/07/2013
AL BERTO: "FANTÔMES"
AL BERTO
"FANTÔMES"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité, araignée de mer, caviar, officialiser, quenelle, galette de blé noir, saint-émilion, chair de tourteau, cerfeuil, basilic, barbecue, kayak
03/07/2013
AL BERTO: "ENFER"
AL BERTO
"ENFER"
Lu par Laurent Natrella
Al Berto est l'un des grands poètes portugais du XXe siècle , l'un des plus populaires aussi. Né en 1948 à Coïmbre, sous le nom d’Alberto Pidwell Tavares, le poète a passé son enfance à Sines (Alentejo), ville qu’il a évoqué dans Mar de Ceva (1968). D’abord étudiant aux Beaux-Arts, Al Berto a quitté le Portugal pour la Belgique. Il n’est revenu à Lisbonne qu’en 1975, ville où il est mort 22 ans plus tard en 1997. Al Berto était poète, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur. Il collabora à diverses revues et publia plusieurs recueils de poésie, influencés par Rimbaud et Genet, mais aussi par par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine.
« Tandis que, dans une première phase, sa poésie descend aux enfers d´une jeunesse errante et marquée par un univers urbain souterrain, où l´excès s´exprime, par exemple, dans le champ d´expériences marginales, comme celle des drogues ou à travers un fort érotisme homosexuel, à partir des années 1980, apparaît toute la mélancolie nomade et désillusionnée de quelqu´un qui nous donne un témoignage confessionnel, une sorte d´autobiographie émotive d´un homme qui semble progressivement entrer dans un spleen fait d´ennui et de solitude, mais aussi d´un narcissisme blessé qui l´entraîne à s´enfermer dans un cocon, où il s’abrite du monde extérieur en ayant recours à une écriture sereine et contemplative. » (L’Institut Camõens)
« Al Berto, né en 1948, est une figure emblématique de la poésie portugaise contemporaine. Son œuvre s'affirme explicitement comme héritière du romantisme et du symbolisme. Un classique, en somme. » (L’Escampette)
« J’habite Lisbonne, comme si j'habitais à la fin du monde, quelque part où seraient réunis des vestiges de toute l'Europe. À chaque coin de rue, je trouve des morceaux d'autres villes, d'autres corps d'autres voyages. Ici, il est encore possible d'imaginer une histoire et de 1a vivre; ou de rester 1à, immobile, à regarder le fleuve, à feindre que le temps et l'Europe n'existent pas - et probablement Lisbonne non plus. » (l’auteur)
Son œuvre a été traduite en français par celui qui fut son ami, Michel Chandeigne et publié par les éditions L’Escampette.
Parmi ses publications:
Le Livre des retours (L'Escampette, 2004)
Trois nouvelles de la mémoire des Indes (L’Escampette, 2001)
Jardin d’incendie ( L’Escampette, 2000)
Lumineux noyé (L’Escampette, 1998)
La secrète Vie des images (L’Escampette, 1996)
La Peur et les Signes (L’Escampette, 1993)
05:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, al berto, enfer, poète portugais, laurent natrel, populaire, xoïmbre, alberto pidwell tavares, enfance, sinès, alentejo, mar de ceva, étudiant aux beaux arts, portugalbelgique, lisbonne, peintre, libraire, rédacteur littéraire, traducteur, collaborer, publier, rimbaud, genet, mouvement libertaire, génération beatnikaméricain, descente aux enfers, univers urbain, souterrain, érotisme, homosexualité
29/11/2012
WALLY EN SPECTACLE: "SALLE DE LA COMMANDERIE" POUCHARRAMET (HAUTE-GARONNE)
WALLY EN SPECTACLE
"SALLE DE LA COMMANDERIE"
POUCHARRAMET (HAUTE-GARONNE)
Le 22 NOVEMBRE 2012
Celui-ci, c'est quelqu'un!
Auteur, compositeur, interprète et par ailleurs humoriste dans l'âme...
Il est multi-instrumentiste (guitare, accordéon, piano, et d'autres choses encore) il s'est médiatiquement fait connaître par la création, tout à fait spécifique, de ce qu'il nomme lui-même des "Chansons Courtes".
Celles-ci sont en effet le résultat de quelques fragments de phrases subtilement, ou pas, choisies et accompagnées de quelques accords de guitare et...
Le meilleur, comme dans la quasi majorité des cas, se déroulant sur scène, s'il passe près de chez-vous n'hésitez pas à aller à sa rencontre pour passer un décontractant moment en sa compagnie. C'est ce que nous avons ce soir-là Dame-Soleil et moi!...
01:57 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, les prix littéraires, prix goncourt, jean-louis bory, roger vrigny, prix fémina, bernard privat, éditions grasset, interviewer, effectif, remise de prix, aspec, foire aux livres, phénomène de société, société de consommation, libraire, public, habitude, production, réalité, oeuvrer, vote collectif, jurés, saint, gros tirage, monter, baisser, dommage, éphémère, serge misrai, jean yanne, pierre dac
27/11/2012
LES PRIX LITTERAIRES: "Les prix littéraires"
LES PRIX LITTERAIRES
JT 20H
01/12/1974 - 04min53s
Jean-LOUIS BORY prix Goncourt 1945, Roger VRIGNY prix Fémina 1963, Bernard PRIVAT éditions Grasset sont interwievés sur les prix littéraires .Interview de Jean-Louis BORY : " ...effectivement cette remise de prix littéraires a un aspect de foire. La remise des prix littéraires est un phénomène de société de consommation que l'on le veuille ou non..." .Interview d'un libraire : ..."qui et quand achète t-on ces prix ? est ce qu'on lit les prix littéraires ?" .Interview de Roger VRIGNY, prix Fémina 1963 : ..."le public est tellement habitué à prendre des produits et non des réalités...".Interview de Bernard PRIVAT, édition Grasset : ..."c'est le public qui fait les prix littéraires..." .Suite interview de Jean-Louis BORY : ..."le prix littéraire est le produit d'un vote collectif les jurés ne sont pas des saints".Suite interview de Bernard PRIVAT : ..."les gros tirages montent et les petits tirages baissent, c'est un peu dommage la vie d'un livre est éphémère...".
Production
Générique
19:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, les prix littéraires, prix goncourt, jean-louis bory, roger vrigny, prix fémina, bernard privat, éditions grasset, interviewer, effectif, remise de prix, aspec, foire aux livres, phénomène de société, société de consommation, libraire, public, habitude, production, réalité, oeuvrer, vote collectif, jurés, saint, gros tirage, monter, baisser, dommage, éphémère, serge misrai
03/11/2012
LES FRANCAIS ET LE LIVRE: "LA FUREUR DE LIRE"
LA FUREUR DE LIRE
Midi 2
17/10/1992
02min01s
En ce jour de "fureur de lire", visite chez un poète strasbourgeois qui a réussi a concilier sa passion de l'écriture avec un travail a mi temps chez un libraire. Rencontre avec Marc SYREN, en situation : chez lui, dans la librairie et dans les rues du quartier de "La petite France" à Strasbourg.
Production
Générique
13:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, francais, livre, lecture, fureur de lire, singularité, enzo ferrari, maestro, rendre visite, poète, strasbourgeois, réussir à concilier, passion, écriture, travail à mi temps, libraire, rencontre, marc syren, situation, librairie, rue, quartier, la petite france, strasbourg, christine boos, participatif, publication, maintenir, les mots bleus, cueillir, roseraie
02/11/2012
LES FRANCAIS ET LE LIVRE: " Microtrottoir de Michel Polac sur les Français et la lecture"
MICROTROTTOIR DE Michel POLAC SUR LES FRANCAIS ET LA LECTURE
Bibliothèque de poche
14/09/1966 - 05min32s
Michel POLAC interrogent des passants, dans la rue, devant une librairie puis dans un supermarché. Devant la librairie, il invite les passants à commenter une phrase, inscrite par le libraire sur la vitrine de sa librairie : "58 % de Français ne lisent jamais de livre. Nous avons tellement honte que nous sommes prêts à en donner à ceux qui voudront passer dans les 42 % de Français civilisés". Les personnes interviewées se confient sur leur fréquence de lecture et exposent les raisons pour lesquelles ils lisent ou ne lisent pas. Le libraire s'explique sur ce qui l'a motivé à écrire cette phrase sur sa devanture.
Production
Générique
14:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, français, écriture, lecture, michel polac, microtrottoir, bibliothèque de poche, interroger, passant, dans la rue, librairie, supermarché, invitation, commenter, phrase, inscription, libraire, vitrine, ne jamais lire, honte, prêt, donnation, civilisation, personne, interviwé, se confier, fréquence, exposer les raisons, s'expliquer, motiver, devanture, yannick bellon
16/09/2012
MONTPARNASSE, L'ÂGE D'OR: James JOYCE à Montparnasse
MONTPARNASSE, L'ÂGE D'OR
James JOYCE à Montparnasse
L'art et les hommes
18/03/1963 - 09min14s
Interview de Sylvia BEACH, éditeur et libraire de Shakespeare et Cie, disparue aujourd'hui, qui raconte sa rencontre avec James JOYCE chez Spire. Elle évoque également la première visite du grand écrivain à la librairie du quartier Montparnasse, la parution et l'interdiction aux Etats Unis de l'"Ulysse" de Joyce.
Production
Générique
16:03 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, montparnasse, l'âge d'or, james joyce, l'art et les hommes, interview, sylvia beach, éditeur, libraire, shakespeare, disparition, raconter sa rencontre, chez spire, évocation, égalité, première visite, grand écrivain, librairie de quartier, parution, interdiction, états-unis, ulysse, jean marie drot, charles chaboud, participation