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16/05/2012

PAR ICI LA SORTIE: Ne laissez pas les enfants jouer sur la guillotine

PAR ICI LA SORTIE


Ne laissez pas les enfants jouer sur la guillotine

(6’59’’)


« Sa tête dans le petit trou »


Sortie scolaire : youpi, on visite le musée de la police ! Ca se passe dans le commissariat du 5ème arrondissement de Paris et ça vaut le détour. Suivez la guide pour tout savoir des tortures, exécutions et guillotines qui font les délices des enfants.

Enregistrement : mars 12
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Stéphanie Labadie

15/05/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "SOURYA"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


L’Occident :

Sourya… laissez nous vous exporter le printemps arabe, parce que mieux vaut une révolution à fleurs qu’un panier de crabes!

Sourya… comment pouvez-vous prendre celui qui vous saigne pour un seigneur ?
Et votre bourreau pour la plus incroyable des victimes ?

Sourya… qu’est-ce qui vous prend ?
Pourquoi voulez-vous que l’on vous croie, convoitée ou menacée par l’occident? C’est votre allié le plus mordant contre le tyran!

La Grande Syrie:
Parce que je n’ai pas d’autre fierté… que d’être fière.
Et parce que je suis fière… je ne livrerai pas à votre empire… même le pire de mes frères
Allez-vous-en !
Je préfère mon absinthe à votre miel…

L’Occident :
Si vous ne nous livrez pas le forcené, on va devoir l’achever… autrement.

La Grande Syrie:
Dans ce cas, il va falloir me passer dessus… je m’appelle… Dieu.

DISHARMONIE TRANSITOIRE

VIREVOLTE.jpg

 

DISHARMONIE  TRANSITOIRE

Que la vie serait donc jolie
Et nous tiendrait sous son charme
Si elle ne nous renvoyait pas le rire grinçant
D'une myriade d'images faussement vraies!

La mémoire d'un sentiment est volatile
Et il suffit d'un imperceptible détournement du cœur
Pour ressentir les effets multiples de l'assèchement.

Il y a comme une impression de virevolte autour d'une étoile
Qui occulte chaque borne utile à son monde
Pour en chercher le point de rupture libérateur
Dans l'accélération d'une existence qui soudain défile,
A peine consciente de l'effet singulier qu'elle produit
Entre modulations séduisantes et sculptures transitoires.

Il ne doit y avoir de cesse de revenir toujours
Au cheminement erratique de ce qui a été,
Afin de redonner à l'enfance trop vite passée
Le brisé de son goût âcre, sensible et doux-amer.

P. MILIQUE

14/05/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE "BOUFFONS DU LION".

 

BOUFFONS DU LION

La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède - 28/02/1984 - 01min40s

Saint François d'Assise était plus cruel que Néron : Alors que Neron se contentait d'envoyer les chrétiens aux lions Saint François d'Assise envoyait les lions aux chrétiens.


Production

Agence, Paris : France 3


Générique

Fournier, Jean Louis
Desproges, Pierre

LE JOURNAL DE PERSONNE: "ROUGE BIAISE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


Pour la France
Pour le sens de notre souffrance
Le bon sens n’est pas la bonne solution
Pour tous les capés, pour tous les rescapés
Le bon sens n’a aucun sens…
La Révolution n’a rien fait d’autre que changer la formule
Depuis 1789, rien de neuf.
Quelques vagues lyriques ou romantiques
Mais rien de nouveau sous le soleil de Satan!
Le poète, maudit depuis, préconisait le bouleversement de tous les sens…
L’errance plutôt que la gouvernance…
Ô France, lui dit-il, rends moi ma part d’insouciance
Ma légèreté, ma volupté, ma liberté.
Si tu ne changes pas, je t’échangerai
Si tu ne me suis pas, je t’abandonnerai
À ton ciel gris et à ton air aigri
Car c’est maintenant l’heure du grand bouleversement!
Bouleversement des mœurs et des leurres
Pour exiger de nous-mêmes un tout autre bonheur.
Une autre mentalité, une autre sentimentalité.
Construisons d’autres mots
Pas pour y habiter mais pour y cohabiter
Et d’autres cieux
Pour ne plus rien y dissimuler.
Car nous n’en voulons plus
De cette constitution, de cette morale, de cette religion
Qui ignore que chacun est son propre Dieu.

J'ACCUSE 20

J'ACCUSE.jpeg

 

J'accuse l'Homme

De coupable indifférence

Alors qu'il suffirait de savoir regarder

Pour être fasciné par les lois naturelles

Qui gouvernent l'univers.

13/05/2012

Sarah NARDON: L'âme en fleur (Victor HUGO)

Sarah NARDON:

L'âme en fleur (Victor HUGO)

 

Sarah Quey et Nausicaa, deux chanteuses, ont unis leurs voix pour interpréter ce poème

Georges BIDAULT: Déclaration pendant les combats à l'Hôtel de Ville de Paris

 

Georges BIDAULT:

Déclaration pendant les combats à l'Hôtel de Ville de Paris

04min17s 


A Paris, au milieu des explosions, Georges BIDAULT exalte l'héroïsme des résistants ; la honte de l'occupation est effacée. Il lance un appel du Conseil national de la résistance à l'union et au courage. L'honneur du pays est sauf, les combats se poursuivent. Il rend hommage aux Alliés, et annonce l'arrivée prochaine du Gouvernement à Paris.

LASSITUDE DE DEFROQUES

OBSCURITE.jpg

 

 

LASSITUDE DE DEFROQUES


 

Dans le clair-obscur d'un monde qui disparaît,

 

Il tente de recueillir quelques couleurs

 

Pour ne pas se retrouver entièrement seul.

 

 

Des traits de lumière communiquent dans la nuit

 

Et le guide dans cette obscurité qui peu à peu s'installe

 

A travers la petite fenêtre qui lui reste sur l'extérieur,

 

Comme au travers des nuages lorsqu'il pouvait encore les voir,

 

Gronde toujours cette présence inquiétante

 

Que lui présentent d'étranges miroirs

 

Dans lesquels il plonge sans retenue restrictive.

 

 

Univers obscur, inutile et cependant redécouvert,

 

Débordant de scènes authentiques et cocasses

 

Où déambulent des lassitudes de défroqués

 

Et les chagrins d'une ribambelle de vaincus.

 

P. MILIQUE

12/05/2012

LES BODIN'S: "Maria BODIN: ses chaudes années avec son Raymond "

LES BODIN'S:

"Maria BODIN: ses chaudes années avec son Raymond "

 

Souvenir de mariage, voyage de noce au camping et l'amour fou entre Maria Bodin et son Raymond.

Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins .

LE JOURNAL DE PERSONNE: "INSIDE WOMAN"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


Mon nom est …Personne
Prenez soin d’écouter ce que je vais vous dire
Parce que je trie mes mots sur le volet
Et que je ne me répète jamais !
Je vous ai dis comment je m’appelle ça règle la question de QUI
Le Où quant à lui pourrait facilement être décrit comme le mur d’une cellule d’où le titre du billet : “Inside woman”
Mais il y a une nette différence entre se retrouver emprisonnée dans une cellule étriquée et se retrouver enfermée dans son propre désir de régler tous les comptes.
Le QUOI est facile : Dernièrement j’ai conçu et amorcé une mécanique pour exécuter le braquage d’Internet. Le casse plus que parfait de la planète !
mais QUAND ?: aujourd’hui ou peut-être demain.
Quant au POURQUOI en plus de l’évidente motivation de rendre justice, la raison est très simple : Parce que je l’ai décidé
Ce qui nous laisse avec le COMMENT à résoudre :
Pour être fidèle à moi-même, je vous dirais : No comment !

 

INDICIBLE NERVOSITE

NERVO 2.jpeg

 

 

INDICIBLE NERVOSITE

 

Le problème n'aurait pu être qu'à peine perceptible,

Mais sa tête devient à nouveau lourde

Et il s'éprouve en proie à un état étrange,

Une profonde gêne, une nervosité indicible, accablante.

 

Il est sec d'une d'une contraignante et inextinguible soif

De ce rare lieu du cœur où se pavane l'esprit

Et, condamné à jeter beaucoup de temps au rien,

Il crie par la fenêtre à des voisins invisibles.

 

P. MILIQUE