07/08/2017
MÉMOIRE VAGABONDE
MÉMOIRE VAGABONDE
Comme elle me manque ta présence lumineuse,
Comme elle me manque, tu ne sais pas combien!
Par bonheur existe cet espace privilégié qui,
Le temps d'un furtif battement de paupières,
Exprime un rêve portant en son sein la somme
De tous les possibles restés jusque là inconnus.
Dans ce rêve saturé de lumière et d'émotion,
Vagabonde la mémoire. Et le regard change.
Il prend la consistance fragile d'une rencontre
Primordiale, troublée par ta profonde influence.
Moment essentiel d'où émane l'intense sensation.
Penser à toi m'apporte du bonheur. De la sérénité donc.
Et se murmure dans mes veines la paix enfin retrouvée.
P. MILIQUE
08:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, qualification, communiste, insoumis, appeler, reconstruire, politique, espoir, renouveau, jean-luc mélenchon, désaccord, créer, rassembler, volonté politique, majoritaire, rompre, élécteur, remplacer, diversité, progression
24/04/2017
CONCISION FRAGMENTAIRE 55
CONCISION FRAGMENTAIRE
55
Écrire un poème?
Mais il parlerait de quoi?
Ce ne serait qu'un tout petit poème
Qui ne parlerait que de toi!
P. MILIQUE
08:20 Publié dans CONCISIONS FRAGMENTAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, massacre, test, taliban, poutine, trump, corrida, guerre, confrontation, russie, pacifique, approbation, conférence, boite de pandore, respect, principe, otrine, crimée, frontalier, camper sur ses positions, dramatique, autorité, jean-luc mélenchon, intanginle, françois fillon, sanction, allemagne, aboutir, ruiner, changer de position, convaincre, désaffection
06/06/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "LE ROUGE EST DE RETOUR"
LE ROUGE EST DE RETOUR
Portrait de Jean-Luc Mélenchon
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
Certains apprennent leur histoire
Sur les bancs du lycée
Lui s’est trouvé sans crier gare
Enfant expatrié
Dans la dérive des continents
De la Méditerranée
Tout ce qui comptait pour lui avant
S’est soudain détaché
Il a compris à ses dépens
Que ce qui dépend de soi
Est profondément différent
De ce qui n’en dépend pas
Depuis sans relâche il agit
Sur ce qui dépend de lui
Si chacun en faisait autant
On serait tous présidents !
Il organise mai 68
A seize ans dans le Jura
Réveille l’animal politique
Et découvre sa voix
Les gens commencent à l’écouter
Il emporte le bal
En embrasant les assemblées
D’un verbe radical
Devenu leader étudiant
Prosélyte efficace
Il est Trotskyste quelque temps
Jusqu’à ce qu’un ange passe
Rassembler les forces à bâbord
Réaliser l’union
Tapez si vous êtes d’accord
Le 3615 TONTON
C’est quelque chose d’être sénateur
Il s’impressionne lui-même
Devenir ministre est un honneur
Pour le gosse des HLM
Toujours à gauche, oui mais de quoi ?
Il en perd son latin
Quand le coup de tonnerre s’abat
Il marche son chemin
Il a compris à ses dépens
Que ce qui dépend de soi
Est profondément différent
De ce qui n’en dépend pas
Depuis sans relâche il agit
Sur ce qui dépend de lui
Si chacun en faisait autant
On serait tous présidents !
Mais qu’est-ce que c’est l’opposition
Si on ne peut plus dire non ?
Comment un « NON » une fois traduit
Peut-il devenir un « OUI »?
A quoi servent les bancs publics
Si on ne parle plus d’amour ?
Une révolution chromatique :
Le rouge est de retour
(bis)
14:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, jean-luc mélenchon, damien robitaille, bancs du lycée, sans crier gare, enfant expatrié, la dérive des continents, se détacher, comprendre à ses dépends, différence, dépendre, sans relâche, président, jurer, animal politique, emporter le bal, embrasser, assemblée, verbe, radicaliser, leader étudiant, prosélytisme, efficacité, trotskyste, un ange passe, babord, rassembler les forces, réaliser l'union, sénateur, impressionner, ministère, honneur, gosse des hlm, perdre son latin, coup de tonnerre, cheminer, opposition, chromatique, révolution, amour, aimer
03/05/2013
GABRIELA MISTRAL : "ABSENCE"
GABRIELA MISTRAL
"ABSENCE"
Lu par Sylvia BERGE
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
23:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser, boire, danièle lebrun, redresseur de tort, bandit, péage
02/05/2013
GABRIELA MISTRAL : "BOIRE"
GABRIELA MISTRAL
"BOIRE"
Lu par DANIELE LEBRUN
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
23:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser, boire, danièle lebrun
GABRIELA MISTRAL : "ENFANT MEXICAIN"
GABRIELA MISTRAL
"ENFANT MEXICAIN"
LU PAR CECILE BRUNE
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
00:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser
30/04/2013
GABRIELA MISTRAL : "PAYSAGE DE PATAGONIE" -- "TROIS ARBRES"
GABRIELA MISTRAL
"PAYSAGE DE PATAGONIE"
"TROIS ARBRES"
Lu par : Laurent NATRELLA
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
18:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser
13/01/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: " La lutte déclasse "
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Il a cru bon et utile de nous dire qu’il ne croit pas à la lutte des classes. Il n’y croit pas… il n’y a jamais cru… à la lutte des classes… à la lutte de tous contre tous… à la lutte de quelques uns contre quelques autres… à la lutte entre elle et lui.
Ce n’est pas très classe, venant de la part de quelqu’un qui prétend au rang de premier de la classe.et puis il doit tout de même savoir qu’on n’a pas besoin de voir pour être vu.
Il dit qu’il ne croit pas à la lutte des classes, mais il ne dit pas à quoi il ne croit pas: à la réalité de la lutte ou à la réalité de la classe.
Ministre du budget, il aura du mal à se défaire de l’une sans se défaire de l’autre.
Sérieux problème d’optique. Myopie et presbytie réunies. Puisque comme chacun le sait, l’évidence ce n’est pas ce qu’on voit de près… mais ce qu’on voit de loin…
Parce qu’elle s’impose à notre vue et aiguillonne notre vision.
Mais comme il n’y voit que du feu. On va essayer de corriger son point de vue.
La lutte des classes, pour ceux qui n’ont pas fait leurs classes, c’est la lutte entre ceux qui ont des intérêts à défendre et ceux qui ont surtout intérêt à se défendre. Plus prosaïquement, c’est la lutte entre possédants et dépossédés… qui constitue le fil rouge de toute histoire.
Les marxistes l’ont cru et continuent de croire à la raison économique comme seule raison pour expliquer et justifier la lutte.
Mais j’ai l’impression que la ligne de démarcation passe ailleurs…
Ce qui nous oppose en tant que classes, ce n’est pas seulement le pouvoir économique qui oppose les riches aux pauvres mais aussi et surtout le pouvoir symbolique.
Un petit exemple pour illustrer mon concept de lutte des classes : le différend entre les manifestants du 13 et les manifestants du 27 janvier.
Entre les pour et les contre “le mariage pour tous”, il y a une lutte réelle et symbolique.
16:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, " la lutte des classes, 58% des français, affaire cahuzac, club médiapart, démission du ministre, des mots et des choses, économique et symbolique, front de gauche, je n'y ai jamais cru.", jean-luc mélenchon, jérôme cahuzac, lejournaldepersonne, lutte des classes, manifestation du 13 et 27 janvier, mariage pour tous, marxisme, ministre du budget, vous vous y croyez toujours. moi
01/11/2012
LE JOURNAL DE PERSONNE: "MISSION POSSIBLE"
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Et je vous rappelle à toutes fins utiles… Que si vous ou l’un de vos hommes tombent,
il n’y aura personne pour les relever et le Département d’État niera avoir eu connaissance de vos programmes d’exactions.
Bonne chance Personne …
13:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, crise de la dette, déclin de la france, dette de sens, françois hollande, harlem désir, incompétence et impuissance, jean-françois copé, jean-luc mélenchon, la france, la gauche est morte, laurent fabius, lejournaldepersonne, marine le pen, mission impossible, valérie trierweiler.
09/06/2012
LE JOURNAL DE PERSONNE: "NI DE PRES... NI DE LOIN..."
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté!
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/
Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Monsieur Deprès et Monsieur Deloin se disputent le pouvoir
Ils sont à égalité pour le moment : 50-50
Il va falloir que je tranche dans le vif du sujet pour les départager et octroyer à l’un ou à l’autre, le titre de Grand Monsieur.
14/05/2012
LE JOURNAL DE PERSONNE: "ROUGE BIAISE"
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté!
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/
Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Pour la France
Pour le sens de notre souffrance
Le bon sens n’est pas la bonne solution
Pour tous les capés, pour tous les rescapés
Le bon sens n’a aucun sens…
La Révolution n’a rien fait d’autre que changer la formule
Depuis 1789, rien de neuf.
Quelques vagues lyriques ou romantiques
Mais rien de nouveau sous le soleil de Satan!
Le poète, maudit depuis, préconisait le bouleversement de tous les sens…
L’errance plutôt que la gouvernance…
Ô France, lui dit-il, rends moi ma part d’insouciance
Ma légèreté, ma volupté, ma liberté.
Si tu ne changes pas, je t’échangerai
Si tu ne me suis pas, je t’abandonnerai
À ton ciel gris et à ton air aigri
Car c’est maintenant l’heure du grand bouleversement!
Bouleversement des mœurs et des leurres
Pour exiger de nous-mêmes un tout autre bonheur.
Une autre mentalité, une autre sentimentalité.
Construisons d’autres mots
Pas pour y habiter mais pour y cohabiter
Et d’autres cieux
Pour ne plus rien y dissimuler.
Car nous n’en voulons plus
De cette constitution, de cette morale, de cette religion
Qui ignore que chacun est son propre Dieu.
01/05/2012
LE JOURNAL DE PERSONNE: "OUI,MAIS..."
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse... Al'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté!
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/
Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Je suis une femme sans travail
Donc je ne suis pas très bien placée pour parler des femmes, du travail des femmes le jour de la fête du travail, la fête du vrai travail…
je veux dire la vraie fête du travail…
11:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, fête du travail, jean-luc mélenchon, jeanne d'arc, lejournaldepersonne, marine le pen, premier mai, sarkozy et la vraie fête, sarkozy et le "vrai" travail, syndicats, tri yann, leader de la cgt, trocadéro, arcelor mital, en tête du cortège, avignon, nevers, pierre bérégovoypolémiques, faux et usage de faux