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11/05/2012

Juliette VALDURIEZ: "Master of Puppets One Cover" (METALLICA)

Juliette VALDURIEZ: "Master of Puppets One Cover" (METALLICA)

 

Lorsque le talent et le charme se conjuguent...
CHAMPAGNE !

Discours d'Albert LEBRUN à MONTELIMAR

Discours d'Albert LEBRUN à MONTELIMAR

 

 

A l'issue de son premier septennat, le président de la république Albert LEBRUN prononce un discours à Montélimar, après l'inauguration du monument à la mémoire d'Emile Loubet, ancien président. Après l'évocation gourmande de souvenirs agréables liés à la région Sud Ouest, notamment Lyon, l'Isère, la Savoie, Annecy, puis un louange de Montélimar et de son nougat, "fruit délicat des abeilles de vos ruches", il invoque la mémoire d'Emile Loubet. Il appelle en ces heures difficiles à soutenir la politique extérieure et intérieure du gouvernement. Il conclut en portant des toasts en l'honneur de la famille Loubet, de Montélimar, de la Drôme, de la France et de la république. Enregistré en public, ce discours est ponctué d'applaudissements et de bruits de foule.

POUSSIERE EN SURSIS

POUSSIERE.jpeg

 

 

POUSSIERE EN SURSIS

 

 

Le vie sur terre est un combat majeur

 

Aux frontières mouvantes.

 

Mais à toujours écorcher davantage

 

La pierre à grands coups de fougue et de vitalité,

 

Jaillit plus encore l’évidence de l’effrayante réalité:

 

Nous ne sommes jusqu’à preuve du contraire

 

Que poussière en sursis.

 

Alors, on se heurte, haineux,

 

A l’énigme de l’absurde.

 

 

P. MILIQUE

10/05/2012

DEPOUILLEMENT: L'ascension de François HOLLANDE

DEPOUILLEMENT:

L'ascension de François HOLLANDE (2’08’’)


« Jean-Luc Mélansson, Marine Le Pain »


A Saint-Germain de Calberte, petit village cévenol de 500 âmes sur le chemin de Stevenson, on connaît les parcours difficiles. Des primaires socialistes à l'élection présidentielle, chronique d'une victoire, scansion d'une ascension...

Enregistrements : 9 et 16 octobre 11, 22 avril et 6 mai 12
Mise en ondes : Arnaud Forest
Réalisation : Daniel Martin-Borret

LE JOURNAL DE PERSONNE: "DRAPEE DE NOIR"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


Ciel, injuste ciel, à part la justice
Que pouvions-nous étreindre ?
Camarades, irons-nous jusqu’à l’étreinte ?
Non nous n’allons pas nous disputer l’heure
Ni mettre du jour au lendemain fin à nos malheurs
Néanmoins… je ne vous sens pas assez indignés
Pour que les choses soient enfin nommées :
LA DIGNITÉ , LA DÉCENCE , LE DÉSINTÉRÊT
Où sont-ils passés ?
Nos grâces et disgrâces se sont-elles aussi envolées ?
Parce que je ne vous entends plus hurler
De la République à la Bastille
Des Ardennes aux Antilles
Poussé le même cri : olé ! olé ! olé !
Assez ! c’en est assez de feuilleter le passé
C’en est assez… pour nous autres offensés
Français sans être français
De la pénombre, nous nous sommes lassés
Nous sommes les libres enfants de la lumière
Grands guerriers, petites guerrières
Qui ne veulent pas de ce traité de paix
Signé par des hommes fatigués
De faire l’amour et ne pas aimer le fer !
Nous n’avons plus envie de vivre
D’autre vie que celle qui nous fait envie…

L'IMPOSSIBLE DU RÊVE

 

SILHOUETTE.jpg

 

L'IMPOSSIBLE DU RÊVE

 

 

La tragédie douce-amère du pêché et la difficulté d'être

L'aidant à clamer sa non-appartenance à l'espèce humaine

Il s'éprouve enfin soulagé de cette solitude imposée

Au cœur de la douleur, du vieillissement et de la maladie.

 

La confusion et le chaos règnent désormais en maîtres,

Au refuge d'une mémoire qui subit la dureté du temps,

Parce que trop confrontées à la désillusion et à la mort.

 

Malgré l'ultime illusion séduisante de rebonds de vie,

Fouetté à vif par de froides rafales de vent gris,

Il se recroqueville dans l’effacé d'une silhouette connue,

Trace d'ombre crayeuse crissant à l'infini du ciel.

 

Le cadeau possible d'un rêve se fait toujours trop attendre...

 

P. MILIQUE

09/05/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE 14 "EVALUONS LE QUOTIENT INTELLECTUEL DE BEETHOVEN

 

Evaluons le quotient intellectuel de Beethoven


La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède - 26/03/1983 - 01min20s

 

Pierre DESPROGES demontre que Beethoven n'était pas sourd, mais idiot.

 

 

Production

Agence, Paris : France 3


Générique

Fournier, Jean Louis
Desproges, Pierre
 

Déclaration de Léon BLUM: La victoire du Front populaire

 

Déclaration de Léon BLUM: La victoire du Front populaire

 

Discours de Léon BLUM prononcé à Narbonne le 14 juillet 1936. Il s'y exprime sur la victoire du Front populaire en mai 1936. Cette victoire est celle des travailleurs et des républicains ; il rappelle comment les travailleurs ont fondé trois fois la république au fil de l'histoire de France, et leur attachement égal à la patrie. Il explique que le Front populaire défendra la République, pour préserver la tradition révolutionnaire. (peu audible) Avertissement : Ce document enregistré de 1936 enregistré en public est de qualité médiocre, mais reste audible.

JE DENONCE 20

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Je dénonce

Les Hommes

De s'appliquer sans talent,

A ne toujours laisser

Les oeuvres qu'inachevées.

08/05/2012

LES BODIN'S: "LES BODIN'S ET DOCTEUR MARIA"


Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins .

LES BODIN'S: "LES BODIN'S ET DOCTEUR MARIA"

 

Après la chute de Christian du haut de la fromagerie, docteur Maria passe à l'action et son fils passe sur le billard.

LE JOURNAL DE PERSONNE: "PASSION TRISTE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse... Al'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


J’enterre mon chagrin… il n’est plus. Il est décédé.
Maintenant, je sais… je ne serais plus triste… jamais!

Je n’aime pas cette campagne électorale. Parce que je n’aime pas les signes ostentatoires de débilité mentale. Je décline en mon âme et conscience toutes les offres mirifiques de tous les candidats à une demande que personne n’a encore réussi à formuler.
Pas besoin d’ego démesuré pour battre la mesure. Ni de pantins déguisés pour nous initier le sens de la démesure.
Pour eux, il s’agit de relever le défi de sa majesté le Moi, d’inscrire leur nom dans la mémoire des hommes qui resteront toujours anonymes.
Nous autres amnésiques, nous ne retenons pas tout. Fort heureusement. Parce que la prose du monde mérite d’être jetée aux orties.
Où sont donc passés ceux qui œuvrent et se mettent en œuvre ?
Où sont donc passés les philosophes, les poètes, les vrais romanciers?
Non ceux qui boitent et déboitent, qui possèdent et dépossèdent, qui gèrent et sont aux affaires… mais ceux qui créent.
Où sont donc passés les créateurs?
Ceux qui rendent possible le libre jeu de l’imagination car les créateurs ne sont pas électeurs mais électrons libres.
Ils ne sont et ne seront jamais les élus du peuple et n’y prétendent pas. Ils ne favorisent personne et ne valorisent que leur propre talent, celui qui consiste à créer du neuf en faisant table rase de tous les châteaux bâtis sur le sable.
Oui nous avons un besoin urgent de nouvelles tables de valeurs. Un nouveau bien, un nouveau mal…. d’une toute autre laideur et d’une toute autre beauté… d’un nouveau sens du juste et de l’injuste… oui nous avons besoin de créateurs qui font et feront signe vers les hauteurs… pour nous dire qu’enfin, il y a du nouveau sous le soleil. Une vie qui va au-delà de la vie. Un moi qui va au-delà de moi-même!

TRISTESSE

TRISTESSE.jpeg

 

 

TRISTESSE

 

 

Un nuage est passé et tout a obscurci.

 

Désormais il pleut, il fait froid, le vent souffle, le ciel est gris.

 

Et l’on s’éprouve vulnérable de mélancolie et de vague à l’âme.

 

 

Nous vivons au centre même d’un temps morose

 

Qui annihile jusqu’à l’envie de bouger.

 

Il est devenu impossible de mêler l’éclat de nos rires

 

Aux chaudes larmes de nos délires.

 

Le spleen s’est abattu au vif des états d’âme

 

Obligeant à rester là, terré au creux de son lit,

 

A façonner l’amertume en perles de dégoût,

 

A errer dans un champs de ruines amères

 

Disposées en mode survie

 

Dans laquelle la rage éprouvée envahit tout.

 

 

Parfois la tristesse est une enfant

 

Qui, en descendant sur l’esprit, se pose comme la nuit.

 

Ou alors, redondante voyageuse solitaire,

 

Elle s’affirme telle l’ultime fleur

 

D’un vieil arbre décharné et agonisant.

 

 

Un long chemin de pluie sous un immense ciel gris

 

Sur lequel la tristesse flâne, nonchalante.

 

On a beau aimer entendre la nuit tomber,

 

Le froid et l’humidité ralentissent tout de même nos envies.

 

 

Et l’on tangue, désarticulé, au roulis du chagrin

 

Qui est en nous telle une barque qui flotte

 

Toute en ondulations chevauchant les remous.

 

Ce faisant, le moral lui aussi est à la pluie et à la brume

 

Et la tristesse semble prendre un malin plaisir

 

A toujours se déposer sur les points déjà sensibles

 

Et, lorsque l’on est accablé, on ne voit plus bien sûr

 

Que la face lasse et sombre de chaque chose.

 

Après la pluie vient le beau temps assure-t-on!

 

Cela tombe bien, demain est un autre jour.

 

Joie prévisible de l’alternance.

 

D’ailleurs, tout n’était sûrement que de la fatigue…

 

Une petite lueur existe toujours lorsque la déprime se déploie

 

Et profite de l’occurrence pour faire de cette tristesse

 

Un pont insoupçonné autorisant à l’autre rive

 

Et à certaines réalités de prime abord opposées,

 

De tout de même cohabiter sur les vagues d’opiniâtreté.

 

 

Faisant fi des préoccupations de chacun,

 

Il convient alors de s’autoriser à lâcher les armes.

 

Finie l’oppressante contrainte des nostalgies!

 

Le temps est venu de prendre le taureau par les cornes

 

Et de s’appliquer, chaque jour, à relever la tête

 

En appréciant les instants de joie nouvelle

 

Qui maintenant émergent et renvoient au sourire intérieur.

 

 

Mais après la pluie … le soleil, l’espoir, la vie enfin !

 

 

Intégrant les souvenirs d’un passé en voie de disparition,

 

La nuit s’éclipse peu à peu au profit du soleil.

 

Les larmes s’écoulent, douces et brûlantes,

 

Emportant au plus loin le chagrin, jusqu’à ce qu’il se dissipe.

 

Comme les oiseaux migrateurs enfin de retour,

 

Le jour se lève et les premières lueurs de l’astre apparaissent

 

Dans le lit d’ombre où sommeillait la lumière.

 

 

Un nouvel état plus serein émerge, rayonnant,

 

Apportant soulagement et douceur dans un écrin d’harmonie.

 

La tristesse… c’est la vie pense-t-on !

 

Cependant, il est utile de savoir qu’elle n’aime pas trop être dérangée.

 

A cause de cela, encourageons sans retenue chacune des volontés

 

Incitant à l’envi l’inconscient de songes illuminés.

 

 

Chauds les cœurs camarades!

 

Est venu le temps de s’ouvrir en grand au bonheur de vivre

 

Et de prendre le temps d’écouter chaque pulsation

 

Excédant l’absolu soleil des lendemains

 

Et de ramasser, indigné par leur chute,

 

Les feuilles mortes pour en étudier l’unique beauté.

 

 

P.  MILIQUE