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31/08/2013

LA BOÎTE A LETTRES: JEAN MOULIN A SA SOEUR

 

LA BOÎTE A LETTRES

JEAN MOULIN A SA SŒUR

03/08/2013

JE M'ACCUSE 31

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse d'avoir gâché

Chaque seconde de ma vie

A atendre l'ultime instant

Qui me verrait basculer

De la mort à la mort.

04/07/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 03/07/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

03/07/2013

27/11/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "L'AFGHANE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Non…ça ne se dit pas ?
Je voulais peut être dire isolée
Une afghane est toujours isolée
Même quand elle prend les armes
Et monte à l’assaut des envahisseurs
Elle le fait seule, même si elle combat
Au sein d’une armée…
Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise qui n’a pas été dit
Que l’Afghanistan est une terre de résistants
Qu’on ne tolère pas l’occupation
L’ingérence, toute étrangère intervention
Oui… nous sommes divisés, opposés, frères ennemis
On cherche à se descendre… c’est notre façon de se joindre au ciel…
Mais nous avons toujours reporté l’heure, de nous donner la mort pour combattre tous ceux qui voulaient s’en mêler… soviétiques … amerloques… et toutes les loques européennes
Nul n’entre ici… ou alors… nul n’en sort.
C’est un point de non-retour !
Quelle que soit la géométrie
Oui, nous sommes extrêmement… comment dire ? Extrêmes !
On aime les extrêmes
Les narcotrafiquants d’un côté et les talibans du même côté…
Que reste-t-il de l’autre côté ?
Ah ah ah !!!! Des cadavres à la pelle
L’opium… la culture du pavot
C’est pour affronter les riches… on n’y renoncera jamais
Le coran… par ici, c’est une sorte d’uranium… enrichi au fil du temps et qui ne va pas tarder à exploser à la figure de tous les continents…
Oui… je sais… vous reprocherez toujours aux Talibans d’avoir détruit les fameuses statues… les Buddha bar
Non, ce n’était pas du fanatisme… mais une espère de fatalisme
Ici… on n’a pas la mémoire du passé… mais la mémoire de l’avenir… on s’en fout de savoir d’où l’on vient… mais on veut toujours savoir où l’on va … et on le sait en général… puisque nous sommes toujours les premiers à allumer le feu et boom… plus de statues… tout le monde y tient… mais on ne tient pas au monde !
Ni vodka, ni coca cola… nous ne nous laisserons jamais contaminés…
Le coran et l’opium sont des instruments
Pour se payer la chose la plus précieuse au monde : la liberté …
Non… je n’avais pas le droit de t’accorder cette interview… alors tu sais ce qui te reste à faire ?
Non… tu ne le sais pas !
Tu tires ou je tire ?
Tu ne t’en tireras pas autrement!
Oui… j’étais peut-être sous le charme mais maintenant le charme est rompu
(Boom… et elle le descend)

Elle : je t’aime… mais je n’avais pas le droit de t’aimer…pédé!

28/02/2012

QUELQUES POEMES VENUS DE SYRIE: "LE CRI DES SUPPLICIES"

Le HuffPost a pris connaissance d'une série de poésies écrites dans un français remarquable, par une Syrienne qui a réussi à les faire parvenir en France. Nous lui conservons bien entendu son anonymat pour des raisons évidentes. Ce sont ces poèmes, d'une force poignante, qui sont reproduits ici .


LE CRI DES SUPPLICIES


Le cri des suppliciés hurlant sous la torture
Lacérait dans la nuit un silence résigné
Dans ce pays lointain l'hideuse dictature
Bâillonne encore les lèvres, enchaîne les poignets...

Le cri des suppliciés qui hurlent à la mort
Déchirait lancinant nos oreilles indignées
Et les larmes de rage m'emplissaient de remords
Et l'écume de haine me faisait trépigner...

Qui donc étaient ces hommes et quels étaient leurs crimes ?
Dénoncer le pouvoir, ses systèmes retors ?
Avaient-ils eu le cran de braver le régime ?
Ou simplement crié « LIBERTE » un peu fort ?

Où sont-ils à présent ? Croupissant dans les geôles ?
Cadavres, ossements, disparus sous la terre ?
Ou vivants mais muets gardant sur leurs épaules
Ces marques au fer rouge au profond de leur chair ?

Mais de quel droit un homme peut faire souffrir un homme ?
Au nom de quelle doctrine, de quelle divinité ?
Et tous ces tortionnaires pourraient-ils donc en somme
Prétendre encore aspirer à l'éternité ?

Alors serrant les poings pour calmer ma violence
Des confins de la nuit me reviennent encore
L'insupportable écho déchirant le silence
Le cri des suppliciés qui hurlent à la mort....

21/02/2012

CADAVRE SEXY: "Des filles se lâchent"

 

Cadavre sexy
Des filles se lâchent (3’50’’)
« J'étais déjà une sacrée coquine »


Un magnétophone, un dîner entre copines, un montage aiguisé pour un cadavre exquis de diverses premières fois (baiser, amour, fellation, sodomie, fiasco...) racontées par des jeunes femmes d'aujourd'hui. 

 

Enregistrement : 20 novembre 11
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Caroline Ruffault