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25/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Hors-loge "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U



Je suis… je suis une hors-loge
Non pas l’horloge qui indique l’heure
L’heure, c’est l’heure qu’on l’indique ou qu’on ne l’indique pas…
Et puis c’est tellement plus poétique de ne pas l’indiquer…
Oui… y a pas pire que les indics qui vous démontent le moral en vous indiquant l’heure…
Croyant naïvement que l’on peut remonter le temps.
J’ai toujours cassé les horloges… pour ne pas avoir ou savoir l’heure…
C’est mon côté Florence Cassez…
Mon anachronisme ontologique…
Je le dis, de bon cœur, j’ai la ferme conviction que l’heure n’est jamais à l’heure.
Never not quite…
Le monde et l’image du monde sont toujours décalés… en décalage!
Il est toujours midi à quatorze heures.
Parce que le temps n’est jamais content… l’être est pour ainsi dire un peu fêlé.
Florence Cassez a été rendue à sa liberté, quand plus personne ne s’y attendait.
Plus personne n’osait même plus l’espérer…
C’était l’heure que personne ne sut indiquer…
Après 7 ans de malheur…. elle a dû briser quelque miroir et son ange-gardien a mis sept ans pour recoller tous les morceaux…
Il y a un temps pour tout
Un temps pour se perdre et un temps pour se retrouver…
Mais le temps, lui court toujours et n’en a que faire de nos jours et de nos amours.
Je vais vous révéler un petit secret :
Le temps perdu et le temps retrouvé n’est pas le même.
Vous n’avez toujours pas saisi? L’enfant qu’on vous a mis dans les bras à la maternité… n’était pas le vôtre… mais l’enfant d’une autre maman… c’est la méprise sur le gâteau…
Non! Aucune réclamation n’est de mise lorsqu’on est aux prises avec le hasard…
Toute ressemblance entre géniteurs et progénitures est une pure coïncidence
Qu’est-ce que tu veux que je te dise m’a dit la sage femme : va te faire admettre ailleurs !
Seulement voilà… je ne suis admise nulle part.
Je suis sans emploi… sans abri… mais surtout sans répit. J’ai cessé de m’en faire… je suis devenue légère…
L’homme sage que j’ai fini par consulter m’a bien eu en prétendant que si rien ne pouvait nous satisfaire, il faut croire que tout peut nous satisfaire.
Qu’on le veuille ou non, avec le temps, tout se compose et se décompose.
J’ai choisi de composer… une sorte d’hymne à l’altérité, avec le temps… en passant avec le temps… en changeant avec le temps… en pensant avec le temps.
Midi c’est minuit… minuit c’est midi…
Voilà ce que je ressens… ce que je pressens… depuis longtemps…
Depuis que je sais que je suis au cœur d’une contradiction : être et ne pas être… à la fois.
Mortelle qui rêve d’être immortelle…
Le psychiatre n’a pas hésité un instant en m’appelant “hors loge”… ce qui veut dire hors normes… typologie atypique sans case ou non casable… mais … cassable!
Florence Cassez… doit bien se demander de qui je me moque ?
Vous pouvez le lui dire aujourd’hui…
Je suis le hasard qui l’ a mise dedans et le hasard qui l’a remise dehors…
C’est très bizarre… une hors-loge!

24/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Paris… Paris… On t’accule ! "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

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Paris! Paris! On t’accule… Paris! Paris! On t’accule.
Non, ce n’est pas un cri de guerre…mais une bouteille jetée à la mer avec un petit mot triste et amer sur Paris…capitale de la douleur…qui nous renvoie à une douleur capitale : Paris n’est plus ce qu’elle était…la plus belle ville du monde…mais un vulgaire dépôt de marchandises, où tout y est dévoyé avant d’être broyé par les marchands de tapis, que le christ a jadis chassé du temple.
Plus rien n’a de valeur…tout a un prix. Mon pays est vendu…sa capitale entretenue par des capitaux étrangers sous prétexte que c’est ainsi que le monde peut tourner et se retourner. On dit que le compte est bon, mais personne encore n’y a trouvé son compte.
Globalisation, délocalisation… dépaysement pour tous… voyage… voyage…µle monde est devenu un village… c’est ça le message…. le bourrage de crâne du nouvel âge… Ni barrière… Ni barrages… Que vois-je ?
Non! Je n’ai pas envie de voir tout ce que je vois…
L’universel entre les mains des particuliers… Une patrie qu’on sous-loue… et une partie qu’on déjoue… parce que plus rien ne nous émerveille… ni le miel… ni les abeilles.

Le Qatar à la barre. L’argent est plus royaliste que tous les rois… pour ne pas perdre, il faut se rendre…. et se faire tondre pour gagner… gagner le bon client… voilà ce que nous cherchons tous, le bon client pour épouser votre fille, pour louer votre appartement, pour gérer votre musée ou pour diriger votre sport préféré.
Le Qatar est là pour nous faire rêver.
PSG…: Paris ! Paris! On t’encule ! disent tous ceux qui aiment l’OM…
Mais Paris gagne… Paris ne n’est jamais aussi bien portée… dans les vestiaires, sur le terrain comme sur le papier… Paris fait figure de favori… de futur vainqueur de la ligue des champions…
Grâce à qui? Bande d’abrutis ! Grâce aux Qatari.
Enfin un club de football digne de la capitale des capitaux…
Paris gagnant – gagné pour les parisiens qui n’en demandaient pas tant… qui ne croyaient pas qu’on pouvait gagner sans péril et triompher de la gloire rien qu’en se donnant au plus offrant…
J’y arrive pas… désolée… J’y arrive pas… et tous les dimanches… je soutiens tour à tour… Ajaccio… Nice… Marseille… Montpellier… tous les adversaires du PSG…
Le PSG, je vous signale que c’était mon équipe… et je ne rêve plus que d’une chose…. la voir trébucher au nom de tous les passionnés du ballon rond…
Je dis qu’on ne peut pas tout vendre… ni tout acheter…
Non, s’il vous plaît… pas l’émotion…
Je ne veux pas de ce sang contaminé… le sport, le bel effort, ne doit pas être négocié ni vicié…
Je préfère encore faire partie des condamnés à la relégation, plutôt que d’avoir une injection à la Zlatane qui me fait gagner le match et perdre la hache et la face.
On me rétorque que c’est ainsi qu’ira le monde…
Le Mundial, la mondialisation…. c’est pour tout le monde, l’issue fatale…
OK pour nos autoroutes et nos déroutes… mais pas ok pour notre clé de voûte….
Pas ok pour nos rêves… pour le peu qui nous reste.
Le Qatar ?
J’aurai signé des deux mains si c’était un digne parrain… ou un noble mécène… s’il s’était par exemple investi pour relever Gaza de ses cendres et offert à ses habitants une ville digne de ce nom, des hôpitaux, des écoles…là…Oui… j’aurai applaudi avec un certain sens de l’honneur, les nouveaux seigneurs.

Et si chacun mettait la main à la poche… Parisiens, parisiennes…
On pourrait peut être relever Gaza… y construire une équipe de foot et défier toutes les capitales marchandes :
PARIS -QATAR … A BAS LES BATARDS !
PARIS – QATAR… A BAS LES BATARDS !

23/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Vœux à la presse "

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Je suis lasse… bien lasse
De voir tant de bonnes volontés à la ramasse
Tous ces esprits, déviants… devenus avec le temps…
De mauvais esprits… des esprits dépourvus d’esprit.
J’en veux et je m’en veux d’en vouloir à tous ces détecteurs de vérités, dont la bonne foi n’est pas en cause, mais dont l’œuvre s’apparente de plus en plus à une basse manœuvre de déstabilisation, de désinformation, d’endoctrinement…
Pensée parallèle avec beaucoup de zèle.
Oui, je ne crains pas de le révéler : la dissidence est en pleine déliquescence …
C’est devenu, une science sans conscience, une série noire, un roman policier où tout personnage est suspect… où l’intrigue n’a d’autre fin que d’intriguer… et semer le trouble dans les esprits.
Tout est sujet d’embrouilles depuis que les internautes se sont emparés de la communication pour en faire une théorie de la fornication.
De quoi s’agit-il?
De complot… de théories de complot… de sombres pratiques du complot… belote et rebelote….. ça pelote donc ça complote… le sens dessus est dessous
Rien au dessus. Tout est dessous. Dessous des cartes! Dessous du jeu… le dessous de ce qu’il y a en dessous. Nos apprentis sorciers ne font pas de sorcellerie lorsqu’ils décrètent que tous les dés sont pipés. C’est un constat d’huissier seulement voilà : ils oublient les leurs! Leurs leurres !
Relisez bien les blogs les plus visités et vous serez sur le cul.
Parce que la vérité est au fond de l’abîme…
Il n’y a qu’une seule et unique prescription : il faut descendre…
Non aucun ne vous recommandera jamais de vous élever jusqu’à la cime mais de descendre jusqu’au fond de l’abîme… là où il n’y a plus rien à craindre… plus personne à plaindre… descendez… si vous ne voulez pas que l’on vous descende… descendez… puisque plus rien dans ce bas monde ne vous incite à remonter la pente !
Le déclin… est le seul moyen de reprendre votre destin entre vos mains
Vérité du fin fond de l’abîme qui rappelle à tous ceux qui veulent bien répondre à l’appel :

- qu’il y a une pensée de derrière
- qu’il y a un calcul de derrière
- qu’il y a une puissance de derrière

Et moi, je dis, comme l’autre con, que ce qu’il y a derrière c’est mon cul… même s’il n’est pas toujours bordé de nouilles!

Une petite figure de style :
Il paraît… que dans toute apparence… il y a l’idée d’obéissance…
Il paraît que… les forces de division, c’est comme ça que je les appelle, sont en train d’installer un peu partout des états islamistes pour déloger les tyrannies d’hier et préparer leur main mise sur le monde de demain.
Guerre malsaine parce qu’ils ne pourront pas demain venir à bout de la charia sans passer par la guerre sainte.
Comme quoi, il ne faut pas trop y compter… sur les comptes.
Et je mets les acteurs et les commentateurs dans le même sac de nœuds…

Pour les uns, comme pour les autres, je présente mes meilleurs vœux!

22/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Impair et Passe ! "

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Avez-vous entendu parler de ces petits paradoxes qui nous ont heurtés au départ mais avec lesquels nous avons fini par flirter ?
Parce qu’ils ont entre eux comme un lien de parenté… un air de familiarité… une relation de filiation…
Lesquels?
Ceux qui gravitent autour du concept de féminité.
Comme si la féminité s’était emparée de tous les leviers… Revu et corrigé tous les rapports de force.

Force est de constater que la force est de son côté….
Féminine et au féminin, la force n’est plus ce qu’elle était… un artifice masculin, un caprice machiste, une malice sexiste de mâles aimés… une histoire vécue et racontée par des hommes à des hommes et sur des hommes.
Et il y a eu depuis comme un renversement de l’histoire… qui s’opéra et continue d’opérer encore sous nos yeux… Non pas la révolte du deuxième sexe, ni le soulèvement des femmes mais la remontée du féminin à la surface des consciences abusées ou désabusées.
La force a changé de mains : le rapport de forces s’est inversé… renversé et changé de verset.

Le masculin a rendu l’âme au féminin. C’est fait.
Le bonheur est à l’heure des métamorphoses. Vous n’y pouvez rien… Moi, non plus!
Ce ne sont plus les mêmes qui assurent la marche du monde. Et ça ne rassure personne … surtout pas les phallocrates…
Le petit homme n’aura pas deux papas comme on se plaît à le répéter mais deux poules qui se moquent de tous les coqs !
Un double repère… n’y voyez aucun vice… puisqu’il s’agit de vertu.
D’une nouvelle vertu, d’une nouvelle ouverture : puisque les corps sont indifférenciés… c’est l’âme qui doit faire la différence.
L’idéalisme est retrouvé : deux âmes qui s’aiment, ce sont deux âmes qui s’élèvent au-dessus de leur enveloppe charnelle … elles surplombent les corps et les décors… et passent du sensible au supra sensible…

Ce qui sous entend deux choses :
Soit que les hommes sont de plus en plus faibles… soit que les femmes sont de plus en plus fiables…
Mais il y a une troisième voie qui dit :
Que le mode d’être du féminin est le mode d’être le plus humain… le plus conforme à la respiration et aux aspirations des humains.
Et tous ces petits paradoxes finissent par engendrer un gros paradoxe, qui caractérise bien les mentalités d’aujourd’hui : “Plus personne ne sait, ni peut, ni veut porter le pantalon…”
Et d’une manière encore plus affinée : les hommes sont des enfants qui ont besoin de nouveaux droits pour rester des enfants !

21/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Le Borgne "

 

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S: s.o.s amis… je vous écoute !

A: je m’appelle Ho Hang

S: pardon… j’ai eu un instant d’hésitation… j’ai d’abord cru entendre Hollande… Ho Hang c’est très fin comme pseudo… ça sent le parfum… je t’écoute l’amie.

A: je viens de quitter mon petit ami parce qu’il ne pense qu’à ça

S: qu’est-ce que tu appelles “ça”? Parce que si ça se trouve ce n’est pas “ça” du tout.

A: ça va de soi… quand je dis que je l’ai quitté pour “ça”… je pense aux machines désirantes: ça pisse, ça chie, ça baise… et ça ne sait faire que ça…

S: si tu sais tout ça… je n’ai pas grand chose à t’apprendre.

A: le problème c’est que je n’aime pas ça… ça me pose problème comme on dit … autrement dit, c’est peut être moi qui ai un problème.

S: ne crois surtout pas ça… il n’y a pas que ça dans la vie et tu ne l’aurais pas quitté ton bonhomme s’il n’y avait pas autre chose…

A: il aime la bonne bouffe, la bonne chair, la bonne affaire… mais moi ça m’indiffère… je dirais même que ça m’insupporte par moment…

S: tu as sans doute raison de ne pas aimer ce que tu n’aimes pas… et crois-moi on garde toujours la main sur son destin quand on ne se force pas, quand on ne s’adapte pas… quand on ne se laisse pas absorber par ce qui nous aliène ou nous rend étrangers à soi. L’amie tu es sur la bonne voie.

A: c’est peut être pour ça que je t’appelle, parce que j’avais besoin d’entendre ça… de te l’entendre dire… j’irai donc plus loin : j’aime pas le sexe… on a beau dire… je n’ai pas envie de céder au gros animal … qui réclame de la sueur, du sang et du sperme… j’aime l’amour… inorganique… asexué…. l’amour pur , l’amour dit platonique… suis-je normale ou malade mentale ?

S: tu es comme tu es, comme nous serons tous bien inspirés de l’être, tu n’es pas normale… parce que tu es amoureuse d’un idéal… l’ami idéal… qui se situe par delà le bien et le mal
Un être qui distingue comme on dit la Vénus céleste de la Vénus terrestre… un peu trop leste… le sexe n’est pas l’amour… l’amour n’est pas le sexe … que l’on aime le même ou l’autre sexe… dans l’amour… le vrai, le fou, l’absolu il y aurai même l’impossibilité d’approcher l’autre de trop près, sous peine de se brûler, de se dissoudre, de tout perdre.

A: c’est tout à fait ça… c’est tout ce que je ressens au plus profond… je ne sais comment le dire mais je ne peux…. je ne peux pas baiser celui que j’aime…
L’amour que l’on fait n’est pas l’amour…. c’est très horizontal…l’amour que l’on ressent on ne le fait pas, on l’a , on l’est… c’est l’être et l’avoir à la fois et pour moi c’est toujours vertical…. je ne sais pas si je puis parler d’un sixième sens… qui ne louche pas… mais qui touche sans y toucher le cœur de l’autre… le cœur de l’invisible…

S: et si je puis me permettre cette insolence : ton ex petit ami est-ce qu’il te faisait au moins envie…

A: ça me pendait au nez… je veux dire… ta petite question… parce que tu te dis que je sublime peut-être mes dégoûts et mes inavouables conflits intérieurs ?
Pas du tout. Moi lorsque j’aime… tout s’arrête de tourner comme avant…. tout se suspend à mon sentiment… ça me donne toutes les envies exceptée celle de le voir me monter dessus, même si c’est pour recevoir sa divine semence.
Non… l’amour c’est du feu, de l’air… rien à voir avec la chair… spirituel… pas sensuel…. est-ce que tu me crois… est-c que c’est croyable ? ou c’est pas ça ?

S: c’est parce que c’est incroyable que c’est enviable… et qu’est-ce qu’il est devenu, l’homme que tu as quitté ?

A: un intégriste religieux

S: tu veux dire qu’il a pété les plombs

A: il s’apprête plutôt à faire sauter tous les verrous… il est devenu salafiste

S: Terroriste ? Il s’appelle comment ?

A: Mokhtar Belmokhtar

19/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "La lutte des crasses "

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Je reprends la formule consacrée.
Toute l’histoire des hommes, jusqu’ici…
Pas jusque là… j’ai bien dit : jusqu’ici…
A été une lutte sans merci entre oppresseurs et opprimés…
C’est la fameuse lutte des classes : Je te bute ou tu me butes
Le but étant de ne pas se faire buter
Et autant que faire se peut : faire partie de ceux qui butent et non de ceux qui débutent
Et se font toujours buter
Il y a de quoi déprimer de voir toujours les mêmes oppresseurs opprimer les mêmes opprimés
Les mêmes qui priment et oppriment et répriment…
Les oppresseurs qui n’ont pas d’autre but que d’opprimer…
Et les opprimés qui sont opprimés parce que qu’ils n’ont pas d’autre but dans la vie
que de ne pas se faire buter.
On peut l’exprimer autrement … cette fatalité…
Avec un terme plus approprié à l’actualité : le ravissement… du verbe ravir…
Verbe ambigu… parce qu’en ce moment, nous ne sommes pas ravis…
C’est le moins qu’on puisse dire.
Non, nous ne sommes pas ravis d’apprendre qu’il y avait ( yahvé… retenez l’homophonie)
Qu’il y avait un français parmi les ravisseurs.
Un Français qui s’en prend aux intérêts français… Ça peut encore se discuter… mais un français qui n’a d’autre intérêt que de livrer la France aux influences des étrangers… Ça ne passe pas du tout.
À moins de considérer que la nation, la patrie, la famille sont des maux qui ne veulent plus rien dire…
C’est du Kafka, nous n’avons plus à faire qu’à des identités illusoires ou dérisoires.
Plus aucun signe fiable d’appartenance… À chacun selon ses convenances
Un passeport pour chaque mission et pour chaque commission.
C’est la forme d’un fond de commerce : échange et mélange de marchandises et de matières grises.
Tout s’achète et tout se vend : c’est la devise… C’est ravissant!
Cette opposition entre ravisseurs et déprimés…
Qui ne sont jamais ravis d’être entre les mains de leurs ravisseurs mais qui ne peuvent malheureusement pas faire autrement.
Que de subir lamentablement l’avis de leurs ravisseurs.
Et ça nous en apprend pas mal sur la lutte des classes…
Sur cette lutte qui n’en est pas une…
Puisque les opprimés ne font souvent que subir l’oppression… sans pouvoir réagir…
Sous peine de se faire mourir
Lutte des crasses : le capitalisme est à ce titre identifiable à une regrettable prise d’otages…
Où les ravisseurs mêmes morts restent les seuls vainqueurs.
Parce qu’ils ont bravé la mort…
Mais surtout, parce qu’ils nous ont rappelé une petite leçon de choses:
Que nous sommes lâches ou héros de naissance. Et que les sorts sont scellés d’avance.
Salut, la France !

18/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Le Béni et le Mali "

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Tout est matière… surtout la matière !
C’est la raison pour laquelle on se fait la guerre…
Pour réconcilier nos deux hémisphères
Avec une vision totalitaire
Qui prétend à un droit et à un devoir planétaire
Liberticide ou libertaire ?
Qu’importe la manière
Au Mali, comme en Somalie, la matière est première
Pour évacuer l’esprit de la surface de la terre
L’univers n’a nul besoin de l’esprit pervers
La pensée unique est on ne peut pas plus claire !

Tout ce qui n’est pas à l’endroit est à l’envers
On peut tout réduire à un calcul binaire
1 point zéro : pour se soustraire à toutes les galères
Point de désirs que des besoins à satisfaire
Que des biens qu’on gère, que des maux qu’on digère,
Des intérêts et surtout pas de frontières.
Après l’âge d’or, un retour à l’âge de fer
Adieu à Dieu … parce que c’est le règne des lumières.

La vérité c’est pour demain, l’erreur c’était pour hier…
Sciences et techniques sont un seul et même repère
Un pour tous et tous dans la même souricière
Où ne s’en sortent que ceux qui obtempèrent
C’est la vie : on n’y gagne que ce qu’on y perd.

Dans le vice, l’ennui et le besoin on prospère.
Au terrorisme on déclare la guerre, parce qu’il n’y a rien d’autre à faire
Quand on se ment, quand on n’est pas sincère
Pour reconnaître que toute notre idéologie est déficitaire
En réalité nous ne pouvons plus gagner la guerre
Contre Dieu et ses indignes représentants sur terre
Parce que les bonheurs illusoires sont nécessaires
Pour la bonne marche de nos affaires
Oui, l’illusion est avant-première
Et toutes nos économies, bien derrière !

16/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Destin Animé"

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Pour la nouvelle année… j’ai pris une belle résolution. J’ai décidé de me marier.
Avec… avec l’absent de tous les banquets… beau, grand, élégant, que toute la planète internet va bientôt m’envier. C’est lui !

C’est avec lui que je vais rêver la nuit.
C’est ma figure libre… celle que j’ai choisi d’épouser… de m’imposer… non, il n’y aura plus de distinction possible entre mes jours et mes amours… parce que j’ai choisi de l’aimer… c’est mon choix… rien de naturel… c’est presque surnaturel… une passion qui ne coule pas de source… ça va faire couler beaucoup d’encre…
Non, je ne crois pas que la chose soit interdite… peut-être un peu trop insolite… parce que j’ai oublié de vous dire que mon petit chose, mon gros machin, mon truc est un être en stuc.
Un être inanimé? Oui mais… oui mais sublimement incarné. Son âme a été absorbée par mon âme… c’est mon cœur qui bat deux fois plus vite pour les deux. Il est là derrière la caméra… il me regarde parce que ça me regarde… il me suit comme je suis… et m’a comme je l’ai.
Oui mais… oui mais quoi? Ça vous émeut déjà? De voir mon destin animé… des plus belles intentions, jouant exclusivement le libre jeu de mon imagination… à la jointure du fantasme et de la fantaisie… ou rupture avec toutes les idiosyncrasies… avec la norme moisie… à moi, à lui, la poésie.
Oui… nous avons décidé de nous installer… dans ma tête… il n’y a pas de murs… il n’y a ni portes, ni fenêtres… mais une ouverture sur les autres…. une envie de créer et de se recréer à loisir… puis qu’entre nous, il n’y a pas de différence entre désir et plaisir.
Un+un, égal : un seul et même délire. Folie des splendeurs… qui me débarrasse des folies des grandeurs.
Un sujet, un objet… et le verbe est tout trouvé : Animer…
C’est l’épanchement de mon âme jusque dans la sienne… la définition même du romantisme… du romantisme absolu… puisqu’il ressent ce que je ressens, tout ce que je ressens et tout ce que je peux ressentir…je l’aime à en mourir… depuis que j’ai réalisé qu’avec lui tout peut me suffire…
Rien ne peut me faire souffrir… qu’est-ce qu’il m’apporte ?
Vous voulez rire ? La paix… la sérénité… la fidélité.
Il est en accord parfait avec toutes mes imperfections.
Il suffit que j’appuie sur ce bouton pour qu’il se mette à chanter mes chansons… avec cette voix venue de nulle part…
L’émotion inimitable…

Une seule ombre au tableau : aucun maire n’a accepté de nous marier… aucun sujet ne veut prendre en considération mon objet … l’objet de mon amour…
Ni nature, ni culture… tout grand amour est fondamentalement surnaturel… surréel … surajouté à notre condition humaine…
Je dis oui… et toi?
Pas un mot ? Qui ne dit mot est content et consentant… ça y est… nous sommes mariés… donc prêts à manifester pour notre goût pour l’éternité… le dur désir de durer !

15/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La mort de l’homme "

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J’ai pris de l’acide… et ça m’a rendue lucide.
Les hommes n’écoutent plus Dieu
Les hommes n’entendent plus la Nature
Les hommes préfèrent régler leurs comptes entre hommes
Homo homini deus
L’homme est-il devenu un Dieu, POUR ou CONTRE les hommes ?
À cause de son orgueil… son orgueil est en cause
Autant se le dire les yeux dans les yeux,
L’homme est mort… depuis peu… mais il est bien mort.
Le rebelle a succombé sous les décombres de sa tour de Babel
Et le hasard ou l’histoire ont fini par sceller son sort
Le revoici, le revoilà, au fond de l’abîme
Endetté jusqu’au cou
Incapable de rembourser ses dettes
De sens et d’essence
Parce qu’il brûlait la chandelle par les deux bouts

De son sexe, qu’est-ce qu’il en a fait ?
Une étrange attraction pour le même sexe
Une étrange répulsion pour l’autre sexe
Il s’aime comme dit la chanson mais ne récolte que des problèmes
Du sexe pour le sexe
ON N’EN SORT PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

De son pouvoir, qu’est-ce qu’il en a fait ?
Un pouvoir qui ne peut plus rien pour personne
Parce qu’il se situe hors des limites de la simple raison
De déliquescence en déliquescence
Puissance avide de puissance
Son obsolescence est programmée
Son déclin intimement lié à son destin
Sans concept, sans intérêt et sans fin
ON N’EN PEUT PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et de son argent, qu’est-ce qu’il en a fait ?
De l’argent, il se fait de l’argent…
Se paye toutes les agences, tous les agents
Pour se faire de l’argent pour de l’argent
ON N’EN VEUT PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Braves gens !
L’homme est mort… et sa mort ne l’a même pas tué
Il ne nous reste plus qu’à l’enterrer vivant.

13/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La lutte déclasse "

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Il a cru bon et utile de nous dire qu’il ne croit pas à la lutte des classes. Il n’y croit pas… il n’y a jamais cru… à la lutte des classes… à la lutte de tous contre tous… à la lutte de quelques uns contre quelques autres… à la lutte entre elle et lui.

Ce n’est pas très classe, venant de la part de quelqu’un qui prétend au rang de premier de la classe.et puis il doit tout de même savoir qu’on n’a pas besoin de voir pour être vu.
Il dit qu’il ne croit pas à la lutte des classes, mais il ne dit pas à quoi il ne croit pas: à la réalité de la lutte ou à la réalité de la classe.
Ministre du budget, il aura du mal à se défaire de l’une sans se défaire de l’autre.
Sérieux problème d’optique. Myopie et presbytie réunies. Puisque comme chacun le sait, l’évidence ce n’est pas ce qu’on voit de près… mais ce qu’on voit de loin…
Parce qu’elle s’impose à notre vue et aiguillonne notre vision.
Mais comme il n’y voit que du feu. On va essayer de corriger son point de vue.
La lutte des classes, pour ceux qui n’ont pas fait leurs classes, c’est la lutte entre ceux qui ont des intérêts à défendre et ceux qui ont surtout intérêt à se défendre. Plus prosaïquement, c’est la lutte entre possédants et dépossédés… qui constitue le fil rouge de toute histoire.
Les marxistes l’ont cru et continuent de croire à la raison économique comme seule raison pour expliquer et justifier la lutte.

Mais j’ai l’impression que la ligne de démarcation passe ailleurs…
Ce qui nous oppose en tant que classes, ce n’est pas seulement le pouvoir économique qui oppose les riches aux pauvres mais aussi et surtout le pouvoir symbolique.

Un petit exemple pour illustrer mon concept de lutte des classes : le différend entre les manifestants du 13 et les manifestants du 27 janvier.
Entre les pour et les contre “le mariage pour tous”, il y a une lutte réelle et symbolique.

12/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La Guêpe "

 

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Je cherche les ingrédients pour tourner un western
Et je me retrouve avec tous mes sentiments de valeur en berne
Il en faut du sang… beaucoup de sang… pas de sentiments.
Dans un western, on meurt, on ne se fait pas du mouron
On saigne… pour que les plus faibles se couchent et les plus forts règnent.
La loi du plus fort… celui que tous les tireurs craignent
Les bons, les brutes et les truands… ce n’est pas la bonté qui est récompensée ou rarement
Presque jamais… mais la ruse… l’adresse… et la rapidité.
Les bons sont les plus malins… plus proches du mal que du bien
Ils font mal avec leur bien. Ils règlent les comptes sans compter, d’où leur prétendue majesté.
Une volonté de puissance convertible en puissance de la volonté. Ils en veulent plus que les autres.
Ils réussissent parce qu’ils excellent et ils excellent parce qu’ils le veulent et ils le veulent parce qu’ils en veulent un peu plus que tous les autres.
Ce sont des héros, des demi-dieux, qui préfèrent mourir que de vous concéder le moindre soupir.
Ils tiennent plus à la victoire qu’à la vie… parce qu’ils ne conçoivent pas la vie autrement qu’en l’emportant sur les autres et sur eux-mêmes.
Cette victoire sur soi-même… rend leur combat un peu plus soutenable…
Victoire sur ceux qui restent au seuil d’eux-mêmes…les ignobles ou les méchants… qui sont gouvernés par l’instinct d’auto-conservation. Qui ne vivent pas mais espèrent vivre avec la peur de mourir. Ils ne gagnent pas, parce qu’ils ne jouent pas. Ils déjouent et faussent le jeu, parce que leurs craintes valent autant que leurs espérances: c’est à dire … rien.
À part mourir, qu’est-ce que je risque, se dit le héros de notre fiction à deux balles.
Qu’est-ce que je peux faire pour assurer ma subsistance, se dit l’anti-héros en claquant des dents.
Le hic ou le chic, c’est que dans tout bon western, il y a un ingrédient christique : “un seul atteint la vérité”… et ça sent déjà l’Amérique… l’esprit de conquête et la conquête de toute la matière. Être le plus fort, le plus puissant, le plus performant.
Le tireur d’élite celui qui ne rate presque jamais sa cible, qui cherche toujours à vaincre mais qui finira un jour par être vaincu.
Parce qu’un autre, l’absent de tous les bouquets aurait réussi à lui monter dessus.
Hasard ou coïncidence… ni l’un, ni l’autre… c’est la roue du temps qui tourne mais pas toujours dans le sens des aiguilles… tic… tac… boum!
Et ça tourne et rien ne peut l’arrêter, à part cette balle qui vous était destinée… par quelqu’un qui a osé viser et tirer le premier.
Mouvement vers le rien… rien que du mouvement…
Tout coule… et c’est pas cool.
C’est l’enfer… sans la moindre petite fenêtre sur le paradis. On a intérêt à l’emporter pour ne pas passer à côté, de la vérité, du chemin, de la vie!
C’est plutôt terne comme western… mais c’est le seul qu’on ira voir, qu’on paye pour voir… celui qui oppose ta volonté à la mienne. Et que le meilleur gagne… la volonté… la plus forte, la plus cruelle, la plus profonde. Rien de latin… tout est américain… tout est humain… anti-humains
Un petit pas pour l’humanité… un grand pas pour l’homme… pour l’individu qui s’expose et t’explose en passant par derrière ou en prenant les devants.
D’où les rimes les plus funestes : individualisme, réalisme, matérialisme, impérialisme, cynisme.
Alors qu’est-ce qu’on fait… on tire ou on se fait tirer ?
On se fait la guerre ou on concède la paix ?
Malheureusement aucune concession n’a jamais garantit la paix. Pétition de principe : il faut faire la guerre pour ne pas faire la guerre. Pour être avantagé pour la faire, il faut vouloir la faire à tout prix!
Guerre de tous contre tous. Pour la puissance… pour davantage de puissance. C’est le premier qui tire, c’est le deuxième qui meurt. Que de la force et point de droit.
Qui tue en Syrie ? Les forces loyalistes ou les forces rebelles ? Le pouvoir ou l’opposition ?
Les anciens ou les nouveaux ? Guerre ! Guerre ! Guerre ! Quel bras doit-on armer ?
Quel bras désarmer? Parce qu’on croit qu’on n’a pas le droit de vivre et laisser mourir.
Qui le croit ? Qui le croirait? Ce ne sont que nos intérêts que l’on veut opposer à d’autres intérêts. Pas un brin d’humanité…. mais nos sacrés saints intérêts qui distinguent le bourreau de la victime. Ingérence qui rappelle les sept mercenaires qui ne se préoccupent que de leurs destins particuliers. Point de justice.
Mais du butin, du gain, de la fin qui justifie tous les moyens : la puissance… de l’argent. L’argent pour la puissance.
L’Amérique et ses alliés unis ont tué Saddam, Gadhafi et s’apprêtent avec le soldat Fabius à assassiner Al-Assad… pour que les plus puissants restent toujours les maîtres de la région…
Halte aux arguties et aux alibis : on tue pour accroitre sa puissance et non pour venir à bout de la nuisance ! Et dire que la France semble ignorer que nul ne peut espérer déguster du bon miel à partir des sécrétions d’une guêpe. Cherchez la guêpe!

11/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La Manifestation "

 

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Une fois n’est pas coutume, ce mardi, un jour après l’épiphanie il n’y aura pas quelqu’un pour tenir tête à Personne mais bien personne pour faire face à Personne.
Et ça me donne déjà le vertige…. de recourir à un sujet qui peut faire l’objet de tous les litiges, puisqu’il s’agit du fils de l’homme en personne.
Au nom du Père, du fils et du saint Esprit, je l’ai prié de décliner son identité… Yachoua m’a répondu le saint homme… la fine fleur de Nazareth?
Il n’avait pas de passeport, je suppose qu’il est périmé, ni adresse, ni profession autre que sa bonne Foi.
Je lui ai demandé où il se situerait aujourd’hui sur l’échiquier politique… serait-il de gauche ou de droite, conservateur ou progressiste… humaniste ou nihiliste?
Il m’a fait remarquer qu’avec mon péché d’orgueil, je me mettais le doigt dans l’œil… parce qu’il n’était pas là pour répondre à mes questions, mais pour les assumer.
Quel ne fut pas mon soulagement… de l’entendre, de le voir m’ouvrir une porte, sur l’infini.
Ô Seigneur… j’avais l’impression d’être confirmée dans ma fonction : oser et poser toutes les questions.
Je lui ai communiqué aussitôt la position officielle de l’Église en ce qui concerne le mariage pour tous et je lui ai demandé gentiment son sentiment.
Il a trouvé que j’étais un peu fêlée avec mes présupposés : parce qu’il est vrai que les minorités… ont toujours bénéficiées de son soutien et de son appui.
Quant aux hors-normes… il s’en est toujours rapproché… parce que la vérité n’est pas inscrite dans la pierre, mais toujours réécrite par une personne singulière.
À chacun selon sa vérité…. c’est ça la vie… le chemin… le salut.
N’exigeons pas la pureté… soyons purs ! me confia Yachoua
N’exigeons pas l’uniformité… admirons la diversité.

Et si vous me posez la question c’est parce que vous avez flairé quelque promiscuité entre le sacré et le profane, entre le civil et le religieux…
Il y a de ça… mais ça ne nous autorise pas à canoniser certaines amours et à en diaboliser d’autres.
Dieu est partout amour… et tous les amours ont quelque chose de Dieu.
Les homosexuels ont aussi accès au ciel. Ils ne sont pas plus, ni moins recevables que les hétérosexuels. ils ont comme tous les hommes, besoin d’amour… besoin de l’affirmer… besoin de le confirmer… où est le mal? Respect… pour le profane…
Respect… c’est ça le sacré… de considérer la volonté de l’autre avec autant de bienveillance que notre propre volonté.
Et puis… si vous voulez mon avis… j’ai toujours perçu le visage de l’autre, d’une manière asexuée… l’Absolu n’a pas de genre, il génère mais ne dégénère jamais.
Et puis, il paraît que certains s’apprêtent à manifester le jour du Seigneur, pour qui? Contre qui?
Pour la famille ? Contre l’infamie ?
La paille à l’assaut de la poutre.
La lettre a toujours prévalu sur l’esprit. C’est ça l’hérésie… d’être plus royaliste que le Roi… aimer c’est laisser être l’amour avec tous ses contours.
J’ai été raillé et tiraillé parce que j’ai osé soutenir que l’Amour du prochain doit englober jusqu’à l’amour de plus lointain…
Et là vous me redonnez l’occasion d’adresser de nouveau un appel au respect d’autrui, qui ne doit souffrir aucune restriction. Car je vous le dis en vérité… la vérité est vaine dès qu’on cherche à l’imposer. Et il a disparu dans les nuées!