Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/07/2013

LE BALADEUR: LA JEUNE FILLE ET CLEAR THE AIR DE JACCO GARDNER

 

LE BALADEUR

LA JEUNE FILLE

ET

"CLEAR THE AIR"

DE

JACCO GARDNER

 

Julien Cernobori se baladait au bord de la Seine lorsqu'il a croisé une jeune fille aux cheveux noirs qui lisait sur un banc... Il lui a mis "Clear The Air" de Jacco Gardner entre les oreilles.

09/07/2013

LEO FERRE: "L'AFFICHE ROUGE" ET "L'ARMEE DU CRIME"

 

LEO FERRE

"L'AFFICHE ROUGE"

ET

"L'ARMEE DU CRIME"


A toutes celles et ceux qui un jour ont résisté

03/07/2013

LEO FERRE: "LES POETES"

 

LEO FERRE

"LES POETES"

 "Ce sont de drôles de types qui regardent les fleurs
Et qui voient dans leurs plis des sourires de femme
Les poètes"



Ce sont de drôles de types qui vivent de leur plume
Ou qui ne vivent pas c'est selon la saison
Ce sont de drôles de types qui traversent la brume
Avec des pas d'oiseaux sous l'aile des chansons

Leur âme est en carafe sous les ponts de la Seine
Leurs sous dans les bouquins qu'ils n'ont jamais vendus
Leur femme est quelque part au bout d'une rengaine
Qui nous parle d'amour et de fruit défendu

Ils mettent des couleurs sur le gris des pavés
Quand ils marchent dessus ils se croient sur la mer
Ils mettent des rubans autour de l'alphabet
Et sortent dans la rue leurs mots pour prendre l'air

Ils ont des chiens parfois compagnons de misère
Et qui lèchent leurs mains de plume et d'amitié
Avec dans le museau la fidèle lumière
Qui les conduit vers les pays d'absurdité

Ce sont de drôles de types qui regardent les fleurs
Et qui voient dans leurs plis des sourires de femme
Ce sont de drôles de types qui chantent le malheur
Sur les pianos du cœur et les violons de l'âme

Leurs bras tout déplumés se souviennent des ailes
Que la littérature accrochera plus tard
À leur spectre gelé au-dessus des poubelles
Où remourront leurs vers comme un effet de l'Art

Ils marchent dans l'azur la tête dans les villes
Et savent s'arrêter pour bénir les chevaux
Ils marchent dans l'horreur la tête dans des îles
Où n'abordent jamais les âmes des bourreaux

Ils ont des paradis que l'on dit d'artifice
Et l'on met en prison leurs quatrains de dix sous
Comme si l'on mettait aux fers un édifice
Sous prétexte que les bourgeois sont dans l'égout

12/06/2013

JUR (Captation Personnelle) AU "MAGIC MIRRORS"

 

JUR

 

(Captation Personnelle)

 

 

 

AU 

"MAGIC MIRRORS"

 

FESTIVAL ALORS... CHANTE!

 

MONTAUBAN

 

LE 8 MAI 2013


10/06/2013

CHARLES-BAPTISTE (Captation Personnelle) " BOUGE TES HANCHES "

 

CHARLES-BAPTISTE 

(Captation Personnelle)

 

" BOUGE TES HANCHES "

 

AU  "MAGIC MIRRORS"

FESTIVAL ALORS... CHANTE!

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013

05/06/2013

CHARLES-BAPTISTE (Captation Personnelle) " C'EST CETTE ANNÉE "

 

CHARLES-BAPTISTE 

(Captation Personnelle)

" C'EST CETTE ANNÉE "

 

AU  "MAGIC MIRRORS"

FESTIVAL ALORS... CHANTE!

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013

31/05/2013

JUR (CAPTATION PERSONNELLE) AU "MAGIC MIRRORS"

 

JUR

(CAPTATION PERSONNELLE)

AU

"MAGIC MIRRORS"

DÉCOUVERTES DU FESTIVAL ALORS... CHANTE!

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013

26/05/2013

JUR AU "MAGIC MIRRORS" DE MONTAUBAN

 

JUR

"MAGIC MIRRORS" 

AUX

DÉCOUVERTES

DU FESTIVAL ALORS... CHANTE!

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013

07/05/2012

PLUME REDOUTABLE

POETE.jpg

 

PLUME REDOUTABLE


Réfutant quelques accès de tempête intérieure

Accrochés aux crocs sanguinaires

De quelconques constats d’échecs,

 Cet esprit caustique et railleur

Se nourri de facéties savoureuses

Truffées de sous-entendus aux sourires mordants.

 

Il est ce concepteur d’écrits nouveaux et fructueux

Qui ne reculent devant aucune provocation langagière.

 

Incontestable styliste à la plume redoutable,

Cet humoriste efficace au talent incontestable,

Se fait touche à tout, narquois offrant

La libre propagation d’un sacré désordre.

 

Même dans la pagaille trompeuse des chroniques acérées,

Que personne ne s’y trompe,

De cet homme délicat à l’encre sang,

Des propos émerveillés font l’éloge suprême

Par favorables antiphrases réchauffées de lumière

A des textes fringants dévorés de plaisir

Au fil sans fausse note d’un rêve qui n’est pas.

 

P. MILIQUE