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Il y a 100 ans, la France était fière d’être une République.
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Nous allons quitter cette France de 1913 qui va bientôt basculer dans la guerre. Il me reste à vous dire sa fierté d’être une république. En août 1914 le député André Maginot rencontra dans le train un électeur de droite. Apprenant qu’il se rendait à Toul pour être mobilisé comme soldat de 2èm classe celui-ci s’exclama, la République c’est tout de même quelque chose….
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Si nous vivions en 1913, nous serions très surpris de la présence des militaires. On les voyait beaucoup. On voyait d’abord les casernes construites pour la plupart depuis 1871 elles étaient alors dans leur neuf et elles occupaient de la place, beaucoup de place...
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/Ou sur sa chaine Youtube: http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
L’orgueil 1
Depuis quand tu t’appelles l’orgueil?
L’orgueil2
Je ne m’appelle pas… ce sont toujours les autres qui m’appellent… l’orgueil
L’orgueil 1
Je ne t’apprendrais donc rien en te disant qu’il n’y a qu’un orgueil et un seul … “moi” si je puis dire
L’orgueil2
C’est ce que tu crois… tu étais peut être là avant mais j’ai toujours été devant… ici comme ailleurs
L’orgueil 1
Il y a comme qui dirait, une usurpation d’identité, de l’orgueil il ne peut y en avoir qu’un, sinon ce ne serait pas de l’orgueil
L’orgueil2
Conclusion : l’un des deux raconte des histoires. Croix de bois, croix de fer, celui qui ment va en enfer!
L’orgueil 1
Mon œil : puisque le vrai orgueil ne se reniera jamais. Et que le faux ne le concèdera jamais.
L’orgueil2
Il va donc falloir nous éprouver, nous mettre à l’épreuve
L’orgueil 1
Pas la peine: parce que l’orgueil le vrai préfère encore passer pour un faux, plutôt que d’être confronté contraint et forcé.
Donc je refuse de comparaître… comparaison n’est pas raison.
L’orgueil2
Mon pauvre orgueil ne l’entend pas de cette oreille, parce que le monde qui nous entoure ne nous donne guère le choix… il a besoin d’authentifier l’orgueil… rien que pour se rincer l’œil
L’orgueil 1
Je suis… je suis l’orgueil.
L’orgueil2
J’ai… j’ai de l’orgueil
L’orgueil 1
Donc tu ne l’es pas, ton être ce n’est pas ça
L’orgueil2
Je l’ai, tu ne l’as pas… l’être ne compte pas.
L’orgueil 1
Donc tu admets que tu n’es pas l’orgueil
L’orgueil2
J’admets que je l’ai et que tu ne l’as pas, sinon tu m’aurais lassé passer
L’orgueil 1
Je peux te retourner l’objection
L’orgueil2
C’est pour cette raison qu’on a intérêt à passer l’examen
L’orgueil 1
L’examen de notre existence ou l’examen de notre conscience ?
L’orgueil2
De notre erreur, de notre errance
L’orgueil 1
Nous n’aurons donc jamais de vacances!
L’orgueil2
L’épreuve consiste pour nous à identifier nos plus dignes représentants… ceux qui relayent le vrai et non le faux orgueil
L’orgueil 1
Je t’écoute
L’orgueil2
Fillon-Copé : lequel des deux est le bon VRP?
L’orgueil 1
Aucun des deux … pour les deux, je crois que c’est la vanité
L’orgueil2
Je partage : pas une once d’orgueil chez les deux … que de la cupidité
L’orgueil 1
Depardieu – Torreton ! C’est déjà un peu plus gros comme procès
L’orgueil2
Ni Depardieu Ni Torreton… C’est de la perversion… deux versions des “qu’en dira-t-on?”
L’orgueil 1
L’ego pour l’un, l’égalité pour l’autre sur fond d’incivilité et de déloyauté…C’est notre belle république privée de républicains. Les deux sont entrain de perdre la main…
Je te parie sur Dieu qu’on dira bientôt, que la République a tué Depardieu!
L’orgueil2
Dernier duel pour nous départager: Dieu ou l’homme?
L’orgueil 1
Mon orgueil ne les distingue pas
L’orgueil2
Mon orgueil au contraire les distingue de moi
Je ne me reconnais ni dans l’un… ni dans l’autre.
L’orgueil 1
Il ne nous reste plus qu’à consulter la machine
L’orgueil2
Alors le résultat des courses ?
L’orgueil 1
La machine dit que c’est mitigé
L’orgueil2
C’est à dire ?
L’orgueil 1
L’orgueil c’est toi quand c’est de l’arrogance… de la suffisance… de l’amour propre.
L’orgueil c’est moi quand c’est de la fierté… de la dignité… de l’amour de soi.
PAUL ELUARD, POETE FRANCAIS, RECU PAR LE PRESIDENT BENES
Non Utilisé
01/01/1946 - 22s
- Vues extérieures du Palais du président de la République à Prague - PP de Monsieur Paul ELUARD - VG du Président BENES et de Monsieur ELUARD prenant le café - (Plusieurs clichés).
A l'issue de son premier septennat, le président de la république Albert LEBRUN prononce un discours à Montélimar, après l'inauguration du monument à la mémoire d'Emile Loubet, ancien président. Après l'évocation gourmande de souvenirs agréables liés à la région Sud Ouest, notamment Lyon, l'Isère, la Savoie, Annecy, puis un louange de Montélimar et de son nougat, "fruit délicat des abeilles de vos ruches", il invoque la mémoire d'Emile Loubet. Il appelle en ces heures difficiles à soutenir la politique extérieure et intérieure du gouvernement. Il conclut en portant des toasts en l'honneur de la famille Loubet, de Montélimar, de la Drôme, de la France et de la république. Enregistré en public, ce discours est ponctué d'applaudissements et de bruits de foule.
Déclaration de Léon BLUM: La victoire du Front populaire
Discours de Léon BLUM prononcé à Narbonne le 14 juillet 1936. Il s'y exprime sur la victoire du Front populaire en mai 1936. Cette victoire est celle des travailleurs et des républicains ; il rappelle comment les travailleurs ont fondé trois fois la république au fil de l'histoire de France, et leur attachement égal à la patrie. Il explique que le Front populaire défendra la République, pour préserver la tradition révolutionnaire. (peu audible) Avertissement : Ce document enregistré de 1936 enregistré en public est de qualité médiocre, mais reste audible.
Le HuffPost a pris connaissance d'une série de poésies écrites dans un français remarquable, par une Syrienne qui a réussi à les faire parvenir en France. Nous lui conservons bien entendu son anonymat pour des raisons évidentes. Ce sont ces poèmes, d'une force poignante, qui sont reproduits ici.
Charade
Une charade sans scrupules Comme en guise d’épitaphe Pour un monstre, une crapule, Apparenté aux girafes …
Il était un militaire Qui n’allait pas au combat, Et pratiquait l’arbitraire, Le mensonge, les coups bas,
Il était un escogriffe Avec une voix de geignard Aiguisant ses longues griffes De rapace, de charognard,
Un grand dadais tout sourires -de la foule la risée- Cachant ses crocs de vampire Sous des airs civilisés,
Un président de fortune, Faisant à la Loi outrage Puisqu’il avait reçu une République en héritage !
(A son despote de père Au Châtiment condamné Des millions font UNE prière : « Que son âme soit damnée ! »)
Summum de l’absurdité : Pour des réformes il s’engage ! Et frappé de surdité Quand le peuple crie : DEGAGE !
Et toutes les marionnettes D’une Assemblée de fantoches Applaudissent, même quand il pète ! (lui qui mérite des taloches !)
Le combe du ridicule Pour un « ophtalmo-docteur » : Porter des œillères de mule, Etre un aveugle du cœur !!