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10/03/2017

ÉCLAT DE VIE AVORTÉE

au magma présent de l'écriture,

 

ÉCLAT DE VIE AVORTÉE



Il existe des textes qui font se dresser les poils du cœur
De leurs mots écorchés qui touchent leur cible et font mal.

La douleur est palpable, lourde du trop d'amour,
Qui saigne d'une âme se mourant de trop aimer.

J'en connais une, née d'un asphyxiant souvenir,
Que je m'efforce de ne surtout pas me rappeler,
Une qui devrait s'anéantir en point noir d'oubli,
Une sorte de fantôme d'instants de bonheur vif
Que je considérais déjà comme morts de froid
Dans l'absence diaphane de nos regards respectifs.

Et puis, mû par la sérénité de paroles utiles,
Le fantôme hésitant s'est risqué à récidiver,
Rescapé incertain d'un éclat de vie avortée,
Fragment d'existence pour toujours inachevé.


P. MILIQUE

06/11/2015

DANS LE SEL DE L'INSTANT

au magma présent de l'écriture,

 

DANS LE SEL DE L'INSTANT



Pourquoi perdre son temps à vivre dans l'angoisse,
S'obstiner à s'empêcher toute joie avant de mourir?

L'homme est un animal atypique au regard inquiet
Qui s'égare vers l'ailleurs quand le bonheur est là.

Pourquoi transgresser le temps au prétexte de l'éternité
Plutôt que d'en vivre chaque glanure comme le dernier?

Il faut être fou pour ne pas être ce sage qui éprouve
La présence indémontrable qui habite chaque chose.

Aimer muser et musarder au cœur de l'émotion brute
Des clairs de lune inspirés et des nuits d'été radieuses
Dans le miracle de banalité qu'est le ciel de l'instant.

Le voilà dans l'évocation hésitante d'une majesté
Dont il lui reste à se complaire d'être l'aquarelliste.

P. MILIQUE

10/10/2014

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

au magma présent de l'écriture,

 

 

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

 

Le combat fait rage jour et nuit.

Obscénité d'une toux sèche qui déchire

Une respiration qui peu à peu s'épuise.

 

Admirable de volonté malgré l'épuisement,

La jeune femme épouvantée, ivre de son mal,

S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.

 

Dans le cri du silence recouvert par le bruit,

L'énergie se perd et lui laisse si peu de forces

Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.

 

P. MILIQUE

27/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 19/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

19/02/2014

25/01/2014

EXTRAVAGANCES

PERSONNAGE INQUIETANT.jpg

 

EXTRAVAGANCES

 

Avec une étonnante capacité à se renouveler

De drôles de personnages incohérents passent et repassent

Dotés d’inquiétants pouvoirs paranormaux

Et porteurs de terrifiants et subliminaux messages

En provenance probable de l’infini.

 

Il serait de fait plus sage, et plus prudent,

D’ignorer jusqu'à leurs présences éthérées

Et de laisser à la postérité la tâche redoutable

D’exprimer différemment le désir exalté de penser le monde.

 

P. MILIQUE

10/12/2013

DÉFILÉ FESTIF PLACE DE LA CONSTITUTION MEXICO (MEXIQUE)


(Captation Personnelle)


DÉFILÉ FESTIF  

PLACE DE LA CONSTITUTION 

MEXICO

(MEXIQUE) 

LE 13 NOVEMBRE 2013

23/06/2013

Olivia RUIZ son Frère, son Père, MOUSS (ou HAKIM) et tant d'autres...


Olivia RUIZ   son Frère, son Père, MOUSS (ou HAKIM)

Et tant d'autres...

PLANETE  NOUGARO 

  ALBI

le 9 Juillet 2009

03/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "ABSENCE"

 

GABRIELA MISTRAL 

"ABSENCE"

Lu par Sylvia BERGE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

02/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "BOIRE"

GABRIELA MISTRAL 

"BOIRE"

Lu par DANIELE LEBRUN

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

GABRIELA MISTRAL : "ENFANT MEXICAIN"

 

GABRIELA MISTRAL 

"ENFANT MEXICAIN"

LU PAR CECILE BRUNE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

 

 

 

30/04/2013

GABRIELA MISTRAL : "PAYSAGE DE PATAGONIE" -- "TROIS ARBRES"

 

GABRIELA MISTRAL 

"PAYSAGE DE PATAGONIE" 

"TROIS ARBRES"

Lu par : Laurent NATRELLA

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

29/04/2013

GABRIEL MISTRAL : POEME DE L'ENFANT (II)

GABRIEL MISTRAL 

POEME DE L'ENFANT (II)

Lu par Sylvia BERGE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES