Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/09/2012

Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ Salle Nougaro de Toulouse le 2 Octobre 2010

 

.Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ  

Salle Nougaro de Toulouse

2 Octobre 2010

 

 Yves Jamait invite Daniel Fernandez.

Enfin, c'est ce que signale l'affichage qui présente l'événement. Formation intimiste aussi, est-il suggéré. Peut-être, mais tellement porteuse de chaleur communicative...

En tout cas sur scène, c’était bien le cas ce soir là!

Superbement entouré de Didier Grebot aux percussions, de Samuel Garcia à l’accordéon et bien évidemment, comme il est indiqué, de Daniel Fernandez à la guitare, l'instant Jamait était prometteur.  

La complicité évidente avec Fernandez est bien la colonne vertébrale de la prestation fournie sous la forme d'un judicieux assemblage de chansons, parmis les plus connues de Jamait, de celles de Daniel Fernandez, agrémenté de quelques notes d’humour bienvenus.

Yves et ses camarades nous a présenté ce soir-là un spectacle de grande et intense qualité.

02/09/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "COURS ELEMENTAIRE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté!

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/

  Ou sur sa chaine Youtube:

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 


Qu’est-ce que la désinformation?
Littéralement c’est la déformation de l’information.
Dans l’esprit : c’est une information tronquée faussée retouchée… avec l’intention de tromper, de manipuler l’auditeur ou le spectateur… ou le mateur amateur.
Non… pas la peine de consulter le dictionnaire, ni de faire appel à un spécialiste en matière de communication, il nous suffit de nous appliquer à réfléchir… à regarder de plus près comment on se fait avoir, en y étant pour quelque chose.
Je prends au hasard, ce qui tombe sous la main
- on a volé un nouveau-né dans un hôpital à Marseille.
Quoi? On a volé un bébé dans un hôpital à Marseille
Comment ? On ne le sait pas pour le moment, tout ce qu’on sait c’est qu’on n’a pas retrouvé le bébé …
On relate un fait. Une parole qui en dit suffisamment pour nous dispenser dans un premier temps de tout commentaire
Un fait est un fait : on a volé un bébé
Qu’est-ce que ça nous apprend ?
Entre autre qu’on peut aujourd’hui, demain vous enlever votre bébé
Un fait qui produit donc un effet immédiat l’identification… on lève la tête, on hoche la tête, on se prend la tête en se disant : dans quel monde nous vivons… même dans un hopital, nous sommes pas à l’abri du danger, celui de l’insécurité, qui frappe de plein fouet les plus démunis qui ne peuvent pas se payer la clinique d’à côté avec des infirmières mieux payées et donc plus vigilantes et plus compétentes.
Un fait est un fait, mais pas seulement, c’est surtout un fait relaté pour produire un effet, pour nous faire agir ou réagir… devant un problème de société… non, devant un problème éminemment politique… celui des moyens dont disposent nos hôpitaux inhospitaliers, donc alerte rouge : du côté du ministère de la santé…
Fait relaté pour nous sensibiliser sur un problème d’insécurité… on n’est plus en sécurité, nulle part, même dans un centre hospitalier…
Message adressé au ministère de l’intérieur… justice et police sont questionnées… comment y remédier t comment prévenir ce genre de méfait ?
Nous voici donc bien informés : on nous a relaté les faits et on nous a appris quelque chose sur nous-mêmes et sur notre société.
Cette information réduite à l’essentiel, pauvre en apparence est en réalité riche de sens…
Quad on y pense et quand on prend le temps d’y penser : elle contient au moins deux concepts :
- manque de moyens ( clin d’œil au ministre de la santé)
- insécurité galopante ( clin d’œil au ministre de l’intérieur)
Tout va… donc… mais pas bien et il était bon de le rappeler : on a volé un bébé une information sans concepts (neutre) qui s’avère comporter au moins deux présupposés : précarité (jusque dans l’hôpital public) et insécurité jusqu’à votre lit de mort.
Où commence la désinformation ?
Elle commence au moment où l’on tente de vous rajouter un petit supplément – un cod un complément d’objet pour vous orienter ou vous désorienter :
Un nouveau né a été volé dans un hôpital à Marseille pas loin d’un quartier d’immigrés.
Et l’on retrouve nos deux présupposés : manque de moyens et manque de sécurité mais avec un nouveau concept, un concept clé, qui va justifier les deux premiers : l’immigration.
Le bébé n’intéresse personne, mais l’immigration intéresse tout le monde.
Ce rajout ou cette déclinaison est très importante parce qu’elle ne se contente pas d’éclairer notre petite lanterne, elle nous indique non ce qui est fait mais ce qui nous reste à faire…
Faire payer le coupable … le responsable… de ce désastre social = notre politique d’immigration : trop d’immigrés… donc pas de sécurité.
Nous a t on informé ? Oui bien entendu…
Nous a t on désinformé ? Oui avec ce petit malentendu… puisque le lien entre le vol et la proximité du quartier des immigrés n’est pas encore avéré, n’a pas été prouvé, il est juste “présumé” supposé, soufflé sur le feu de … pour l’attiser.
Il y a désinformation parce qu’on relate non pas un fait mais ce qui dans le fait est susceptible de produire un effet, d’entretenir l’opinion sur ses vieux démons : nation, immigration néo-colonisation ….
On me dira alors que cela n’a rien de bien méchant… que c’est une désinformation bénigne et non maligne
Sauf que c’est la base sans laquelle il n’y a pas d’édifice : le journaliste, la télé, la presse, les médias et tout le quatrième pouvoir.
L’air de rien… c’est là le centre de gravité
On n’a pas relaté un fait… on a cherché un fait susceptible de produire l’effet que nous voulions produire sur l’opinion
C’est le prototype le plus simple et le plus fort de toute manipulation d’opinion
La question n’est plus de avoir : qu’est-ce qu’on nous raconte ? MAIS POURQUOI EST-CE QU’ON NOUS LE RACONTE ? après tout , le fait
non pour qu’on se fasse une opinion mais que notre opinion se fasse sans nous
C’est le premier palier de la désinformation il y en a d’autres
J’y reviendrai… si on ne me coupe pas d’ici là le sifflet !

Candy TRASH: « Plein de bonnes femmes dans ma tête »

 

Candy TRASH


Single : Candy Trash en studio (4’06’’)


« Plein de bonnes femmes dans ma tête »


Chanteuse et performeuse, Candy Trash incarne sur scène plusieurs rôles féminins : la femme-enfant, la femme-nichons, l'hôtesse de l'air... Seule en studio, sur le fil et sans filet, elle interprète un échantillon de ses personnages. Single : liberté totale à un(e) artiste pour la durée d'un 45-tours.

Enregistrement : 15 juin 06
Prise de son : Samuel Hirsch
Paroles & musique : Candy Trash

01/09/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "Je change les règles ! "

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté!

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/

  Ou sur sa chaine Youtube:

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


On ne peut changer les choses
À cause… et pour cause
Nous avons du mal à nous remettre en cause
On ne peut pas changer les choses
Dit l’agneau
Mais on peut changer les règles
Répond l’aigle
Changer les règles… changer les règles
Répond l’aigle
Sans baisser son petit œil
Devant le grand soleil
Il faut changer les règles
Pour retrouver l’aigle
Qui dévore en nous
Le loup et l’agneau

JE ME REPROCHE 23

REPROCHE.jpg

 

Je me reproche

D'être trop incapable

De me contenter de souvenirs

Merveilleusement simples et humains,

Et de ne vivre que d'aspirations

Objectivement antagonistes

Et pourtant indissolublement liées.

31/08/2012

MONTPARNASSE, L'ÂGE D'OR: L'après guerre : les américains à Montparnasse

 

MONTPARNASSE, L'ÂGE D'OR:

L'après guerre : les américains à Montparnasse

L'art et les hommes

18/03/1963 - 03min08s



Louis ARAGON et Sylvia BEACH parlent de la venue des écrivains américains à Paris après la première guerre mondiale.


Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Drot, Jean Marie

 

Aragon, Louis ; Beach, Sylvia

LE MOT MENT

MENSONGE.jpg

 

LE MOT MENT

 

Qu'il dise à l'exact l'occasion momentanée

Dans la vive brutalité de la chose offerte

Comme autant de bribes d'abrupte réalité

Aux complots de hasard porteurs d'ombres...

 

Qu'il confirme l'humaine contradiction des êtres

Générateurs d'ancrages tragiques à l'exquise cruauté,

Ou qu'il évoque les suaves libertés d'un plaisir trivial...

 

Qu'il affiche réminiscences et assemblages troublants

Avec, sous les pas nocturnes du poète nimbé d'éther,

Des impulsions confuses aux allures de chant d'amour

Dans l'exactitude concrète de ce surgissement assourdi,

Le certain confirme qu'à chaque moment, le mot ment!

 

P. MILIQUE

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "Maîtrisons un escargot forcené".

 

MAÎTRISONS UN ESCARGOT FORCENE

La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède

14/12/1982 - 01min41s


Seul un toreador espagnol peut maîtriser un escargot francophobe.


Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre

30/08/2012

LES DUOS CELEBRES: SHEILA et RINGO " Les gondoles à Venise"

 

SHEILA et RINGO

" Les gondoles à Venise"

28/04/1973 - 04min00s


 

En duo, SHEILA et RINGO chantent " les gondoles à Venise".

 

 

Production

Antenne 2
Générique
Lion, Bernard
Ringo ; Sheila

LE FILS

LA MORT.jpeg

 

LE FILS

 

Le fils est présent sur la crête acérée

Des tiraillements énervés entre rester et partir.

 

Conversations muettes,

Jeux d'ombres et de masques,

Jusqu'à ce que le regard et la parole se libèrent.

 

Le père alors tente de se rapprocher peu à peu

De ce fils chéri et personnage lumineux,

Provoquant ainsi la beauté de la réalité de l'instant

Qui affirme avec force la certitude avérée

D'une vie qui s'affirme enfin d'un éclair au présent.

 

Désormais en état d'ignorance brute d'un signe révélateur,

Il se confirme donc, dans l'aveuglante évidence initiée,

Qu'il ne saurait plus avoir de pulsions possible en son absence.

 

Dès lors, il n'espère plus que de pouvoir partir en silence

Jusqu'à ce monde de ténèbres inconnues et séductrices

D'où l'on ne ressent plus jamais rien d'inutilement terrestre

Hormis peut-être cet appréciable et ankylosant froid intérieur

Qui peu à peu, vaguement étonné, se change en douceur libératrice.

 

P. MILIQUE

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "La maréchaussée en folie: des gendarmes pas comme les autres ".


LA MARECHAUSSEE EN FOLIE:

des gendarmes pas comme les autres


Avant le spectacle Grandeur Nature des Bodin's, la maréchaussée veille sur les spectateurs et sur nos routes de campagnes.

Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins

29/08/2012

SUR LES TRACES DE MONTMARTRE: " LES VENDANGES A MONTMARTRE ET 2 BOUTEILLES DESTINEES A TRUMAN ET STALINE"

 

LES VENDANGES A MONTMARTRE ET 2 BOUTEILLES DESTINEES A TRUMAN ET STALINE

JT 20H - 19/10/1950 - 01min38s


VG la rue NORVINS et le dôme du Sacré-coeur / VG façade du restaurant "la bonne franquette" / à l'intérieur du restaurant, deux jeunes et belles femme déversent le raisin sur le tapis, relèvent leur robe et le foulent / VG et PA, PA inversé, GP, les deux femme en action / VG elles versent le jus dans la bouteille / on bouche / GP étiquette où TRUMAN et STALINE trinquent.


Production

RADIODIFFUSION TELEVISION FRANCAISE


Générique

Loursais, Claude