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03/09/2015

FLEUR DE VIE

au magma présent de l'écriture,

 

FLEUR DE VIE



L'Amour est certainement le pays qui nous connaissons le plus mal.
La vie menée, trépidante et singulière, y est bien sûr pour beaucoup.
Cependant, il est des besoins fondamentaux qui exigent, en vis à vis,
A partager la multiplicité des regards, des attentions et des gestes.

Tout est de l'ordre du chaud, du soyeux et du tendre, et se joue,
Au final, dans l'intimité subtile des émois et des sentiments vécus.

Vient un jour le temps d'entrer dans l'aventure la plus extraordinaire qui soit.
Moment clef où s'emprunte la voie royale vers l'étonnante perspective proche
Dans laquelle se dépose un peu de chacun dans l'élégante fleur de vie à venir.

P. MILIQUE

29/03/2014

DERNIÈRES PAGES AVANT LA NUIT: NELSON MONFORT

 

DERNIÈRES PAGES AVANT LA NUIT

  NELSON MONFORT

 

 

Ça n'étonnera personne, Nelson Monfort lit en version originale. En Anglais. En Espagnol. Mais pas en Russe, il le regrette d'ailleurs, car le journaliste est un grand admirateur de la littérature russe : Dostoïevski, Pouchkine.  

Récemment, il s'est plongé dans 'These few precious days : the final year of Jack with Jackie'. Le journaliste américain Christopher Andersen y évoque les derniers mois du couple Kennedy, avant l'assassinat du Président JFK, il y a bientôt 50 ans.

Nelson Monfort reconnaît qu'il ne lit pas trop les grands succès de librairie : "j'ai un peu de mal quand je vois des centaines d'exemplaires du même livre sur une plage : j'ai tendance à penser que la prose sent l'ambre solaire." 

25/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME DONT LE VOISIN ÉTAIT PARANO"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME DONT LE VOISIN ÉTAIT PARANO"

22/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME SÉROPOSITIVE QUI VOULAIT AVOIR UN ENFANT "

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME SÉROPOSITIVE QUI VOULAIT AVOIR UN ENFANT "

20/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FILLE QUI VOULAIT ARRÊTER DE FUMER DES JOINTS "

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE:

"LA FILLE QUI VOULAIT ARRÊTER DE FUMER DES JOINTS "

18/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI AVAIT ÉTÉ GARDER A VUE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI AVAIT ÉTÉ GARDER A VUE"

18/05/2013

ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " NOUS SOMMES EN FILE… "


ROBERTO JUARROZ


POESIE VERTICALE

" NOUS SOMMES EN FILE… "

Lu par Chistian BLANC


 

Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989

Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER

 

« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz  explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.

Philippe GARNIER

 

Extraits choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

17/05/2013

ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."

 

ROBERTO JUARROZ

  "POESIE VERTICALE"

" IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."

Lu par Coraly ZAHONERO

 

suivi de

 

« PEUT-ÊTRE RESTERONS-NOUS FIXES SUR UNE PENSEE »

 

Lu par Clément HERVIEU-LEGER

 

Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989

Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER

 

« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz  explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.

Philippe GARNIER

 

Extraits choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

16/05/2013

ROBERTO JUARROZ, POESIE VERTICALE : "UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"

 

ROBERTO JUARROZ

POESIE VERTICALE 

"UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"

Lu par Michel FAVORY

 

Suivi de

 

 

"D'UNE CARRIERE QUI N'EXISTE PAS…"

 

Lu par Adeline D’HERMY

 

Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989

Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER

 

« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz  explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.

Philippe GARNIER

 

Extraits choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

15/05/2013

ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " UN JOUR VIENDRA..."

 

ROBERTO JUARROZ

 POESIE VERTICALE

" UN JOUR VIENDRA..."

 

Lu par THIERRY HANCISSE


Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989

Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER

 

« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz  explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.

Philippe GARNIER

 

Extraits choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

14/05/2013

ROBERTO JUARROZ, "POESIE VERTICALE"

 

ROBERTO JUARROZ

"POESIE VERTICALE"

 

« IL EST DES HABITS QUI DURENT PLUS QUE L'AMOUR...»

Lu par Louis ARENE

Suivi de:

« L’HOMME EPELLE SA FATIGUE...»

Lu par Catherine SAUVAL


Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989

Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER

 

« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz  explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.

Philippe GARNIER

 

Extraits choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

25/03/2013

GABRIELA MISTRAL : " ABSENCE "

 

GABRIELA MISTRAL

" ABSENCE "

08.03.2013


Lu par Sylvia Bergé

 

Poème extrait du recueil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude Couffon (© ELA/La Différence 1988)

 

Gabriela Mistral est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe Garnier

Prise de son, montage : Claude Niort, Pierre Henry

Réalisation : Anne-Pascale Desvignes