17/06/2013
CESAR VALLEJO : "HIVER PENDANT LA BATAILLE DE TERUEL"
CESAR VALLEJO
"HIVER PENDANT LA BATAILLE DE TERUEL"
Lu par Thierry Hancisse
Extrait de Poèmes humains, éditions du Seuil, 2011
Traduit de l’espagnol par François Maspero
Extraits choisis par Philippe Garnier
Cesar Vallejo est né à 3000 mètres d’altitude dans les Andes péruviennes en 1892, onzième enfant d’une famille pauvre où se mêlent les sangs espagnol et indien. Il a connu les plantations sucrières et le travail des mines, il a vu de très près l’exploitation qui confine à l’esclavage. Très vite il met le langage sous tension et invente un humanisme violent, sans aucune trace de sentimentalité, parsemé d’images à la force hermétique. Ses premiers recueils le situent d’emblée dans l’avant-garde des années 20. Communiste, fuyant la police péruvienne, il vivra et mourra dans le dénuement à Paris en 1938. Les plus intenses de ses textes ont été écrits pendant la Guerre d’Espagne, dans le recueil Espagne, éloigne de moi ce calice.
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Michel Sidoroff
17:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, césar vallejo, poèmes humain, françois maspero, philippe garnier, andes péruviennes, pauvreté, mêler les sangs, indien, chilien, plantation, sucrier, travail des mines, exploitation, esclavagisme, langage, sous tension, inventer, humanisme, ambiance, parsemer, hermétisme, avant-garde, communisme, police, péruvien, dénuement, mourir, guerre d'espagne, hantise, hanche, offrande, fair el'amour, épauler, nudité, ortie, crachat, chocolat, parfum, baiser, dessein, creux, maintenir, ruelle, à reculons, nommer
26/05/2013
ROBERTO BOLANO : " NI CRU NI CUIT "
ROBERTO BOLANO
" NI CRU NI CUIT "
Lu par Cécile Brune
Poème issu du recueil Les Chiens Romantiques
© The Estate of Roberto Bolaño, 2006 All rights reserved
© Christian Bourgois éditeur, 2012, pour la traduction française
Poème traduit par Robert AMUTIO.
Quelques années après sa mort survenue en 2000 et une vie d’errance en Amérique et en Europe, l’écrivain chilien Roberto Bolaño devint mondialement célèbre. Dans ses romans, en particulier dans Les Détectives sauvages, les poètes forment une foule de personnages à la fois fatalistes et révoltés, vagabondant sur la planète avec tendresse et dégoût. Roberto Bolaño qui écrivit si peu de poèmes et tant de pages de romans, s’est toujours voulu lui-même avant tout un poète. Son œuvre poétique n’est pas abondante, mais elle est au centre de sa mythologie et de son univers.
Poèmes choisis par Philippe Garnier
Prise de son, montage : Claude Niort, Pierre Henry
Réalisation : Anne-Pascale Desvignes
23:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, roberto bolagno, cécile brune, robert amutio, les chiens romantiques, christian bourgois, mort, survenir, chili, vie d'errance, amérique, europe, écrivain chilien, devenir, mondial, célébrer, roman, particulier, détective, sauvage, formation, foule, personnage, fataliste, révolté, planète, tendresse, dégoût, oeuvre poétique, abondance, mythologie, univers, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale desvignes
18/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " NOUS SOMMES EN FILE… "
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
" NOUS SOMMES EN FILE… "
Lu par Chistian BLANC
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy, coraly zahonero, manu chao, hispanisant, rythmes cubains, christian blanc
17/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."
ROBERTO JUARROZ
"POESIE VERTICALE"
" IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."
Lu par Coraly ZAHONERO
suivi de
« PEUT-ÊTRE RESTERONS-NOUS FIXES SUR UNE PENSEE »
Lu par Clément HERVIEU-LEGER
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy, coraly zahonero, manu chao, hispanisant, rythmes cubains
16/05/2013
ROBERTO JUARROZ, POESIE VERTICALE : "UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
"UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"
Lu par Michel FAVORY
Suivi de
"D'UNE CARRIERE QUI N'EXISTE PAS…"
Lu par Adeline D’HERMY
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy
15/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " UN JOUR VIENDRA..."
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
" UN JOUR VIENDRA..."
Lu par THIERRY HANCISSE
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard
14/05/2013
ROBERTO JUARROZ, "POESIE VERTICALE"
ROBERTO JUARROZ
"POESIE VERTICALE"
« IL EST DES HABITS QUI DURENT PLUS QUE L'AMOUR...»
Lu par Louis ARENE
Suivi de:
« L’HOMME EPELLE SA FATIGUE...»
Lu par Catherine SAUVAL
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet
10/05/2013
CESAR VALLEJO : "JE SUIS PEUT-ÊTRE UN AUTRE"
CESAR VALLEJO
"JE SUIS PEUT-ÊTRE UN AUTRE"
Extrait de Poèmes humains, éditions du Seuil, 2011
Traduit de l’espagnol par François MASPERO
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Cesar VALLEJO est né à 3000 mètres d’altitude dans les Andes péruviennes en 1892, onzième enfant d’une famille pauvre où se mêlent les sangs espagnol et indien. Il a connu les plantations sucrières et le travail des mines, il a vu de très près l’exploitation qui confine à l’esclavage. Très vite il met le langage sous tension et invente un humanisme violent, sans aucune trace de sentimentalité, parsemé d’images à la force hermétique. Ses premiers recueils le situent d’emblée dans l’avant-garde des années 20. Communiste, fuyant la police péruvienne, il vivra et mourra dans le dénuement à Paris en 1938. Les plus intenses de ses textes ont été écrits pendant la Guerre d’Espagne, dans le recueil Espagne, éloigne de moi ce calice.
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Michel Sidoroff
23:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, césar vallejo, poèmes humain, françois maspero, philippe garnier, andes péruviennes, pauvreté, mêler les sangs, indien, chilien, plantation, sucrier, travail des mines, exploitation, esclavagisme, langage, sous tension, inventer, humanisme, ambiance, parsemer, hermétisme, avant-garde, communisme, police, péruvien, dénuement, mourir, guerre d'espagne
03/05/2013
GABRIELA MISTRAL : "ABSENCE"
GABRIELA MISTRAL
"ABSENCE"
Lu par Sylvia BERGE
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
23:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser, boire, danièle lebrun, redresseur de tort, bandit, péage
02/05/2013
GABRIELA MISTRAL : "BOIRE"
GABRIELA MISTRAL
"BOIRE"
Lu par DANIELE LEBRUN
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
23:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser, boire, danièle lebrun
GABRIELA MISTRAL : "ENFANT MEXICAIN"
GABRIELA MISTRAL
"ENFANT MEXICAIN"
LU PAR CECILE BRUNE
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
00:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cécile brune, au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser
30/04/2013
GABRIELA MISTRAL : "PAYSAGE DE PATAGONIE" -- "TROIS ARBRES"
GABRIELA MISTRAL
"PAYSAGE DE PATAGONIE"
"TROIS ARBRES"
Lu par : Laurent NATRELLA
Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988
Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.
Poèmes choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY
Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES
18:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, gabriel mistral, sylvia berger, claude couffon, chili, philippe garnier, claude niort, pierre henry, anne-pascale, desvignes, monde rural, catholique, procol harum, traverser, continent, préparer, enseigner, latino-américain, puiser, héritage, indien, déployer, cosmos, européen, amour, briser, enfantement, faire écho, vibrer, force tellurique, sud-américain, traduire, séjourner, prix nobel de la paix, chinoiserie, marcel ruffo, laurent natrella, jean-luc mélenchon, explicatif, bénéficier, faveur, considération, crédibiliser