26/03/2014
HUBERT VOIGNIER: LES HAUTES HERBES « Dès le retour du beau temps… »
HUBERT VOIGNIER
LES HAUTES HERBES
« Dès le retour du beau temps… »
- les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots entre guillemets -
Lu par : Thierry HANCISSE
Références:
Les Hautes Herbes, Cheyne Editeur, 2004, nouvelle édition illustrée par Estelle AGUELON 2011
Aller à la découverte des hautes herbes, au détour de paysages repeints aux couleurs de la reverdie annuelle, est un bonheur comparable à celui de se lever tôt pour constater que le soleil règne en maître absolu sur la campagne, avant que ses rayons, frappant de plein fouet les yeux du promeneur matinal, à peine éveillé, ne le jettent, l’esprit à moitié sonné, sur le carreau éblouissant des routes…
Illustration du premier mouvement du recueil Les Hautes Herbes d'Hubert Voignier Estelle Aguelon © cheyne
Hubert Voignier est né en 1964 à Lyon. Il a publié cinq livres à Cheyne et deux autres chez Deyrolle.
Lecture charnelle du paysage qui se réveille au printemps, Les Hautes Herbes est un récit d’émotions, de sensations et d’angoisses du plein champ, c’est aussi un appel au soleil, au printemps, à la sève qui monte et à ce besoin d’ouvrir les yeux, de humer la nouvelle saison, de boire le paysage, de goûter le vert tendre pour voir s’il n’a pas changé depuis l’an dernier.
***
Extraits choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Réalisation : Michel Sidoroff
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
18:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, hubert voignier, hautes herbes, thierry hancisse, estelle aguelon, découverte, détour, paysage, repeindre, couleur, reverdir, annuel, bonheur, comparable, se lever tôt, constater, soleil, règne, maître absolu, capagne, rayon, frapper de plein fouet, oeil, promeneur, matinal, peine, éveillé, se jeter, esprit, sonné, sur le carreau, éblouissant, route, charnel, printemps, sève, ouvrir les yeux, humer, saison, boire, gôuter, laurence courtois
16/07/2013
ABDELLATIF LAÂBI: « JE N'AI JAMAIS CESSE DE MARCHER"
ABDELLATIF LAÂBI
« JE N'AI JAMAIS CESSE DE MARCHER"
Lu par Thierry HANCISSE
Abdellatif Laâbi est né en 1942 à Fès (Maroc). Entrée à l’école franco-musulmane. Il découvre pêle-mêle la lecture, la langue française, la condition de petit colonisé. Au sortir de l’école, sur les placettes où les conteurs l’ouvrent au territoire de l’imaginaire, il contemple les paysages urbains et humains, y forge sa sensibilité. A l’indépendance, en 1956, il a quatorze ans. Il fonde en 1966 la revue Souffles qui jouera un rôle considérable dans le renouvellement culturel au Maghreb. Si la revue s’annonce comme poétique et l’est exclusivement dans son premier numéro, ce n’est pas un hasard. « La poésie est le vrai laboratoire de la littérature. » Dès le numéro 2, les horizons s’élargissent : questionnement sur la culture, quelle que soit sa forme d’expression, puis peu à peu sur les problèmes sociaux et économiques qui sont le lot de la société marocaine sous le régime d’injustice et de corruption qui l’accable. Son combat pour la liberté lui vaut d'être emprisonné en 1972, date d’écriture et de publication de l’arbre de fer fleurit. Il sort de prison en 1980 et s'exile en France en 1985.
Tous les textes sont des pages arrachées du recueil de poèmes en prose L’arbre de fer fleurit, (1972) aux éditions Pierre Jean Oswald
05:21 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, abdellatif laâbi, cesser, marcher, thierry hancisse, fès, maroc, entrée, école, franco-musulman, découvrir, pêle-mêle, langue française, condition, petit, coloniser, sortir, placette, conteur, ouvrir, territoire, imaginaire, contempler, paysge urbain, humain, forcer, sensibilité, indépndance, fonder, souffle, jouer, rôle, considérable, renouvellement, culturel, maghreb, revue, annoncer, poétique, exclusivité, premier numéro, hasard, laboratoire, littérature, ouvroir, horizon, élargir, questionner, forme d'expression
15/06/2013
LEO FERRE: "CETTE BLESSURE"
LEO FERRE
"CETTE BLESSURE"
Lu par Hervé PIERRE
Léo Ferré est né en 1916 à Monaco, mort en juillet 1993 en Italie. Ce poète, chanteur, compositeur, et anarchiste a été l’un des plus prolifiques chanteurs français. Il met en musique de nombreux épisodes de sa vie, intime, contemplative, politique, engagée, qui dessinent avec plus de 40 albums en 46 années d’activité, un personnage attachant, un poète et un musicien populaire
Poèmes choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Manon Houssin
Assistant à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Juliette Heymann
22:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thierry hancisse, au magma present de l'ecriture;léo férré, vent, ventilel, danièle lebrun, monaco, mourir, décéder, mortalité infentile, italie, poète, chanteur, compositeur, anarchiste, prolifique, mettre en musique, épisode, épisodique, vie intime, contemplatif, politique, engager, dessiner, personnage attachant, musicien populaire, laurence courtois, manon houssin, laure-hélène planchet, juliette heymann, sabot, mer, en croix, rose des vent, larron, patte de velours, faire l'amour, infortune, champ de blé, rosier, violon, hurler, atlantique, fantastique, cheval, naseau, bercer, donner la vie, hervé, hôtel, motel
13/06/2013
LEO FERRE: "LA NUIT"
LEO FERRE
"LA NUIT"
Lu par Thierry HANCISSE
Léo Ferré est né en 1916 à Monaco, mort en juillet 1993 en Italie. Ce poète, chanteur, compositeur, et anarchiste a été l’un des plus prolifiques chanteurs français. Il met en musique de nombreux épisodes de sa vie, intime, contemplative, politique, engagée, qui dessinent avec plus de 40 albums en 46 années d’activité, un personnage attachant, un poète et un musicien populaire
Poèmes choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Manon Houssin
Assistant à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Juliette Heymann
23:04 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thierry hancisse, au magma present de l'ecriture;léo férré, vent, ventilel, danièle lebrun, monaco, mourir, décéder, mortalité infentile, italie, poète, chanteur, compositeur, anarchiste, prolifique, mettre en musique, épisode, épisodique, vie intime, contemplatif, politique, engager, dessiner, personnage attachant, musicien populaire, laurence courtois, manon houssin, laure-hélène planchet, juliette heymann, sabot, mer, en croix, rose des vent, larron, patte de velours, faire l'amour, infortune, champ de blé, rosier, violon, hurler, atlantique, fantastique, cheval, naseau, bercer, donner la vie, hervé, hôtel, motel
18/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " NOUS SOMMES EN FILE… "
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
" NOUS SOMMES EN FILE… "
Lu par Chistian BLANC
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy, coraly zahonero, manu chao, hispanisant, rythmes cubains, christian blanc
17/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."
ROBERTO JUARROZ
"POESIE VERTICALE"
" IL EST DES MESSAGES DONT LE DESTIN EST LA PERTE..."
Lu par Coraly ZAHONERO
suivi de
« PEUT-ÊTRE RESTERONS-NOUS FIXES SUR UNE PENSEE »
Lu par Clément HERVIEU-LEGER
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy, coraly zahonero, manu chao, hispanisant, rythmes cubains
16/05/2013
ROBERTO JUARROZ, POESIE VERTICALE : "UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
"UNE DES RAISONS MAJEURE DU VOYAGE…"
Lu par Michel FAVORY
Suivi de
"D'UNE CARRIERE QUI N'EXISTE PAS…"
Lu par Adeline D’HERMY
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard, désertique, michel favory, adeline d'hermy
15/05/2013
ROBERTO JUARROZ "POESIE VERTICALE" ---- " UN JOUR VIENDRA..."
ROBERTO JUARROZ
POESIE VERTICALE
" UN JOUR VIENDRA..."
Lu par THIERRY HANCISSE
Extraits de Poésie Verticale, Fayard, 1989
Traduit de l'espagnol par Roger MUNIER
« Chaque poème de Roberto Juarroz, écrit Octavio Paz, est une surprenante cristallisation verbale : le langage réduit à une goutte de lumière ». Sous ce seul titre de « Poésie verticale », Juarroz, qui naquit en Argentine en 1925 et y mourut soixante-dix ans plus tard, a rangé la quasi-totalité de son œuvre poétique. Dans une langue intimement décantée, mais ô combien corporelle et sous haute tension, Juarroz explore ce qui ne se laisse pas explorer : l’incertitude d’exister, l’étrangeté de toute réalité et le vide inhérent au métier de vivre.
Philippe GARNIER
Extraits choisis par Philippe GARNIER
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe garnier, roberto juarroz, poésie verticale, louis arène, épeler, catherine sauval, robert munier, espagnol, traduire, octavio pas, cristallisation, langage, argentine, aimer, mourir, décanter, corporel, haute tension, explorer, incertitude, étranger, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, thierry hancisse, règler, doigter, bouture, mort, morale, insulter, mettre au pas, frontière, dégueulasse, maladroit, tramwaynrêver, remettre en lacenrendre la monnaie, espacer, tailler un costard
07/04/2013
HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " (4/5)
HUBERT VOIGNIER
" LES HAUTES HERBES "
(4/5)
« Plus encore que la notion de jachère… »
(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)
Lu par Thierry HANCISSE
Poème extrait du recueil Les hautes herbes, © Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011
Né en 1964 à Lyon, Hubert Voignier a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.
Extraits choisis par Laurence COURTOIS
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, balourdise, prêtre, évêque, cardinal, convertir, chrétienté, du bout des lèvres, téléfilm, supplicier, favoritisme, thierry hancisse, laurence courtois, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, hubert voignier, théodore balmoral, entre guillemets, notion, jachère