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08/02/2017

ENCHAÎNEMENT LEXICAL ET TENDANCIEUX.... IDYLLE

Cet Enchaînement Lexical a été composé en révérencieuse référence à cet inégalable Poète qu'est Eric Ducelier. Un maitre!

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(Comme il s'agit – cela ne vous aura pas échappé – d'un enchaînement lexical, il conviendra de remonter le fil des archives pour consulter les précédentes lettres de l'alphabet nous ayant conduits, non sans une ostentatoire désinvolture, jusque là...)

 

IDYLLE

 

Histoire tout à fait captivante qui, malgré son contenu le plus souvent considéré comme anodin, n'en semble pas moins exacerbée aux vagues d'un charme fou.

Qu'elle soit affection tendre et naïve, qu'elle soit intense autant que déconcertante, ou bien encore relation ineffable d'imprévisible, elle s'affirme quand même tel un véritable petit poème pastoral au doux intitulé: idylle.

C’est d'autant plus frappant quand celle-ci en est à chanter l'aurore de l'amour dans la découverte exquise de l'être unique, voluptueux et sensuel.
C'est ainsi que dans l'apaisé d'une douce accalmie, ou dans le silence d'une tempête traduisant le visible, l'idylle se voile en général d'un romantisme pudique doublé d'une rêverie urgente et spontanée qui la rend tout à fait enchanteresse aux cœurs innocents et notablement réceptifs proposés par de tendres  jouvenceaux.

(A suivre)

 

JOUVENCEAU

 

P. MILIQUE

 

16/01/2014

CIORAN 38

CIORAN.jpg

 

"Une grande haine

Dresse à chaque instant

Notre autoportrait.

Les hommes bons

Sont sans visage."

(E.M. CIORAN)

09/05/2013

HENRI MICHAUX : "LECTURE DE DEUX LITHOGRAPHIES DE ZAO-WOU KI"

 

HENRI MICHAUX 

"LECTURE DE DEUX LITHOGRAPHIES DE ZAO-WOU KI"

Lu par Marie-Sophie FERDANE

 

Extrait de L’espace du dedans, Gallimard, 1956


Henri MICHAUX est né le 24 mai 1899 à Namur. Installé à Paris en 1924, il y côtoie les peintres surréalistes et se lie d’amitié avec Jules Supervielle. C’est à lui qu’il dédie d’ailleurs le premier poème « Énigmes » de Qui je fus (1927), repris en ouverture de son anthologie poétique personnelle intitulée L’espace du dedans. Après avoir longuement voyagé de 1927 à 1937, en Asie et Amérique du Sud, il se retire dans le Midi durant la guerre. Ailleurs, Connaissance par les gouffres, Épreuves, exorcismes, Face aux verrous, L’infini turbulent, La nuit remue, Plume, Poteaux d’angle ou La vie dans les plis sont autant d’autoportraits du poète de la paix dans les brisements. Henri Michaux, qui avait troqué le y de son prénom de baptême contre un point sur les i derrière lequel se cacher en douce, est mort à Paris le 19 octobre 1984.

Si la mescaline est en grande partie à l’origine de son œuvre picturale, c’est son génie du bizarre, et du retrait, qui a fait de lui le plus aventureux des explorateurs de l’espace du dedans :

« Ainsi à l’écart, toujours seul au rendez-vous, sans jamais retenir une main dans ses mains, il songe, le hameçon au cœur, à la paix, à la damnée paix lancinante, la sienne, et à la paix qu’on dit être par-dessus cette paix. »

Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation : Guy PEYRAMAURE

Réalisation : Marguerite GATEAU

Choix de poèmes de Sophie NAULEAU

07/05/2013

HENRI MICHAUX : "CLOWN"

 

HENRI MICHAUX 

"CLOWN"

Lu par Hervé Pierre

Extrait de L’espace du dedans, Gallimard, 1956


 

Henri MICHAUX est né le 24 mai 1899 à Namur. Installé à Paris en 1924, il y côtoie les peintres surréalistes et se lie d’amitié avec Jules Supervielle. C’est à lui qu’il dédie d’ailleurs le premier poème « Énigmes » de Qui je fus (1927), repris en ouverture de son anthologie poétique personnelle intitulée L’espace du dedans. Après avoir longuement voyagé de 1927 à 1937, en Asie et Amérique du Sud, il se retire dans le Midi durant la guerre. Ailleurs, Connaissance par les gouffres, Épreuves, exorcismes, Face aux verrous, L’infini turbulent, La nuit remue, Plume, Poteaux d’angle ou La vie dans les plis sont autant d’autoportraits du poète de la paix dans les brisements. Henri Michaux, qui avait troqué le y de son prénom de baptême contre un point sur les i derrière lequel se cacher en douce, est mort à Paris le 19 octobre 1984.

Si la mescaline est en grande partie à l’origine de son œuvre picturale, c’est son génie du bizarre, et du retrait, qui a fait de lui le plus aventureux des explorateurs de l’espace du dedans :

« Ainsi à l’écart, toujours seul au rendez-vous, sans jamais retenir une main dans ses mains, il songe, le hameçon au cœur, à la paix, à la damnée paix lancinante, la sienne, et à la paix qu’on dit être par-dessus cette paix. »

Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation : Guy PEYRAMAURE

Réalisation : Marguerite GATEAU

Choix de poèmes de Sophie NAULEAU

06/05/2013

HENRI MICHAUX : "MAGIE"

 

HENRI MICHAUX 

"MAGIE"

Lu par Grégory GADEBOIS

Extrait de L’espace du dedans, Gallimard, 1956


 

 

Henri MICHAUX est né le 24 mai 1899 à Namur. Installé à Paris en 1924, il y côtoie les peintres surréalistes et se lie d’amitié avec Jules Supervielle. C’est à lui qu’il dédie d’ailleurs le premier poème « Énigmes » de Qui je fus (1927), repris en ouverture de son anthologie poétique personnelle intitulée L’espace du dedans. Après avoir longuement voyagé de 1927 à 1937, en Asie et Amérique du Sud, il se retire dans le Midi durant la guerre. Ailleurs, Connaissance par les gouffres, Épreuves, exorcismes, Face aux verrous, L’infini turbulent, La nuit remue, Plume, Poteaux d’angle ou La vie dans les plis sont autant d’autoportraits du poète de la paix dans les brisements. Henri Michaux, qui avait troqué le y de son prénom de baptême contre un point sur les i derrière lequel se cacher en douce, est mort à Paris le 19 octobre 1984.

Si la mescaline est en grande partie à l’origine de son œuvre picturale, c’est son génie du bizarre, et du retrait, qui a fait de lui le plus aventureux des explorateurs de l’espace du dedans :

« Ainsi à l’écart, toujours seul au rendez-vous, sans jamais retenir une main dans ses mains, il songe, le hameçon au cœur, à la paix, à la damnée paix lancinante, la sienne, et à la paix qu’on dit être par-dessus cette paix. »

Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation : Guy PEYRAMAURE

Réalisation : Marguerite GATEAU

Choix de poèmes de Sophie NAULEAU

05/05/2013

HENRI MICHAUX : "RECOMMANDATIONS"

 

HENRI MICHAUX 

"RECOMMANDATIONS"

Lu par CLEMENT HERVIEU-LEGER


Extrait de Poteaux d’angle, Gallimard, 1981

 

Henri MICHAUX est né le 24 mai 1899 à Namur. Installé à Paris en 1924, il y côtoie les peintres surréalistes et se lie d’amitié avec Jules Supervielle. C’est à lui qu’il dédie d’ailleurs le premier poème « Énigmes » de Qui je fus (1927), repris en ouverture de son anthologie poétique personnelle intitulée L’espace du dedans. Après avoir longuement voyagé de 1927 à 1937, en Asie et Amérique du Sud, il se retire dans le Midi durant la guerre. Ailleurs, Connaissance par les gouffres, Épreuves, exorcismes, Face aux verrous, L’infini turbulent, La nuit remue, Plume, Poteaux d’angle ou La vie dans les plis sont autant d’autoportraits du poète de la paix dans les brisements. Henri Michaux, qui avait troqué le y de son prénom de baptême contre un point sur les i derrière lequel se cacher en douce, est mort à Paris le 19 octobre 1984.

Si la mescaline est en grande partie à l’origine de son œuvre picturale, c’est son génie du bizarre, et du retrait, qui a fait de lui le plus aventureux des explorateurs de l’espace du dedans :

« Ainsi à l’écart, toujours seul au rendez-vous, sans jamais retenir une main dans ses mains, il songe, le hameçon au cœur, à la paix, à la damnée paix lancinante, la sienne, et à la paix qu’on dit être par-dessus cette paix. »

Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation : Guy PEYRAMAURE

Réalisation : Marguerite GATEAU

Choix de poèmes de Sophie NAULEAU

04/05/2013

HENRI MICHAUX : "L'AVENIR"

 

HENRI MICHAUX 

"L'AVENIR"

Lu par Sylvia BERGE

Extrait de L’espace du dedans, Gallimard, 1956

 

Henri MICHAUX est né le 24 mai 1899 à Namur. Installé à Paris en 1924, il y côtoie les peintres surréalistes et se lie d’amitié avec Jules Supervielle. C’est à lui qu’il dédie d’ailleurs le premier poème « Énigmes » de Qui je fus (1927), repris en ouverture de son anthologie poétique personnelle intitulée L’espace du dedans. Après avoir longuement voyagé de 1927 à 1937, en Asie et Amérique du Sud, il se retire dans le Midi durant la guerre. Ailleurs, Connaissance par les gouffres, Épreuves, exorcismes, Face aux verrous, L’infini turbulent, La nuit remue, Plume, Poteaux d’angle ou La vie dans les plis sont autant d’autoportraits du poète de la paix dans les brisements. Henri Michaux, qui avait troqué le y de son prénom de baptême contre un point sur les i derrière lequel se cacher en douce, est mort à Paris le 19 octobre 1984.

Si la mescaline est en grande partie à l’origine de son œuvre picturale, c’est son génie du bizarre, et du retrait, qui a fait de lui le plus aventureux des explorateurs de l’espace du dedans :

« Ainsi à l’écart, toujours seul au rendez-vous, sans jamais retenir une main dans ses mains, il songe, le hameçon au cœur, à la paix, à la damnée paix lancinante, la sienne, et à la paix qu’on dit être par-dessus cette paix. »

Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation : Guy PEYRAMAURE

Réalisation : Marguerite GATEAU

Choix de poèmes de Sophie NAULEAU

28/02/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " PARFUM D'HOMME "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse... 

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Le Masculiniste, l’hoministe et le machiste
Non vous n’avez pas rêvé, il s’agit bien de l’intitulé d’un film franco-canadien avec un accent belge et un sous-titre italien : le bon, la brute et le truand…
Trois tyrans pour le prix d’un péplum : Hercule, Samson et Maciste.

Oui il y a du ressentiment dans l’air du temps.
Un désir de retour, un retour du désir à plus de virilité.
Nos sociétés plus féminines ou plus féministes ont castré le mâle qui semble reprendre du poil de la bête en se lançant à l’assaut du ciel des valeurs.
On ne va tout de même pas faire un procès d’intention à quelqu’un qui appelle au secours. Ou qui réclame notre concours à nous les femmes.
Non, je fais de l’humour… parce que je ne suis pas féministe.
Je suis femme… je ne peux pas être l’une sans me moquer de l’autre.
Et, en tant que femme, je fais de mon mieux pour comprendre ce que cherche l’homme avec cette triple digression.

A- le Machiste
C’est le moins éloquent et le moins apte à nous faire la leçon.
Et même si on en doute, de sa virilité, il n’en a jamais douté.
Quand il se rend à un rendez-vous avec une femme, il prend toujours son fouet… et s’il ne sait pas pourquoi il la bat, elle, elle le sait.
Ce n’est pas très catholique mais c’est phallocratique.
Logique d’une conscience malheureuse de n’être que ce qu’elle est.
D’où son désir d’affirmer sa supériorité
C’est le bas de gamme du sexisme. Des muscles et point de cervelle.

B- l’hoministe
C’est la deuxième version qui sent le renfermé des âmes soit disant bien nées. C’est le rat de bibliothèque… qui ne crie pas pour parler de son sexe mais il écrit des livres ou lit tout qui s’écrit là-dessus. Homo homini deus : l’homme est un Dieu pour l’homme… Non, il ne s’agit pas de l’homme générique mais du genre masculin…. du mâle par opposition au bien…
Non, je rigole… du mâle par opposition à la femelle.
Que nous dit l’homme des droits de l’homme : qu’un hoministe a autant de droits qu’une féministe.
Autrement dit, qu’il est égalitariste… et qu’il est temps de considérer que l’homme est une femme comme les autres et qu’ils doivent être traités sur un pied d’égalité.
Les femmes ont pris le large…
Il est temps de les rattraper. Même notre grossesse ne peut plus être une chasse gardée puisqu’ils la revendiquent et la pratiquent même sous forme de grossesse nerveuse…
Tous les hoministes en sont là depuis qu’ils ont découvert qu’eux aussi avaient une pensée de derrière. C’est du sexisme pour élitistes.

C- le masculiniste.
Enfin le mot est lâché, parce que toute médaille a un revers… il va y avoir de plus en plus de parfums pour les hommes… masculin… man, men, menem… ça sent le souffre.
Le parfum de celui qui souffre… parce qu’il vient de prendre conscience qu’il est moins que rien…
Je veux dire moins qu’une femme. Du coup, il fait le pied de grue, la grève de la faim, pour qu’on reçoive ses doléances avant d’avoir droit à nos condoléances…
Parce qu’à l’entendre, on dirait qu’il y a mort d’homme. l’homme est mort , non ce n’est pas Nietzsche… c’est le pitch de ces nouveaux indignés qui se sentent floués et spoliés par la gente féminine.
Retournement de l’histoire : l’homme n’a plus ce qu’il avait. Il est accablé par les lois discriminatoires qui en font le dindon de la farce. Il sort dans la rue et manifeste son mécontentement. Et qu’est-ce qu’il raconte ?
Ce sont les privilèges des femmes qui l’insupportent. C’est un scandale : même dans les tribunaux, à délit égal, il y a toujours un châtiment inégal.
Le masculiniste n’est pas dupe, mesdames !
Pour lui, il n’y a aucune raison qu’un porc paye plus qu’une cochonne.
On met tout sur le dos de DSK et on fait les yeux doux à Anne Sinclair.
Non… il n’y a pas de raison…
Aucune raison de ne pas prendre en considération le harcèlement et le viol des hommes qui déposent plainte contre leurs femmes… aucune raison de croire que c’est toujours l’homme le plus fort même quand il n’y a pas plus faible.
Aucune raison pour que les pères sèment et que les mères récoltent.
Aucune raison de croire qu’une bonne c’est forcément une femme.
Sexisme moyen pour citoyen qui n’a plus tous ses moyens. Encore un problème de quotient intellectuel.

On comprend… on pardonne… et on oublie.
Humour pour tous : on prend le machiste, l’hoministe et le masculiniste et on les marie!

22/02/2012

Keith RICHARDS

 

 

JUMPIN JACK FLASH 

Live Rock in Rio


Keith RICHARDS, né en Angleterre le 18 Décembre 1943,est musicien, auteur-compositeur et guitariste de grand talent. Il est, vous le savez tous, co-fondateur (en 1962 et avec Mick Jagger, Brian Jones, et Ian Stewart) de la première mouture d'un groupe de rock essentiel: "THE ROLLING STONES". (Avec son complice et acolyte, il a rapidement constitué un partenariat qu'il se plaisait à intituler "The Glimmer Twins)

Rapidement reconnu par ses pairs comme un leader incontestable de la guitare électrique Blues-Rock, il n'en a pas moins tourmenté de nombreux aspirants-guitariste en produisant un son (dans un premier temps) inimitable. Il est en effet le créateur d'un très audacieux et mystérieux style "open tuning" en sol qui, en retirant la sixième corde de l'instrument faisait sonné sa guitare à cinq cordes comme nul autre. Autant dire que la technique fut souvent reprise, imitée, mais rarement... égalée.

Outre son rôle incontestable -- et incontesté -- au sein des Rolling Stones, Keith RICHARDS a aussi, au fil de diverses collaborations, joué avec les plus grands Johnnie JOHNSON, Eric CLAPTON, John Lee HOOKER, Ry COODER, Carlos SANTANA, Robert CRAY, Albert COLLINS, Tom WAITS, Willie NELSON etc... )